Chapitre 4 - Lando Norris

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Il était facile de se rendre compte que Gabriella (et plus prudemment, Alya) s'était infiltrée dans la grille.

D'abord par des petites conversations sur Twitter, sous certains de leurs postes respectifs. Et ça ne fait que quelques jours !

Lando avait eut une description du chemin de retour à leur domicile - car Alya et Gabriella vivaient ensemble - avec un arrêt à leur centre équestre pour récupérer la jument d'Alya. Il savait ainsi qu'à la période "creuse", les deux chevaux étaient ramenés sur le terrain qu'Alya possédait - un héritage familiale que la noiraude avait récupérer à sa majorité - pour ensuite passer du temps en pâture avec quelques séances montées pour un plus grand ratio de balade en ville et dans les forêts mitoyennes.

Puis, ils avaient échanger leurs numéros. C'était plus chouette que de rester sur Twitter, car les messages étaient constants. Gabriella envoyait des messages à des heures désordonnées, pour le meilleur et pour le pire. Lorsqu'ils étaient envoyés tôt le matin, il fallait avoir peur - le cerveau de Gaby n'était définitivement pas branché pour être utiliser aussi tard. Quand il avait envoyé un message à Alya à ce sujet, elle lui avait rit au nez.

C'est trop tard, mon pote. Rien ne pourra l'arrêter.

Mais il y avait des périodes de vide, où Gabriella n'était plus sur son téléphone. Lando avait ainsi reçu une photographie de la cavalière endormie devant la télévision, son chien - un berger allemande, plus grand que leur table de salle à manger - blotti contre elle. 

Pour revenir à l'instant présent, Gabriella avait insisté pour faire un appel vidéo - une de ses nouvelles lubies, avait-il appris. La noiraude aimait juste avoir quelqu'un qu'elle appréciait avec elle par moment, sans forcément parler. Et ces moments s'étaient révélés apaisants pour Lando.

Dans une vie où tout allait vite, se poser et juste exister faisait du bien. Et à la vue du sourire de Gabriella, elle le savait mieux que quiconque. Il était facile de vivre dans la périphérie de Gabriella - et il était de plus en plus difficile de savoir vivre sans. Et Lando se sentait comme un putain de camé, et ça le rendait à moitié fou, car ça ne faisait qu'une semaine.

Sabots + Roues = Folie || Formula OneOù les histoires vivent. Découvrez maintenant