La tempête de neige

chapitre 1: Dimitri, l'enfant prodige

J'avais à peine 3 mois quand mon pouvoir s'est déclenché. Mes parents ce sont tous de suite rendus compte.
Quand j'avais daim, je ne pleurais pas.
Quand j'avais mal, je ne pleurais pas.
Quand je n'arrivais pas à dormir, je ne criais pas.
J'envoyais simplement des signaux par télépathie. J'envoyais des images.
Mais il n'y avait pas que ça qui me différenciai des autres. J'étais aussi en avance.
J'étais propre avant les autres et je savais parler correctement à 1 ans.
J'ai su marcher de jour au lendemain et je n'avais pas eu besoin d'aide de mes sœurs.
A l'école aussi, j'étais en avance. J'ai saute le CP et le CM1.
Pour moi, tous était facile.
Sauf le sport.
Chaques efforts physiques m'étaient douloureux.
De plus je suis albinos. Je ne supporte pas le soleil.
Et à cause de ça, les médias et les médecins commencèrent à s'intéresser de trop près de mon cas.
Pour ma sécurité, nos parents décidèrent de déménager. Nous avons quitté la Russie en douce pour partir en Suède à Stockholm.
A ce moment là, je n'avais que 7 ans du coup, je me suis habitué facilement. Pour mes sœurs et mes parents, ce fut une autre paire de jambe.
Au faite, j'ai complètement oublié de vous les présenter.
La plus grande s'appelle Mâcha. Elle a 16 ans. Elle adore la lecture et fait des études pour devenir journaliste.
Celle du milieu, Chaïsa, adore défendre des causes. Elle veut devenir avocate et à 15 ans.
La dernière, après moi, s'appelle Sisi. Elle est calme et timide et adore les animaux. Elle a 11 ans.
Et ol y a nos parents : Marco et Aïdoline Travish.
                               *  *  *

Ce soir là, on était tous occupé à préparer la maison pour Noël. Dehors, on neigeait très fort et on entendait le vent souffler dans la cheminée.
On n'y voyait presque rien. A part la lumière flou d'un lampadaire au loin.
Au bout de quelques minutes, je distinguai quelque chose. E y regardant de plus près, ce quelque chose avait plutôt une forme humaine.
Ce qui était étrange puisque personne ne sortait à cette période de l'année. Surtout avec ce temps là.
<<Maman, viens voir, il y a quelqu'un dehors!>>
M'entendant dire ça, elle ce retourna et haussa les sourcils.
<<tu es sur de toi Dimitri ?>>
Sa phrase me fit douter mais quand j'ai vus la réaction de la mère, j'ai tous de suite compris qu'elle aussi l'avait vu. <<c'est étrange. Je vais ouvrir. Si ça ce trouve, c'est un visiteur qui s'est égaré.
-Franchement, je ne serai pas étonné. Ces étrangers sont tellement curieux qu'ils pourraient ce tuer rien que pour prendre des photos, avait dit mon père.
Je me tournai à nouveau à la fenêtre pour voir que ce...visiteur, cette ombre, s'approchait de notre maison.
<<ce qui est sur, c'est que notre maison l'intéresse, avais je dis.
Alors que ma mère commençait à ouvrir la porte, l'inconnu avançait de plus en plus vite.
Quand elle ouvrit enfin la porte, toutes les lumières s'éteignirent.
On entendit un cri étouffé puis un vase qui tombe. Mon père ce leva du canapé, m'attrapa et couru à la cuisine, la ou il y avait mes sœurs.
Ce fut Sisi qui parla la première :
<<papa, qu'est ce qui ce passe ?
<<je ne sais pas les enfants. Ce qui est sur, c'est que qu'ici, vous n'êtes pas en sécurité. Viys vous souvenez de notre cachette fav...Ha!
Notre père avait été touché.
<<allez y maintenant !>>
Mâcha m'attrapa et me jeta comme un sac à patates sur son épaule.
Elles coururent le plus vite possible à notre cachette et laissames notre père ce battre contre l'inconnu.
<<pourquoi je n'entends plus les pensées de maman ?