Trois adultes étaient en train de se disputer dans le hall d'une immense maison dans le coeur de Séoul en Corée du Sud. Une jeune femme était en train de crier sur ses parents et semblait très en colère contre eux. Pourquoi? Je ne sais pas. Cette jeune femme continua de crier sur les deux adultes en face d'elle.
«Mais ca fait quatres ans que j'aurait pu quitter la maison! Vois n'avez pas le droit de me retenir autant j'ai vingt deux ans maintenant je ne suis plus une gamine!»
«Gabrielle ne hausse pas la voix ainsi sur tes parents!»
«J'en ais rien a foutre!! J'en ais marre que vous ne m'écoutiez jamais comme si tout ce que je disait était stupide et n'avais aucun sens! Je suis parfaitement capable de vivre seule maintenant et vous ne pourrez plus me retenir plus longtemps ici avec vous!»
La jeune femme jetta un regard venimeux à ses parents et commença a grimper les marches du grand escalier central. Elle se retourna soudainement pour toiser les deux adultes restés en bas.
«d'ailleurs je part dès maintenant. Je vais préparer mes affaires.»lança-t-elle froidement.
«Gabrielle ne raconte pas n'importe quoi et viens t'excuser tout de suite pour ton vocabulaire!» lui aboya sa mère avec un air sévère.
Son père l'interrompit d'un geste et leva le regard vers sa fille dans les escaliers.
«Laisse chérie.» il sourit doucement a sa fille pour la rassurer. «Gabrielle si tu te sens capable d'aller vivre seule dans un appartement c'est ton choix et nous ne pouvons que le respecter. Cependant je croit que tu te rappelle de notre condition pour la fin de tes études n'est ce pas?»
Le regarde de la jeune femme s'assombrit, elle n'aimait pas cette condition mais elle l'avait acceptée au début de ses études et maintenant elle devait la suivre. De toutes façons ce n'était pas si grave n'est ce pas? Elle aurait juste à se préparer. Elle savait que son père était plus compréhensif que sa mère mais elle espérait secrètement qu'il ait oublié cette condition ou qu'il ait préféré l'annuler.
«D'accord.»soupira-t-elle. «Mais je veux que vois me laissiez choisir mon appartement. Je ne veux pas que vous m'en trouviez un dans la maison d'à côté.»
«Mince alors tu nous as démasqués.» ricana son père avec un sourire malicieux. « Vas préparer tes affaires maintenant tu peux partir quand tu veux»
Gabrielle leva les yeux aux ciel en souriant puis monta les escaliers et se rendit dans sa chambre. Elle entendit encore sa mère protester contre son père mais elle n'y preta pas d'attention. Elle savais que sa mère ne voulait pas qu'elle parte mais elle voulait vivre sa vie d'étudiante normalement et comme tout le monde.Son père lui avait dit qu'elle pouvait partir et avoir son appartement et sa mère ne pourrait rien faire pour la retenir. Cela faisait déjà quatres ans que sa mère la gardait prisonniere dans cette maison. Bien que cette demeure était immense et ressemblait plus à un manoir qu'une maison normale, elle se sentait prisonnière entre ses murs. Ses amies l'enviaient de vivre dans une si belle maison mais elle leur aurait volontiers cédée, Gabrielle préférerait largement un petit appartement confortable plutôt que cette maison.
Elle se jeta dans son immense lit et s'allongea pour réfléchir. Cette magnifique chambre allait lui manquer mais elle était contente de pouvoir avoir un appartement sans ses parents. Elle voulait avoir un ou une colocataire car elle ne voulait pas être seule. Elle décida d'appeler son frère ,qui avait trouvé son appartement et quitté la maison familiale depuis déjà plusieurs année déjà, pour lui demander des conseils dans la recherche de son nouvel appartement.
Son frère décrocha au bout de deux sonneries.
«allo Gabby ca va?»La jeune femme sourit, elle avait toujours été proche de son grand frère et elle l'aimait plus que tout au monde. Il était son seul et unique soutien dans la famille. Et il avait toujours été là pour elle dans les moments difficiles.
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M'aimeras tu encore?
RomanceGabrielle ne pensait pas qu'elle serait un jour attirée par ce garçon. Le meilleur ami de son frère. Son nouveau colocataire. Comment sera la relation entre ses deux personnes forcés de rentrer dans la vie de l'autre? Tu as forcé les portes de mon c...