New game +

Épisode 6

- Relève toi mon grand. Ça va faire deux heures que tu es allongé au milieu du lotissement.

Deux heures et alors. J'abandonne. Je ne ferais rien de bon pour les autres. Mes amis, si ils ont la force de ce battre continueront mais pour moi c'est fini.

- Je sais que c'est une nouvelle difficile a apprendre mais tu es jeune tu dois te battre. Moi, j'ai vécu et continué sans ma femme ça n'a plus d'intérêt. Mais toi tu es jeune. Tu finira par trouver celle qui sera ta raison de vivre et puis il y Mathias. Tu ne va pas laisser ton frère se battre seul dans ce monde pourri.
Je tourne ma tête vers lui, il n'a pas bouger de son fauteuil et tire sur son barreau de chaise avant de prendre une gorgée de whisky.

- C'est de ma faute si ils sont mort. Pareil pour madame Galantis et tous ceux qui sont mort mais là c'est trop.
- Idiot tu te dis que tu es arrivé trop tard. Mais tu n'aurais pas pu être là. C'était impossible.
- Rien à voir c'est moi, mon frère et un amis qui avons lancé le New game plus sur le jeu.

Un long silence s'installa et le vieux Galantis tira sur son cigare avant d'avaler une gorgée du nectar ambré que contenait son verre. Il repeta plusieurs fois la procédure, toujours sans un mots. Puis il se leva pour rejoindre l'intérieur de sa maison. Confirmait il mes dires en ne m'adressant plus la paroles. Il revint quelque minutes après avec une bouteille et une boîte. Il était simplement parti refaire le plein. Il se ralluma une barre de cancer et rempli son verre avant de me regardé longuement.

- Et alors ? Tu savais ce qu'il allait arriver ?
Je ne peu pas répondre. Les mots reste coincé dans ma gorge et des larmes commençait à se former. Je n'arrive pas à répondre pourtant je sais ce qu'il attend.
- ALORS TU SAVAIS CE QU'IL ALLAIT ARRIVER ? NON ?
C'est la première fois que je l'entend hurler, jamais il n'aurait fais ça avant. Ça m'a couper le souffle. Mais en même temps je me sentais obligé de lui répondre.
- N.Non ! Ma réponse était a peine audible et je vois bien que ça ne lui va pas. Alors je ne sais pas pourquoi et j'ai sûrement l'air idiot mais je me suis mis à hurler.
- NON JE NE SAVAIS PAS !!!
- Voilà c'est pas compliqué. La petite créature nous à dit que vous n'étiez pas au courant. Aller prend le vélo dans mon garage et fou moi le camp. Je veux être pénard pour trinquer avec la mort.

Ce furent les dernier mot  d'une personne respectable. Car même quand je l'ai remercié, il n'a même pas daigné posé un regard vers moi, il regardait seulement le ciel avec attention.