Days does not count

Chapitre 3 : Enfance

  Samya ? Où est-ce qu'elle est passée... Elle avait promis qu'elle ne rentrerai pas trop tard pour me lire une histoire. C'était une promesse. Je l'aime ma sœur. Mes mères nous ont dit très tôt que l'on était pas vraiment leurs enfants à toutes les deux. Elle ont pratiqué ce qu'elles appellent une "aide à la plantation". Elles ont acheté des graines et j'ai poussé dans le ventre d'une de mes mère et ma soeur dans le ventre de notre autre mère. À quelques années d'écart parceque "les graines sont compliqués à obtenir". Ma sœur ressemble donc à notre première maman, cheveux marron, peaux beige un peux sec, des yeux rond et noir. Quand à moi, je suis comme notre deuxième maman. Cheveux noir et crépu, peau marron bois, seuls les yeux ressemblent à ceux de ma sœur. J'ai vécu des choses avec cette famille. Elle me plaît plus que tout. Plus qu'un voyage à la mer où nous ne sommes j'avais aller. Plus qu'une grande maison bien douillete dont j'ai rêver. Plus que ce grand lit bien chaud dans cette grande chambre avec vu sur la forêt que j'imaginais avoir dans une autre vie. Nous n'avions pas beaucoup, mais c'était comme ça. J'étais heureux avec ces trois humaines.

  Un jour, nous étions aller nous promener dans la petite forêt qui bordait la ville. Nous avions prît un goûter que j'attendais avec impatience. Ma sœur avait neuf ans ans, j'en avais quatres. Nous avions installé un grand drap dans une petite clairière où nous avions manger. Ma sœur s'était alors levé après avoir engloutit chaussons aux pommes. J'étais pour la part en pleine bataille avec la crème pâtissière qui s'échappait de tout les côté de ma brioche. C'était un rêve. Mes mères rigolait en me regardant et ma soeur sautait de partout sur la mousse humide tapissant la clairière. Ses pieds s'enfonçait dans la matière imbibé d'eau, qui s'échappait à chaque rebond. Je regardais ce spectacle en mangeant comme ces gens qui regardent un film en mangeant du popcorn. Son pieds a alors traverser le tapis, entraînant son deuxième pieds, ses jambes puis tout son corps jusqu'au bout de ses cheveux qui volaient comme pour signifier leurs désaccord avec la situation. Tout ça s'était passé en quelques secondes.

  Ma mère avait réagi très vite. Elle avait laissé tomber son tupperware de raisins sec qui s'étaient dispersé sur le drap avant de tomber sur le tapis mousseux. Ma sœur avait crié mais s'était arrêté tout de suite, faisant pleurer de peur ma mère. Elle s'était précipité là où se tenait la sœur juste avant et avait plongé, s'écrasant sur la mousse. C'est là qu'elle comprit pourquoi ma soeur s'était arrêté de crier. Elle avait découvert une grotte. Une grande cavité d'a peine plus d'un mètre de haut et de trois ou quatre mètres de large. Les murs étaient en pierre et on voyait en regardant la limite entre la roche et la mousse au plafond qu'il faisait au moins dix centimètres. Il était à quelques endroits enfoncé et formaient des creux de ma taille d'un poing. Ma sœur s'était recroquevillé dans un plus gros creux et fixait le trou par lequel elle était arrivé. Ma mère avait réussi tant bien que mal à se faufiler dans la miniscule entrée et avait rejoint ma sœur. Elle m'avait interdit de rentrer et après avoir fait sortir ma sœur, nous étions rentrées immédiatement chez nous. La journée s'était fini en quelques secondes.