Chapitre 13: Les égouts

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Nos cris faisaient écho dans ce long tunnel où nous tombons dans un peu moins d'un mètre d'eau usagée. La chute était déjà douloureuse, mais la succession de barreaux heurtent nos têtes nous assommaient.

En atterrissement j'avais bu la tasse.

« Quelle horreur ! »

De plus, j'avais mal à ma jambe gauche, s'était elle qui avait pris le choque de tout mon poids. Marcus se tenant à quatre pattes en train de cracher l'eau infecte.

- Ça va ?, lui demandais-je avec une faible voix.

- Heu... Je crois, hésitait-il en s'inspectent.

Nous voici dans les égouts puant de l'asile. Je me mettais sur mes deux jambes et sentais une douleur me parcourir comme une crampe, je boitais un peu en faisant quelques pas.

- Tu arrives à te relever ?, lui demandais-je.

- Oui, répondait-il en se relevant tout doucement.

- Super. Tu as une idée de où il faut se diriger ?

- Heu....Non.

Je regardais tout autour de moi, mais rien de concluent. La hauteur sous plafond était d'au moins quatre mètres ! Et puis on ne pouvait pas avoir d'autres choix que d'avancer, derrière nous se trouver un mur avec quelques panneaux de consignes de sécurité à moitié effacées. Malgré tout il y avait un plan d'évacuation, il était un peu haut et lui aussi pas très lisible.

- Marcus, tu vois quelque chose sur le plan là-haut ?, lui montrais-je.

Il plissait les yeux et se déplaçait en évitent le reflet du panneaux.

- Je crois que nous devons avançait par là, me montrait-il le seul et éventuel chemin, et après....

- Oui donc on avance tout cours, concluais-je en le regardent avec un petit sourire. C'est pas grave on verra bien où cela nous mène.

J'avançais en premier dans ce foutu marécage puant et verdâtre.

- J'ose même pas te demandais si tu es déjà venu te balader ici, plaisantais-je.

- Non...mais s'il y a une sortie je crois que j'aurais dû venir avant.

- Peut-être qu'il y a des poissons. Un petit cours de pêche à la ligne !, rigolais-je.

Voilà que nous avançons dans notre terrible péripétie qui ne nous empêcher pas de nous vanner un peu pour détendre l'atmosphère. De plus, Marcus semblait de plus en plus détendu qu'au début au dépit des évènements.

« Je pense que ma présence le rassure et l'aide à se dire qu'il pourra partir de cette tôle pour dingue de degrés 1000 ! Au moins ! »

La marche était pénible est ralentit par les débris sous nos pieds, quelque chose de vraiment dégueu. Le bruit de l'eau résonnait au vu de la grandeur du tunnel.

Nous arrivons à un croisement un peu plus réconfortent, une petite échelle montée sur les bords de pierre comme des trottoirs, je ne sais pas comment on appel ça après tout je ne travail pas dans ce milieu.

Marcus montait en premier pour pouvoir m'aider à escalader car ma jambe me faisait toujours souffrir. Je me massais, mais la douleur persistait.

On marchait le long du canal qui semblait sans fin.

- Alors. Tu es arrivé comment ici ? Sans indiscrétion, engageais-je la conversation pour tuer ce silence mortuaire.

- Heu...

Outlast le commencementOù les histoires vivent. Découvrez maintenant