Chapitre 38

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Comment vous dire que pendant quatre jours c'était de la folie furieuse. Entre mes tentatives de trouver un cadeau pour les futurs mariés, de trouver une robe pour le mariage de Alyssa, de satisfaire la Wedding Planeur qui n'arrêter pas de m'appeler pour que je teste les menus pour notre mariage puis Dario qui passer son temps dans les cachots à torturer Marcus, c'était de la jolie furieuse à la maison. En tout cas mon épaule à pus se remettre et si j'évite de faire de grand mouvement, je peux m'en servir normalement.

Le mariage de Alyssa étais dans cinq jours mais dans le programme qu'elle m'a envoyer, je devais être présente la vieil pour que nous fassions une soirée filles où des professionnelles venais nous masser, nous faire les ongles des mains et des pieds et tout un tas de prestation exquis pour les femmes donc comme Dario à un jet privé "merci la vie de Mafieux" nous avons pu décoller en direction de San Diego sauf que nous avons près de 14 h de vol dans nous sommes partie le quatrième jours à 4h du matin. Je dois vous dire que sa pique parce que la nuit, moi je dors et me réveiller pour prendre l'avion ce n'est pas une partie de plaisir. Heureusement que Dario a pris les choses en mains et ma mise au lit dans sa cabine privé dans le jet. J'avais prévu le coup en mettant toute nos affaires dans la voiture avant la nuit donc le personnelle avait juste à les mettre dans le jet et moi à aller dormir emmitoufler dans mon plaid avec qui j'ai passé le trajet en voiture. Bien que Dario c'était habiller d'un costume comme tous les jours, moi je suis resté en pyjama, enrouler dans un plaid bien chaud, j'ai tenu dans la voiture car Dario me parler mais une fois sur le lit, j'ai enlevé mon jogging ayant chaud puis il a y plus personne. J'ai senti les secousses de l'avion pendant le décollage et une personne s'invita dans la cabine, sachant que seul le propriétaire pouvait rentrer, je ne me suis pas inquiéter puis son corps ses allonger contre le mien, je me suis collé à lui pour chercher de la chaleur et je me suis rendormi.

Le soleil tapa contre la vitre ce qui me réveilla, prenant la couette pour me cacher les yeux, elle ne vient pas, j'ai beau tirer, rien à faire quelque chose la bloque. J'ouvre les yeux en cherchant ce qui cloche et je vis Dario assied sur la couette en me regardant.

- Ça fais psychopathe de me regarder.

- T'es ma femme, j'ai le droit.

Je ris en sachant que c'est une blague mais en ne l'entendant pas rire, je le regarde et le voie en caleçon, pas de t-shirt et j'ai un peu chaud là.

- Il est quelle heure ? je demande pour penser à autre chose.

- 14h

Me redressant d'un coup, je réalise que nous arrivons dans quatre heures et que je n'ai pas manger, je ne me suis pas douché, rien, je n'ai rien fais. Sauf que Dario me rallonge sur le matelas et me bloque en se mettant sur moi.

- Tu as le temps, tranquille.

- Je vais prendre mon temps Dario, je garde mon énergie pour ce soir, on ne sait jamais ce que Alyssa à prévus après la séance " chouchoutage".

- Tu auras largement le temps de te préparer.

Abandonnant la partie, je me détends en pensant quand même à ce que j'allais porter aujourd'hui sauf que Dario se penche et posa ses lèvres sur les miennes. Participant au baiser, j'entoure son cou de mes bras et sa taille de mes jambes, sa langue s'invita dans ma bouche et je sentie son érection contre mon ventre. Je souris quand Dario descendit ses baiser dans mon cou, ses mains se baladent sur mon corps et une belle chaleur inonde mon être tout entier. Du bout des doigts, je parviens à caresser son sexe à travers le tissu de son caleçon, il gronde en reprenant mes lèvres dans un baiser fougueux, il pousse son corps contre le mien en réclamant plus et comme nous n'avons jamais dépasser ce stade, je pris les choses en main en descendant son caleçon avec mes mains puis le jeta au sol, touchant ses fesses ronde et dur, je remonte sur son dos sculpté et lisse. Un de ses bras s'enroule autour de ma taille puis me soulève pour que je sois sur ses genoux. Remettant mes cheveux derrière mon oreille, il me regarde en déplaçant ses lèvres vers ma poitrine encore cacher dans mon t-shirt. Le passant par-dessus ma tête, il rejoint le vêtement de Dario par terre, celui regarda ma poitrine en se léchant les lèvres puis les posa dessus pour les embrassant quand ses mains descendirent au niveau de ma culotte, je me souviens que je ne porter plus de pantalon. Fourrant mes mains dans ses cheveux, je me lève un peu pour bien mettre mes seins à son niveau et ses doigts caressant mon ventre me donna des frissons, quand il attrapa ma culotte à nouveau, un "crac" se fit et je sus qu'il l'a déchiré. Il approcha ses doigts de sa bouche pour les humidifiés mais je le stop.

- Je crois que c'est assez mouiller, je souris.

Ses yeux se mirent à brilleren constatent au toucher mes paroles, nous faisant basculer en avant, mon dos toucha le matelas et Dario s'insinua entre mes jambes et entra d'un poussé vigoureuse. Je pousse un long gémissement quand il sortit puis entra à nouveau en moi. Un son guttural sortie de sa gorge quand il commença ses vas-et-vas, sa bouche revient dévorer la mienne avec passion, ma tête se mis à tourner tellement que des sensations exquises s'insinua dans mon corps. Quand il se recule complétement en sortant de mon intimité, je ne pus placer un mot qu'il me positionna en levrette puis revient me donner des coups de reins. Ses mains passèrent sur mon ventre pour prendre mes seins et les malaxer, d'une pression il me relève pour que mon dos rencontre son torse, sa bouche alla sucer mon cou et je tourne la tête pour que nos bouches s'unissent également. Je gémis quand une de ses mains descende vers mon clitoris pour le caresser.

- Dario, je souffle.

- Tu aimes ça ?

Hochant de la tête, je retombe en avant pour retourner à quatre pattes en profitant de ses coups de reins qu'il me donne sans relâches. Une secousse se fait et Dario tomba sur le côté en m'entraînant également, nous rions puis je me tourne vers lui pour grimper à califourchon sur son corps. Prenant son membre bien imposant en main, je le mets devant mon entré puis m'abaisse tout doucement dessus jusqu'à la garde le faisant grogner. Embrassant son ventre, je me redresse en commençant à bouger de haut en bas, je fais exprès de rester dans un rythme lent pour le rendre fou et je crois que cela fonctionne puisque je crois le sentir encore plus grossir en moi.

- Plus vite.

L'embrassant, je le fais taire en prenant appui sur le matelas pour accélérer d'un coup. Dario râla en embrassant ma poitrine, il me serra contre lui puis échangea nos places pour prendre le relais, il leva mes jambes sur ses épaules et me pilonna de plus en plus vite, je sais que mes gémissements et mes cries ne doivent pas être discret mais je ne peux pas me retenir, pas moyens. Quand la chaleur monte dans mon ventre, j'accueille mon orgasme avec plaisir en le serrant contre moi tandis qu'il jouit à son tour. Donnant les derniers coups de butoir, Dario s'arrêta pour s'allonger sur moi. J'ai le vagin qui crépite et c'est super bon, les derniers spasmes quittent mon corps quand je le vis se poser à mes côtés. Le regardant reprendre son souffle, je me pose sur le ventre, la tête tourner vers lui.

- J'hésite entre aller manger et prendre une douche, je commente.

- Vu comment on transpire, je vote pour la douche, dit-il avec un petit sourire.

- C'est où ?

Il me pointa derrière moi et vis une petite porte attenante. Je manque de crier quand je suis soulevé du lit mais me calme en l'entendant rire.

- Je vais t'aider, déclare-t-il.

- Vraiment ?

Je hausse un sourcil en sachant qu'il ne vient pas par charité. Passant la porte, je remarque une belle salle de bain mais étant dans un jet privé, je me dis que cela doit être normal, Dario nous fait entrer sous la douche puis allume l'eau, d'abord froide, puis le chaud arriva très vite ce qui me détendis. Dario me posa au sol sous le jet donc je lève les bras pour passer mes cheveux en arrière mais une grimace apparue sur mon visage quand ma cicatrice tira.

- Tu vois, tu as besoin d'aide.

Prenant le gel douche dans sa main, il se fit un plaisir de me laver de haut en bas en accentuant sur des zones qui nous fit rester sous l'eau un long moment.

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Chapitre 38 fini.

Bisous.

Marion.


Une garde du corpsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant