Everlasting Flower

Chapitre 10

J'arrive au manoir familial et je gare ma voiture. Je me dirige vers la porte, arrivée devant la porte, deux garde me saluent puis se poussent de la porte.

Je rentre dans le manoir, il est dans les alentours de midi, ils sont sûrement entrain de manger.

Je prend un des couloir qui me ramène à la salle à manger. J'avais raison, ils sont entrain de manger, ma mère se tourne et me remarque.

M - Hassan, on attendait pas de la visite, où est ta femme ?

Je ne lui réponds pas et me rapproche de Neya, plus je m'approche d'elle plus je ressens une grande colère montée en moi, j'ai envie de la tuer.

Je l'attrape par la gorge et la soulève.

N - Mais lâche moi !!!

- La prochaine fois que tu essayes de tuer ma femme, du même sang ou pas, je te tue sans aucunes hésitations.

I - Lâche là toute suite, me dit Isac en attrapant mon bras.

- Lâche mon bras si tu ne veut pas te retrouver avec la mâchoire cassé.

Il soupir et retire sa main ce qui est le meilleur choix pour lui si il ne voulait pas mourir avant sa sœur.

Je la lâche, je retourne vers les autres et leur dit :

- Sur ceux, bonne appétit.

Je me tourne et pars, je me demande si Samira c'est réveillé et qu'elle réaction va-t-elle avoir quand je lui dirais qu'elle a failli mourir.

Je prend ma voiture puis je démarre. Arrivé devant chez moi, je gare ma voiture puis je rentre à la maison.

Je vais dans salon et je trouve Samira et Haïlen entrain de discuter ce qui me met fortement en rogne, quand il me remarque enfin, il se lève, me salue et part, quelques secondes de plus et je lui foutais une droite.

S - Ça sert à rien de le regarder comme si t'allait le tuer lui et toute sa famille.

- Son travail n'est pas de discuter avec toi mais de te surveiller.

S - Tu as appelé un médecin ? Il t'a dit ce que j'avais ?

- Le médecin d'hier à été envoyé par Neya pour te drogué et il a failli te tuer.

Elle ne dit rien, se lève et se rapproche de moi en pointant son doigt sur mon torse.

S - Tout ça c'est de TA faute, depuis que je suis dans cette putain de villa, ma vie est encore plus merdique qu'elle ne l'était déjà, pourquoi ? Parce que t'es putain de pas foutu de trouver un alcoolique de merde, je te déteste de toi mon être.

- Samira ne m'insulte pas.

S - Je m'en bas les couilles mais si il faut, je crierais sur le toit que tu est un putain de connard.

- Tu n'as pas de couilles Samira.

S - Tu veux vérifier ?

- Avec plaisir, dis-je avec le sourire en m'approchant d'elle.

S - Qu'est-ce que tu fais là ? C'était une métaphore, t'es pas censé te rapprocher de moi et d'essayé de baisser mon pantalon.

Ça me faire rire de la voir faire semblant de paniquer.

- Oh et je ne vais pas faire que ça Hazinem.

S - Hassan !!!

Répète le encore

- Arrête de crier Samira.

Elle me pousse et cours vers sa chambre.

Reste encore un peu.