Record of ragnarok { Faire la cours } Poseidon x Minazuki

Prolongue

Poséidon s'était sentit complètement humilié alors qu'il regardait un pauvre livre innocent. Devant lui, se trouvait l'un des conseils de rencontre les plus célèbres pour les novices, vers lequel les dieux et les humains se tournaient dans les moments de désespoir total lorsqu'ils ne parvenaient pas à attirer l'attention de leur amoureuse. Tous les dieux ont parlé ces jours-ci, affirmant que cela les aidait à réussir à obtenir un rendez-vous avec les femmes qu'ils surveillaient depuis des lustres. Apparemment, le livre avait fait des miracles. C'était du mois ce qu'avait dit Hermès lorsque Zeus lui avait posé des questions à ce sujet lors de leur dîner hebdomadaire de famille. Son frère fut immédiatement intéressé. Bien sûr, je serai intéressé par ce genre de livre. Poséidon avait simplement roulé des yeux c'était mis à manger en silence. Son frère était ridicule. Un dieu ne devrait pas avoir besoin de choses aussi frivoles et inutiles pour courtiser les femmes qu'il aimait.

Et pourtant, le fier dieu de la mer s'était retrouvé à regarder le même livre dont il s'était moqué lors du dîner de famille une semaine auparavant, dans un coin sombre isolé de la bibliothèque principale. Poséidon serait damné si un dieu le voyait regarder ce livre en public. Son image soigneusement tissée son statut durement gagné ne pourrait jamais revenir de Helheim. Il serait la risée des dieux et la victime de moquerie alors qu'ils murmuraient dans un faux secret : " il n'est pas si parfait maintenant, n'est-ce pas ? où " Je ne le savais pas ! Il ne peut pas satisfaire sa femme ! "

Et ce n'était pas quelque chose que Poséidon attendait avec impatience. Il pourrait satisfaire sa femme. Il le savait très bien. Mais qui avait dit qu'on pouvait pas devenir un mari encore meilleur ? Il n'était pas du genre à craindre la perfection. Et ainsi, avec cette pensée qui contredit grandement ses propres valeurs, il se dirigea vers son bureau privé, le livre bien blotti dans ses bras de telle manière qu'on ne pourrait jamais voir le titre. Il préfère nager dans les eaux gelées plutôt que de répondre aux questions curieuses de mangeur de fond inutiles qu'étaient les autres dieux.

Si vous voulez savoir ce qui avait provoqué cela, c'est en réalité juste sa femme. Un jour, alors qu'il revenait d'une énième réunion tenue avec les autres sur le sort de l'humanité (Poséidon avait bien envie de ne plus y assister également), il ne plus s'empêcher d'entendre sa femme parler avec Aphrodite. Cette dernière n'avait pas assisté à la réunion cette fois-ci, préférant rattraper la reine des océans sur les derniers potins entendu par la déesse de l'amour.

" Il était si parfait ! Il avait apporté des fleurs et des cadeaux à sa bien-aimée en espérant qu'elle dise oui ! J'ai entendu dire qu'il pleurait alors qu'il s'agenouillait aussi ! Et puis, quand elle était en danger, il s'était précipité comme un chevalier en armure étincelante. C'était tellement romantique ! C'est vraiment le mari parfait !"

Aphrodite hurlait de joie en racontant l'histoire d'un chevalier (Poséidon s'en fichiait vraiment de sa profession). Pour être honnête, Poséidon de se soucier pas vraiment des ragots. Les humains ne lui importaient pas. Qu'ils se mariaient ou non c'était pas son problème. Cependant, le commentaire de sa femme avait retenu son attention.

" Elle a tellement de chance ! Avoir un tel homme s'évanouir à ses genoux comme ça et lui demander de l'épouser d'une manière si romantique !"

" Comment Poséidon a demandé ta main ?"

" Je peux pas le dire. Je te connais. Dès que je te le dirai, tout le monde dans l'Olympe le saura !"

" Juste un indice !"

" Hmmm.... Et bien, il n'y a vraiment rien à dire. Ce n'était pas comme cet humain. Poséidon ne ferait jamais ça."

Minazuki soupira dans ce que Poséidon considéré comme une déception. Il y avait un léger silence de la part de sa femme. Poséidon tendit sans vergogne l'oreille pour entendre tout commentaire supplémentaire de sa part. Sa proposition était romantique, non ? Le dieu se souvint très clairement de sa proposition.