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WA SALAM ALEYKUM

BONNE LECTURE ! ❤️

🥀.

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L A Y L A

Zakarya : y'avais quoi dans cette putain de lettre ?!

— je sais pas.

Je le voyais s'énerver de plus en plus, je n'osais pas lui dire, j'avais ces scènes en tête, je n'arrivais pas à penser à autre chose.

Je sens une mains toucher ma peau, j'ai crue qu'il allait me frapper je me suis éloigner.

Zakarya : Attend, c'est quoi sa?

— Quoi ?

J'avais les larmes au yeux je pensais à toute ses scènes elle n'arrêtait pas de tournait en rond dans ma tête.

Zakarya : Cette cicatrice.

Je regarde mon ventre, il avait monter mon haut.

Je regarde mon teeshirt qui était en sang.

Ce que le gars a fait quand j'étais assise en ne voyant rien.

— Je ne sais pas..

Zakarya : C'est qui qui t'a fais sa?

— Je ne sais même pas son prénom.

Zakarya : ET POURQUOI TA SA ?!

Il attrape violemment ma mâchoire, a ce moment je ne sais pas ce que j'avais mais je me sentais extrêmement mal.

Il tenait violemment ma mâchoire, je le suppliais de la lâcher mais il voulait pas.

— Arrête..

J'en ai eue les larmes au yeux, sa ma fait rappeler tellement de coup.

Tout me venait en tête et sa d'un coup comme si je recevais une violente gifle me rappellent quelque chose.

Mais la c'était pas une gifle, pire qu'une gifle.

Mes traumatismes me revenait tous en tête et sa d'un coup je ne pouvais pas penser à autre chose.

Des qu'il a vue que j'avais les larmes au yeux il m'a lâcher.

Je me suis lâcher de son emprise et me suit enfermer dans l'une des salles de l'hôtel.

C'était un espece d'appartement, il y contenait 5 pièces, des toilettes, la salle de bain, 2 chambre et 1salon avec une cuisine intégrée.

Je me suis enfermer dans l'une des chambres.

Je pense ne jamais avoir autant pleurer, je pleurais sans m'arrêter, tout m'était venue en tête comme une violente gifle me faisait rappeler mon passé, j'en avais tellement mal au coeur.

Je n'arrivais pas à me dire qu'ils m'ont violer, je n'étais pas possible, non je me disais que ce n'était qu'un cauchemar.

J'ai sûrement rêver, je voulais tellement que se sois sa, mais non.

La souffrance de nos cœursOù les histoires vivent. Découvrez maintenant