💮Hidan x Temari💮Ménage

💮Hidatema💮

💮 Fanfiction concours : Kakuzuxhidanxdeidara 💮

💮Temari💮

Elle inspira profondément et frappa à la porte. Ce n'est pas qu'elle avait peur d'être chez Hidan – elle s'était depuis longtemps habituée à son attitude et à sa personnalité explosive. Non, ce n'était pas lui qui faisait peur. La porte s'ouvrit et elle se retrouva face à face avec une femme aux cheveux violacé plus grande, pieds nus et tenant un balai à la main. Elle avait un regard interrogateur, alors Temari s'expliqua rapidement.

"Tu es ici pour voir mon fils ?" Elle avait l’air confuse. "Es-tu sûr que tu n'es pas dans la mauvaise maison ?"

Temari rigola nerveusement. "Non, je suis ici pour voir Hidan. Nous avons un devoir à accomplir." Elle leva son sac à dos et commença à le fouiller, pour finalement en sortir les papiers. "Nous étions censés nous rencontrer à la bibliothèque, mais il ne s'est jamais présenté."

« HIDAN ! » Elle tressaillit au son de la voix de la mère d'Hidan et sut qu'elle ne voulait jamais être la cible de ce ton. "Tout va bien, chérie, je vais le chercher. Il a fait le ménage", dit-elle gentiment, un sourire fatigué sur le visage. Elle disparut, puis revint au bout d'un moment. "Entre, entre !"

"Oui, madame," répondit-elle automatiquement en se précipitant à l'intérieur. Elle remuait les orteils en attendant. Sa mère lui avait fait enlever ses chaussures – cela signifiait-il qu'ils allaient travailler sur ce devoir ici ? Ugh, ça la mettait tellement mal à l'aise ! La maison était petite, donc même si elle se trouvait dans une pièce complètement différente, elle pouvait parfaitement entendre leur conversation.

"Je t'ai dit que j'avais des choses à faire," rétorqua Hidan.

"Ce ne sont pas des trucs, c'est des devoirs !" » dit sa mère, d'un ton exaspéré. « J'ai supposé que tu abandonnais tes corvées pour faire de la merde avec tes amis. Tu n'as jamais dit que tu rencontrais une fille !

"Je n'allais pas "rencontrer une fille", maman ! C'est juste des devoirs !"

"Peu importe. Il y a une jolie fille là-bas qui n'avait pas peur de mettre les pieds dans cette maison, alors va te nettoyer."

"Qu'est-ce que tu vas faire?" Il a demandé.

"Lui parlé", répondit-elle.

"Oh, non, ce n'est pas le cas !" A ce moment, Hidan apparut en haut des escaliers. Il arracha son tablier et le jeta de côté. "Désolé," grommela-t-il en passant devant Temari. "Nous ne travaillons pas ici."

"C'est bien, vraiment !" dit-elle en se précipitant après lui. "Ça ne me dérange pas ! Ta mère est gentille."

"MAMAN, NOUS PARTONS !" cria-t-il, l'ignorant.

Quelques minutes plus tard, ils étaient hors de la maison et marchaient dans la rue. Le silence n'était pas inconfortable, mais il n'était pas idéal. Elle lui jeta un coup d'œil, les mains fourrées dans ses poches, fronçant les sourcils et fixant le sol. "Est-ce que tu aides beaucoup ta mère à nettoyer ?"

Il haussa les épaules. "Pourquoi est-ce que tu t'en préoccupes?"

Elle détourna le regard en haussant les sourcils. "Je… fais juste la conversation. Je… je ne savais juste pas que tu étais si domestique. Je veux dire, je ne sais vraiment rien de toi."

"Et ?" Il a arreté. "Quoi ? Tu veux être amis maintenant ?"

"Je pensais que nous étions amis", dit-elle en se plaçant devant lui. « En fait, je me suis porté volontaire pour être ta partenaire parce que je voulais mieux te connaître. Je veux dire, tu dois être plus qu'un adolescent en colère qui a juré d'être le rival juré de shikamaru, n'est-ce pas ? Elle sourit et pendant un instant, on aurait dit qu'il rougit. Mais ça aurait pu être l'éclairage. Le soleil commençait à se coucher, projetant une lueur rouge-orange sur presque tout.

"Ça va dans les deux sens, tu sais," dit-il doucement, marchant à nouveau.

"Tu veux savoir quelque chose sur moi ?" C'était certainement un côté qu'elle n'avait jamais vu auparavant. "Bien sûr, demande-moi n'importe quoi !"

"En fait, je ne veux pas savoir, je disais juste", marmonna-t-il.

"Oh, peu importe", a-t-elle ri.

"Bien." Il planta fermement ses pieds et la regarda de haut. "Est-ce que toi et cet idiot de shikamaru sortez ensemble ?"

La question semblait sortir de nulle part. Non seulement elle avait supposé que personne ne remarquerait ses regards volés, mais la dernière personne à laquelle elle s'attendait à l'appeler se tenait juste derrière elle à ce moment-là. "Nous ne sommes que des amis", dit-elle enfin.

"Amis, hein ?" Elle pouvait entendre un petit rire. "Alors, tu veux être mon ami, n'est-ce pas ? Est-ce que ça veut dire que tu vas me regarder comme tu le regardes, quand tu penses que personne d'autre ne te regarde ?"

Elle se retourna, son expression étant un mélange de colère et d'embarras. "Alors, tu m'espionnes , maintenant ?"

Il haussa un sourcil. "Je n'ai pas besoin d'espionner, c'est évident pour quiconque y prête attention."

"Et pourquoi fais-tu attention à moi , de toute façon ?" » a-t-elle demandé. Cela aurait pu être un peu injuste de sa part de s'énerver autant, mais il n'était pas juste non plus – la confronter avec toutes ces choses sur shikamaru – ce qui ne le regardait absolument pas.

Mais quelque chose dans ses paroles l'avait fait faire une pause et reculer. L'avait-elle accidentellement rappelé à propos de quelque chose par accident ? En réponse, il l'a simplement dépassée dans la rue. Ils ont ensuite laissé tomber le sujet. Il n'a plus insisté et elle a arrêté d'essayer de le connaître. Le projet s'est achevé dans un silence relatif. Ce n’est que lorsqu’ils se séparèrent qu’il parla enfin.

« Écoute, ce truc entre shikamaru et moi… c'est… ce n'est pas toute ma vie. Hidan était presque solennel en parlant. "Ce que j'essaie de dire, c'est qu'il y a plus en moi que ça."

Elle pencha la tête en souriant et dit d'un ton taquin : « Comme faire le ménage ?

"Ouais, comme le ménage", dit-il, provoquant un petit rire. Il s'est détourné. "Ne t'attends pas à ce que je déjeune avec toi, mais ce serait... bien si nous parlions... plus. Tu sais, à l'école."

"Ça me semble bien aussi." Ils se dirent au revoir et chacun partit dans des directions opposées. Ses joues étaient chaudes et elle posa ses mains dessus. Ce sentiment... est-ce qu'elle rougissait ? Elle sourit intérieurement et serra un peu plus fort ses bras contre sa poitrine.

Fin.