Tranquillement installé dans ce canapé
Je me laisse porter aux bruits de ce requiem
Passant les bateaux, je les vois à ma portée
J'entends cet homme vivant de sa vie de bohème
À travers ma fenêtre, je la vois, elle est là
La Seine, de son eau vive ainsi qu'étincelante
Elle me prend le cœur, munis de son coutelas
Puis elle me laisse à mon sort tout de même aimante
Voilà fini le requiem, la nuit s'installe
Confortablement assis, les lumière sont pâle
Voilà que maintenant, le sommeil me gagne donc
Les yeux à moitiés entrouvert, les passants sur leurs jonques