chapitre 26

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Ousmane Sangaré.

Sidy cour pour l'aider à descendre les  escaliers.

Il nous jette Tous des regard de reproches.

Grand-père : vous n'avez pas honte !?....ma petite fille n'es plus parmi nous, et c'est comme ça que,.... que vous l'honorer!.

Ils baissent tous la tête, grand-père s'approche de faty.

Grand-père : fais les dégagé !.... sinon tu me connais ?!, dit-il menaçant.

Ma tante hoche la tête.

Grand-père : en passant... où se trouve mon idiot de fils ?.

Personne ne parle,... silence total.
Grand-père secoue la tête avec un rit nerveux et quitte la maison.

Maman me fait signe qu'on va partir je me dépêche d'aller préparer la voiture.

Fatoumata Diallo.

Tout le monde partent un en un, laissant la maison vide, je me retourne pour monter les escaliers prenant la direction de ma chambre.

..: faty attend,.

__ néné tu n'es pas encore parti ?.

Elle arrive à mes côtés essoufflé.

Néné : non,.. je voulais te dire quelque chose avant...

__ d'accord.. je t'écoute.

Néné : je sais que tu vas me prendre pour une folle comme tout le monde mais... je le sens au plus profond de moi que Aïda est toujours en vie.... notre Aïda est vivant !.

Je la regarde perplexe... donc la mort de Aïda lui a été fatale jusqu'à ce qu'elle perde la raison ?.

Néné : je.. je sais ce que tu penses soeurette, mais je ne suis pas folle, je t'assure !,si jamais ma petite Aïda était mort j-je l'aurais sentir !, dit-elle convaincu.

Je passe la main dans mes cheveux, avant d'essuyer les quelques larme sur mon visage.

Moi : elle..*souffle*, elle est réellement morte grande sœur,

Elle secoue la tête frénétiquement.

Néné :si elle est morte, pourquoi on n'a pas trouvé de corps !?,... RÉPOND ?.

Je ferme les yeux pendant un instant, avant de les rouvrir et voit son visage baigné de larme.

Je part l'enlancer, elle a vraiment perdu la tête ma parole,.
Bien vrai que après l'accident,on n'a pas trouvé de corps seulement la voiture qui s'était retrouvé dans le fleuve.
Si jamais ma fille était vivante elle serait là depuis un moment,... je sais que son corps se trouve quelque part dans le fleuve.

Moi : écoute-moi... elle n'es plus ok, sinon... elle allait venir à la maison, ça fait déjà plus d'un mois !,accepte la vérité hum, je prends son visage en coupe et embrasse son front.

Néné : d'accord... bien tu acceptes sa mort mais pas moi !.

Moi :m--

..: maman..on y va ?.,dit Ousmane.

Néné quitte le couloir en furie...

__ Ousmane attend, dis-je en le voyant suivre sa mère.

Il vient à ma rencontre inquiète..

Ousmane :*fronces les sourcils* vous allez bien ?.

Je lui prends les mains.

__ prend soin de ta mère d'accord mon fils ?,.

Il hoche la tête et me fait un bisou au front.

Ousmane : prenez soin de vous aussi ma tante,... j'y vais..

Il court rejoindre sa mère..

Mon Dieu... tu me manques tellement ma fille.



















Mariam Diallo.

Je lui sort son habit pendant qu'il est dans la salle de bain.

Je me les draps sur le lit, m'assois sur se dernière à l'attendre.

Pendant un instant j'entends du bruit comme si quelqu'un est tombé.

Je cours dans la salle de bain et le trouve par terre essayant d'attraper son siège roulant.

__ mais Salif !,.. je t'ai dit de me faire signe une fois que tu as fini !, je prends son bras mais il me le retire.

Salif : me touche pas !, dit-il enragé.

Je souffle décourage, mais reviens à la charge, et l'aide malgré ses insultes à l'installer sur la fauteuil roulant.

Je pousse et le sort de la salle de bain, je prends son bas de jogging et m'accroupis et le lui mettre, je fais pareil avec un t-shirt blanc.

__ tu veux te coucher ?.

Il ne me répond pas me lance un regard noir.

Je ne fais pas attention à ses manières blessant, je l'aide à s'installer sur le lit et lui met la couverture.

__ tu veux manger quelque chose ?,.

Il lâche un rit nerveux avant de me lancer un regard de haine.

Salif : allé  cache ta joie !...., je suis sûre que c'est ton souhait de me voir comme ça,... dépendant de toi, et dépourvu de mes capacités,.

__ Salif ça me fait mal que tu penses tout cela de moi, je t'ai jamais souhaité de malheur !.

Salif :*regard de haine* si jamais par malheur que j'apprenne que tu es impliqué dans mon accident, Mariam je te le jure sur ce que j'ai de plus chère que je te tuerait sois en sûr, menace t-il avec détermination..

__  Salif arrête de me lancer ces mots blessant je t'en prie, je n'est rien avoir avec ton accident,.

Salif :*ricane*je te déteste tellement si seulement tu savais à quel point, je te hais bordel,.

Je recule, face à tant de haine à mon égard... comment on n'a est arrivé là ?... hé Allah !.

Je me retourne et sort de la chambre mais avant de partir je lui lance...

__ Demain to- .

Salif :*hurle* DÉGAGE !.

Je referme la porte et prend la direction de la chambre d'amis que j'occupe depuis un mois déjà.








À suivre ______________________________________

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