εξουσία exousía

chapitre 3: jurer allégeance

Ce chapitre se lit avec une musique ( ça rajoute beaucoup d'émotions) mais je ne peux pas l'inclure sinon elle va se couper à un moment... Je vous mets le nom d'une playlist qui est très bien pour cette histoire, vous pouvez l'écouter en arrière plan quand vous lisez... ( Pas seulement pour ce chapitre mais pour tous si je ne remets pas de nouvelles playlists )

Fantasy Bard/Tavern Music Compilation
De Celestial Dragonis

J'ai choisis celle-ci mais une playlist de musiques fantastiques fait très bien l'affaire :)
Bonne lecture ♥

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La forêt est de toutes les teintes de rouge et d' orange, le soleil reflète sur les feuilles transformant tout en or. Un chemin de bougies et de runes nous mène au centre de la forêt. Devant moi se tiennent majestueusement les 3 dans leurs robes dorées et leurs couronnes en bois de renne, entourées de toutes les familles de la communauté. Tous baisse la tête sur mon passage. Une larme coule le long de ma joue, la peur ou la beauté de ce moment ?

- courage ma fille, tu portes le sangs de tes déesses, croit en elles et tu ne failleras pas

Les mots réconfortants de ma mère me font relever la tête. Les feuilles mortes sous mes pieds nus me procurent une sensation de réconfort et me permettent d'avancer vers les 3 qui s'inclinent. Je me mets a genoux devant l'hôtel, la plus vieille commence à raconter la légende qui nous a tous menés ici.

« il y a 300 ans, trois jeunes soeurs furent accusées de sorcellerie et comdamnées à l'exile dans la forêt enchantée. La haine et la peur d'un village avaient été rejetées sur trois jeunes filles proches de la nature, et croyant en la force des éléments.
La forêt enchantée avait pour réputation d'être une forêt maléfique renfermant l'âme d'une femme maudite.
Les trois soeurs furent dépouillé maudites et balancées dans les bois, mais leur croyance en la nature et les éléments les sauva. C'était plus qu'une croyance ! Elles développèrent des dons, des dons magiques et élémentaires : l'eau, le feu, l'air, la terre et l'esprit... Elles revinrent au villages vivantes et encore plus fortes ! Certains les comparerent à des déesse ou a des anges mais la plupart les voyait comme des démons venues les hanter même après la mort. Elles furent brûlées vivent le jour de l'automne. Sur leur bûcher elles crièrent que la toute puissante mère terre Gaïa et céleste Hecate les avaient sauvées, que si une personne croiyait en la nature alors celle-ci pouvait être sauvée.
Bien des années plus tard leur journal fut retrouvé, toutes leurs histoires, leurs pensées et leurs croyances étaient inscrites ici. Depuis ce jour, une communauté se forma, une communauté qui croyait en les forces de la nature en ses déesses et tout ce qu'elles apportaient aux vivants. Trois femmes furent choisis pour ecouter les voix des déesses, trois femmes pour commémorer les trois soeurs mortes pour que d'autre puisse vivre.
Toutes personnes croyant en la cause pouvait être admis à sa majorité, le test des déesses lui était soumis puis prenait enfin racine dans la forêt...

2 déesses, 5 element , 3 soeurs pour une communauté: Automne ! »

La plus vieille des 3 commença notre paroles suivent des deux autres 3.

- 2 déesses !

- 5 éléments ! Continua la seconde

- 3 soeurs pour une communauté ! Termina la plus jeune

- Automne ! Criames tous en coeur

La sensation de l'eau du ruisseau sur mon corps me fit frissonner, une rune de chaque élément fut dessinée sur ma poitrine et le symbole de mes déesses et de ma saison fut dessinées sur mon visage. La 3 du milieu pris la parôle:

- jure tu de dédier ta vie et tes croyances à tes déesses, de faire passer la communauté et la nature avant tout ?

Une boule c'était formée au font de ma gorge, étais-je vraiment prête à faire passer la communauté avant tout ? J'aimais vraiment ma famille et mes déesse ainsi que la nature mais... Un doute énorme me tiraillait de l'intérieur. Je voyait autour de moi toute la communauté me regarder avec insistance attendant pas réponse, ma mère me lancea un regard de tristesse et de colère, si je disais non elle serait détruite pour toujours...

- Alors mon enfant ? Me demanda la plus vieille

- oui je le jure... Dis-je dans un souffle