Colin Brown
25 octobre.J'avais encore fait un cauchemar. Il étais 5h du matin et je n'arriverai plus à dormir, j'avais peur de la revoir encore une fois, elle hante mes pensés depuis ce jour là. Je me sens salle comme si son odeur ne me quitterai jamais, je déteste ça. Mon cœur battait si fort que j'avais l'impression qu'il allait sortir de ma cage thoracique, je déteste ce sentiment.
J'avais atrocement chaud, mon jogging et mon t-shirt étaient de trop mais je n'arrivais pas à les retirer, je déteste me sentir vulnérable. Plus j'y pense plus j'avais envie de gerber, je déteste quand ça m'arrive. J'avais envie de crier à ces souvenirs qui défilaient dans ma tête de disparaître. Mais on me poserait des millions de questions au quel moi même je n'arriverai pas à répondre, car je voulais tous simplement oublier ce qu'il s'était passé. Chaque contact que les gens font avec moi je me paralyse, je ne bouge plus, je n'ose même plus dire quoique ce soit car je ne veux pas le revivre, je déteste toute cette merde. Et je me déteste surtout de n'avoir rien fait.
Je me redressa retira mon t-shirt et essaya t'en bien que mal d'observer cette chambre faiblement éclairé par les étoiles et la lumière du couloir. Je n'avais pas pris plus de temps que ça pour prendre mon téléphone et sauter du lit, malgré que j'avais encore mal au rein et que marcher rendais cela plus douloureux, j'avais l'impression d'asphyxié dans ma chambre. Aussi discrètement que je ne l'ai pu; malgré que le porte perfusion de merde faisait un bruit épouvantable, moins que celui de Michael en tout cas. Je ne pris que quelques minutes pour me retrouver sur l'une des grandes chaises vides de la passerelle vitrée, je sortis mes écouteurs de ma poche que je brancha à mon iPhone et mis ma première playlist Spotify, avant de me faire déranger par une brune en fauteuil roulant. Me fit un léger sourire et repris son chemin vers l'ascenseur. Les minutes passaient, les musiques défilaient et le solei n'allait pas tarder à ce lever, je devais rejoindre ma chambre avant la prochaine garde.
Je fit le chemin inverse jusqu'à ma chambre, ouvrant doucement la porte pour ne pas me faire cramé, en fermant celle-ci je remarqua que le lit du connard avec qui je partage ma chambre est vide. Dans une heure Mayra rentrait dans la chambre pour nous réveiller comme chaque matin pour nous faire le planning de la journée qui vas ressembler à celle du jour d'avant; plus que quelques semaines avant de rentrer.
Cela ne faisait que 3 jours que j'étais à l'hôpital et j'avais déjà l'impression que ça faisait des années, alors je n'imaginais même pas Michael.
«il est où ?», «il était là quand je suis sorti ?» à vrai dire je n'avais pas vraiment fait attention à lui vu que c'était un con et que j'en avais rien à faire de lui.
Mais en repensant aux événements passés, ses actions, ses crises m'intriguais. Son lit vide, ses draps blancs défait, son livre poser sur la table de nuit, son téléphone à clapet a disparu, Michael était sorti lui aussi. Mon cerveau compris alors très vite pourquoi la petite brune était de sortie si tôt, c'était une des amie de l'autre con, elle était avec lui à la salle de jeux avant-hier.
Je sursauta quand la porte s'ouvrit derrière moi.- Déjà réveillé.
Michel.
- Toi aussi.
- Toujours, j'ai des joins à fumer moi.
Il me dégoûtait.
-T'as dormi cette nuit tu ressembles à un zombie.
Toujours plus.
-Tu peux pas juste la fermer s'il te plaît ?
-Toujours aussi aigris toi.
Il avait pas compris que c'est lui qui me rendait aigris ?
C'était dans un long silence qu'il alla s'asseoir sur son lit pour ouvrir à nouveau son bouquin, après sa crise d'énervement d'hier il ne l'avais pas réouvert, mais plusieurs questions me trottait en tête.- La brune en fauteuil c'est ta copine ? Ton plan cul ? Ou ta sexfriend ?
Sans quitter les yeux de son livre il me répondit d'une voix remplie de concentration.
-Brittany. Et non aucune de ces propositions.
-Ok.
À ma réponse son regarde ce leva vers moi.
- Jaloux ?
Son sourire malicieux voulais tout dire.
- Ce n'est pas mon style de fille.
- Pas de moi trou du cul, d'elle.
Il étais totalement fou.
- Moi jaloux d'elle ? Tu t'es cru dans une nouvelle téléviser ?
Il explosa de rire, j'en pouvais plus, il me fatiguais.
- Aller bonne nuit chéri.
Et sans attendre ma réponse il se coucha dos à moi, remontant ses draps jusqu'au dessus de sa tête laissant quelques mèches blondes y dépasser.
Il n'avait donc pas dormi de la nuit.Micheal Adams
25 octobre.La nuit fut longue Brittany et moi avions trainé dans l'hôpital toute la nuit, on a parlé de tout et de rien, penser au jour de notre sortie de l'hôpital, à tout ce qu'on allait faire derrière ses murs. Malgré que je sache que je mourrais ici, je continue à lui faire croire que j'ai encore foie d'aller mieux. Cette fille c'est comme ma grande sœur, un peu comme ma seul famille.
Allongé dans mon lit le réveil fut difficile quand Mayra arriva avec les petits déjeuners pour nous présenter le planning. Quand elle m'informa que ma psychiatre voulait me voir, alors quand je souffla trou duc me regarda d'un air interrogatif.- Tu veux que je me déshabille pour mieux me mater ?
Son regard répondait déjà à ma question.
- Un ta gueule ne sera pas suffisant.
Dit-il en plongeant ses yeux dans les miens.
Je voulais répondre mais les mots ne sortaient pas de ma bouche. Plonger dans un silence nos regards ne se quittaient pas, comme si aucun de nous ne voulait se séparer de ce moment. J'en avais des frissons.-Euhm... je vais aller me doucher.
Brisant ce lien qui c'était créé entre nous, je me leva, me précipitant dans la salle de bain.
Il n'a rien répondu, juste me regardais traverser la chambre en caleçon.
C'est en fermant la porte derrière moi que ma main eu enfin la liberté de rentrer en contact avec queue, ses yeux, sa bouche, ses bras et son torse musclé, qu'es-ce que j'ai envie de lui à ce moment même. Qu'es-ce que je le déteste. Ma main continuait ses va et vient sur mon sexe durcit, les yeux fermés, mon autre main s'accrochait comme elle le pouvait au lavabo, ma respiration se saccade à chaque mouvement, je me sentais tellement vulnérable. Mon esprit ne pouvait pas arrêter d'imaginer sa bouche à la place de ma main, je gémis le plus silencieusement possible.-Ho putain.
J'ai chuchoté avant d'éjaculer dans ma main. J'avais vraiment besoin d'une douche.Colin Brown
25 octobreQuand son regard avait transpercé le mien, qu'un silence profond c'était installé, pour ensuite être brisé par Mike qui se précipita vers la salle de bain essayant t'en bien que mal de cacher son érection.
Les murs étaient tellement fins que même si il voulait être discret c'était impossible, j'entendais chaque respiration chaque petit bruit que sa main faisait en contact avec sa queue, et pour la première fois j'avais trouvé un point faible de Mike.
Sans vraiment comprendre pourquoi je m'étais levé et rapproché de la porte de la salle de bain, pendant un long moment j'ai hésité à rentrer pour lui faire comprendre qu'il venait de se faire avoir à son propre jeu, mais un de ses gémissements me ramena à la réalité. Le mec de branlais dans NOTRE salle de bain après qu'on se soit juste regarder il avait de sérieux problèmes ce type._______________
Je vous sors un come back tarh mon ex là ?
Oui sûrement ouais.
Bon j'ai pris 1 ans..... c'était long les guys. Mais je me suis fait pirater mon compte genre wtf ensuite grosse galère de la vie je vous raconte pas mais j'ai bien aimer refaire cette petite histoire comme vous avez pu le voir j'ai modifié deux trois truc sur les chapitre d'avant parce que je vais modifier la fin 🙏🏽.Aller je vais essayer de sortir des chapitres un peu plus régulièrement.... Je vous promets rien 🙏🏽🙏🏽🌸
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Two meters from you (boyxboy)
RomantizmL'amour c'est une des plus grosses pute au monde. Fini les bières, fini les fêtes, fini mon adolescence ! Je ne pourrais reprendre que le hockey dans plusieurs mois et de plus je dois partager ma chambre avec un con, qui ne sait pas la fermer, si...