Chapitre 5

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Ethan était de retour a l'aéroport. Il était arrivé hier matin, et voila que ce matin ci, il y était de retour. Il le connaissais bien, l'aéroport d'Orly. Il avait, cette fois ci, un avion privée, de l'OSE. Il entrèrent à bord, tout deux, suivit de McLay. Une fois installé dans l'avion, qui était d'une luxuriance parfaite, une jeune demoiselle leur apporta de quoi boire.

- Je ne savais pas que l'OSE avait une agence au États-Unis. Dit Ethan.

- Et si ! S'exclama McLay. Cela est plus simple lorsque vous avez des missions a l'étranger.

- Il y en a dans 57 pays au monde, l'informa Martin.

- Reparlons de l'affaire, dit Ethan, pouvais vous nous le décrire physiquement ?

- Il est très grand. Nous ne connaissons pas grand-chose sur lui, mais il est très terrifiant. Il à des yeux d'un bleu puissant, qui pénètrent dans votre corps. Mais ce qui est difficile, c'est qu'il porte une capuche, et une longue robe noir, ce qui le rend moins visible, et plus prophétique pour ces fanatique.

Ethan voyais très bien a quoi pouvais ressemblé cette homme, l'image qu'il voyait dans son esprit ne le rassurait guère.

Il passèrent le restent du voyage a se reposer, car il savait que ce qui allait leur arriver par la suite n'allait pas être de tout repos.

Les agents arrivèrent à New York dans les environs de 17h. M. McLay les conduis a une voiture qui les attendais devant l'aéroport. Cette voiture avais une plaque du FBI :

- Pourquoi la voiture est immatriculé au FBI ? Demanda Ethan.

- Nous travaillons, lui répondit McLay, en collaboration avec le FBI, Ils peuvent nous fournir des informations lorsqu'il en ont besoins, et vice versa.

Ils entrèrent dans la voiture et commencèrent a roulait dans les rues New-yorkaise.

- C'est un rêve qui se réalise de venir ici, dit Ethan à Martin.

- New York... C'est vrai que c'est une ville magnifique, lui répondit Martin.

Il passèrent dans de grandes avenues, semblables à celles de films que l'on peut voir à la télévision. McLay laissa les deux agents a admirait sa ville tandis qu'il prévenait son patron que les deux agents arrivait.

 McLay laissa les deux agents a admirait sa ville tandis qu'il prévenait son patron que les deux agents arrivait

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