"Pour ceux qui préfèrent se lover dans les bras du passé, l'évasion au présent se trouve dans les mémoires, où l'histoire devient refuge et le passé, un doux échappatoire."
La silhouette de la vieille bâtisse de l'orphelinat St. Claire, dont les murs grisonnants semblaient résonner des souvenirs évanescents, abritait des vies en quête d'une lumière éphémère dans ce monde de pénombre. J'y ai trouvé refuge, moi, Anastasia, depuis mes premières années de vie. Solitude, l'ombre de l'indifférence, c'étaient les seules compagnes de mes jours.
Pourtant, le fil de mon existence a croisé celui d'Adrian, une présence à la fois énigmatique et tumultueuse. Ses pas résonnaient dans les couloirs, Des abysses de son regard énigmatique émanaient des tourments passés, un lourd fardeau émotionnel camouflé derrière une apparence abrupte. Ses mots tranchants heurtaient mon calme, mais sous cette façade glaciale, je pressentais des émotions écorchées, des blessures qu'il tentait de dissimuler. Je s'avais qu'il ne m'aimer pas, a vrai dire il me détester, mais je n'arriver pas a me retenir de vouloir seulement voir les bon cotés en lui. Lorsque les autres enfant me disais de ne pas l'approcher, il m'attirer. Je le s'avais mal et je voulais l'aider, pourquoi ? Car je sais que je n'aurais jamais moi réussi a survivre toute seul. Alors je faisais toute sorte d'attention, en quête d'obtenir un peut de reconnaissance. Il ne c'est jamais comporter gentiment, il était horrible a vrai dire et je le vivait mal. Je penser toujours, a qu'elle point il me détester, je ne penser a rien d'autre seulement lui, lui est l'inattention qu'il me portait, lorsque je voulais l'aider il m'ignorer, Ignorer, Si seulement se n'étais que ça...
Adrian, tu es l'écho de mes pensées, le fil conducteur de mes rêves les plus profonds.
Et pourtant...
Le vacarme assourdissant de l'impact résonnait encore dans mon esprit, figé dans une photographie saisissante de l'horreur. Les images défilaient en un kaléidoscope chaotique, tels des fragments déchirés d'une réalité brisée. La lumière éclatante, un rugissement métallique soudain. J'ai faillis me prendre cette voiture alors que je ne regarder pas, quelqu'un ma poussée. Tandis que son corp, fut propulser a cotes du miens j'aperçue son visage, près a rendre son dernier souffle. Adrian. Pourquoi tu a fait sa ce jours là, pourquoi avoir pris le risque de me donner ta si courte vie. Nous n'étions que des enfant déchirer par le malheurs de nos vie gâcher, par l'abandon et la solitude. son regard croisas le miens, c'est yeux vers plein de larme remplis de désolation, comme s'il me demander pardon. Il Tanit a prononcer des mot " Anastasia, je ne te.." Mais aucun autre mot sortais de sa bouche. Au qu'est-ce-que j'aurais voulus te dire que tu n'a pas besoins de t'exprimer car Chaque pensée est teintée de ton essence, Adrian, comme un précieux trésor que je garde en mon être.
Voici le dernier souffle de ma mémoire, où ton essence s'évanouit lentement dans l'oubli, car ceci est la dernière fois que je me souviendrai de toi.
Puis, le flou.
Le regard, perdu dans les ombres dansantes de l'amnésie, semblait effleurer les franges d'un souvenir fugace. L'ombre d'une silhouette, des yeux qui me transperçaient, une brume épaisse enveloppait le reste. Une brève lueur d'émotion, de quelque chose de familier, dans cet océan d'oubli.
Tout ce qui me restait, c'était la conscience d'un vide béant, une lacune béante dans le récit de ma propre existence. Mes pensées, telles des pièces éparpillées d'un puzzle désordonné, cherchaient frénétiquement à reconstituer l'inexplicable.
L'appréhension, la douleur lancinante, l'incertitude... tout se mêlait en un tourbillon infernal. J'étais suspendue entre la réalité brutale de l'incident et les limbes floues de la mémoire perdue, cherchant désespérément une lueur d'espoir dans cet abîme obscur.
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Rédemption Amnésique
RomanceDans les ombres de l'orphelinat régnait une romance inattendue. L'histoire de la jeune Anastasia, plongée dans l'austérité de son environnement, entrelacée avec celle d'Adrian, dont l'attitude acerbe ne masquait que trop peu une affection enfantine...