Maîtresse Du Milliardaire

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Le soleil s'était emparée de la ville avec sa lumière chaude quand je pris une pause je me dirige alors vers le restaurant le plus proche de mon lieu de travail.

Je commande rapidement puis me dépêchait de mangé.

— salut Marie comment vous allez ? Salut ai- je

— je vais très bien merci. Est  ce que t'es satisfait?.demanda-t-elle

— oui ! Répondis je vivement

En effet c'est la patronne du restaurant. Elle est une femme de la cinquantaine elle est adorable elle aime beaucoup ses clients comme tout le monde mais elle à quelques choses de plus que les autres.

Mon téléphone vibra ce qui me fit sortir de mes pensées. je vérifie et c'est Mélanie mon amie et colocataire

Elle:
Coucou Dora

Moi:
Salut Mela ?

Elle:
Et ta journée ?

Moi:
Cool

         Elle :
C'est pour te dire de
ne pas  m'attendre ce soir

Moi:
D'accord

Oh cette fille c'est une vraie fêtarde

Je réponds rapidement et me dirige rapidement vers le magasin dans lequel je travaille.

D'abord c'est une entreprise spécialisée dans la mode et dirigé par une dame assez arrogante; capricieuse ; égoïste et cupide.

Elle possède deux super marché et beaucoup d'autres entreprises dont elle est à la tête.

D'après les rumeurs elle aurait tué son mari pour hérité de tous ces biens.

Mais moi je m'en fou l'essentiel est que je travaille et je prends mon salaire.

Quelques minutes plus tard j'entre dans le magasin et aperçoit Isabelle

— Isodora la bosse te veux dans son bureau toute de suite ! M'informait-elle

— D'accord

Je commençais pas paniquer je vérifie si je suis pas en retard  car j'ai peur qu'elle me renvoie je me dirige alors vers son bureau en me voyant elle sourit.

Waouh ! cela ne me donne pas bonne impression

— bon... bonsoir Madame Evans  dis je en bégayant

— je vois que vous avez peur que je vous renvoie. N'ayez pas peur je ne vais pas vous renvoyer . Si je voulais renvoyer quelqu'un vous seriez la dernière personne. répliquait t'elle en riant bizarrement

À l'attente de ces mots mon cœur  se calma .

— cela fait du bien d'être milliardaire. Continua-t-elle

Je sais!  pas besoin de me rappeler que je suis pauvre .

Je me contente de lui montrer un faux sourire pour cacher ma mauvaise humeur.

Elle se levait de son siège et vins s'asseoir sur son  bureau devant moi.

elle portait une  robe fleurir qui lui arrive à mi cuisses. Ses longues cheveux teintées de rose cascadais sur ses épaules. Son visage légèrement maquiller montrait ses lèvres pulpeuses coloré du rouge .
Malgré qu'elle soit dans les quarantaine elle avait l'air d'être une jeune grâce au nombreuses chirurgie esthétique et plastique qu'elle a faite.

—  je veux vous envoyer à Evans'company pour me prendre  un colis maintenant

Hum mais c'est  l'une des entreprise de son fils ! Et c'est l'une des entreprises les plus connue du pays.

— Mais n'importe qui ne peux y mettre les pieds ! M'étonnais je

— VOUS PENSIEZ QUE SI JE N'ÉTAIT PAS OCCUPÉ J'ALLAIS ME RABAISSER À VOTRE NIVEAU POUR DEMANDER UNE FAVEUR À UNE PAUVRE FILLE COMME  VOUS ? cria t'elle

Pas besoin de faire un tas c'était juste une question.

Ce n'est pas comme si j'ai quelque chose à perdre au contraire j'avais tellement envie de mettre les pieds dans l'une de ses entreprises.

Surtout j'ai vraiment envie de voir ce milliardaire américain reconnu sur le nom Austin Banks mais malheureusement Evans'company ne lui appartient pas.

J'acquiesce puis elle me temps un billet. Que je prend et je dépose dans mes poches.

— Je suppose que c'est pour le taxi. Me dis-je

Je sortis directement de l'entreprise et pile à ma sortie je trouve un taxi que j'arrête il s'arrêta et je lui demande poliment

— pouvez m'amener à Evans'company ?

Le taximan me dévisagea puis me demanda

— Êtes vous sûr que c'est là vous allez puisque vous ne ressemblé pas quel....

— CELA NE VOUS CONCERNE GUERRES. EMMENER MOI À EVANS'COMPANY C'EST TOUT CE QUE JE VOUS DEMANDE. SI JE VAIS À EVANS'COMPANY OÙ PAS CELA NE VOUS REGARDE PAS. C'EST VOTRE ARGENT QUI DOIT VOUS INTÉRESSÉ. Criais-je énervée

Il leva les yeux ciel puis me fit signe d'entrée. J'entre  puis il démarra. Je pris mon temps pour contempler la belle ville. Seulement deux années et je connaissais déjà les rues pas cœur. Et dire il  à deux années que  je ne pouvais pas sortir seul sans me perdre?.

Je me souvenais il y a deux ans comme si c'était hier. Je venais d'arriver en plein  été à los Angeles et j'attendais que Mélanie vienne me chercher

Je m'assoie sur  un banc en attendant qu'elle vienne me chercher j'aperçois un homme qui s'avance vers moi 

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C'est  mon premier livre et je ne suis pas trop bonne en français

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