PROLOGUE ~Liza~

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Et nous y voilà !

Je suis enfin arrivée, la plus grande université d'Amérique ; UBLIVE UNIVERSITY.

Ça fait des années que mes parents et moi économisions pour que j'y aille. J'ai toujours rêvé d'aller à cette université et ma chance a enfin tourné ! Mes parents ne sont pas les plus riches du monde ; nous avons une petite boulangerie à Los Angeles qui porte ses fruits, mais qui, depuis quelque temps, ne nous rapportent pas assez pour le chauffage et l'électricité, donc parfois on a l'un, mais pas l'autre. Ma mère est Sénégalaise n'est pas venue légalement si vous voyez ce que je veux dire. Et mon père lui, sa famille avait juste assez pour lui offrir un aller. Ils ont leurs défauts, mais je les adore, ils ont toujours tout fait pour moi et je ne les remercierai jamais assez.

En ce moment même, je suis dans le hall de l'université et... WOW
tout est tout simplement magnifiques ; les casiers, les trophées... oh que je rêve d'en avoir un...
Oui, car je suis une athlète en volleyball, même si ça ne se voit pas parce que je suis plutôt renfermée et j'ai un style « gothique » et que je n'avais pas d'amis.

— Mademoiselle Laurence ?!

J'entends une voix féminine, mais forte, m'appeler, je me retourne et je vois une dame d'une quarantaine d'années. À sa gauche, se tient une jeune femme d'une trentaine d'années, et à sa droite, un jeune
homme brun aux yeux noisettes environ 1 mètre 90  qui me semble  plutôt familier.

-Je me présente ; je suis Madame Everly : la directrice de l'université, voici Madame Pluche : la CPE  et Scott le Quater back du lycée

Pourquoi ça ne m'étonne pas...

-Et aussi celui qui te fera visiter notre chère Université que voici. dit-elle en pavanent ses mains dans le hall.
-D'accord.
-Alors allons-y. Dit-il en ouvrant son bras gauche pour me guider vers les casiers.
Donc là comme tu peux le voir ce sont les casiers, à gauche, c'est le bureau de madame Pluche et en face, c'est le bureau de la directrice en avancent tu peux voir le "bureau" du concierge  : Georges et les classes que tu as dans ton emploi du temps ; tien. Dit-il en me tendant un bout de papier.

On est dans la même classe donc si tu a des questions vient me voir je suis a ta disposition. Dit-il en me faisant un sourire.

plus je le regarde plus j'ai l'impression de l'avoir déjà vu quelque part, donc je me jette a l'eau et au pire je le dit que je les confondue avec quelqu'un d'autre même si sa risque d'être gênant pour lui comme pour moi.
-Désoler mais j'ai une drôle d'impression on  se serait pas déjà vu?
-Ouais...J'avoue que moi aussi sa me fais cette impression.

Je souri légèrement en voyant que je ne suis pas folle et que je ne suis pas la seul a avoir cette impression.

Il me souri en retour et dit :
-Tu n'était pas dans le collège Beverly pars hasard ?

Je le regard avec un ENORME sourire et je dit :
Si ! Toi aussi ?!
-Non j'arrive pas à y croire, c'est toi "Liza la gotique"?!

Après avoir entendus se petit commentaire mon sourire s'efface en deux secondes.

En voyant cette air  sur mon visage, il me regarde et il dit:
-Oh ça va je rigole, et toi ? Tu ma reconnu ?
-Bien-sûr, tu est le gars qui arrêter pas de jouer au Football, on te surnommer "Le roi du Football" et apparemment sa n'a pas changer.
-Ouais, sa a toujours était ma passions.
-Comment sa se fait que tu est dans cette université ?Je veut dire...Cette université coute une blinde, et le collège Beverly n'est pas le collège le plus au de gamme si tu vois se que je veut dire.

Il fait un léger rire et il dit :

— Tu te rappelles la société que mon père rêvait de construire ? Eh bah, il a réussi et on a vite déménagé pour vivre « une vie meilleure », mais j'avoue que ça me manque de jouer avec tout le monde à chat ou à la corde à sauter.

— Ouais, mais ne t'inquiète pas, tu n'as rien raté à part le fait qu'Eva Smith est enceinte.

— Putain, ses parents ont dû la défoncer !

— Je ne te raconte même pas, ses parents ont pété un câble.

— Scotty, tu viens ?

Une voix mielleuse et très féminine nous parvient.

— Désolé, je dois y aller, on peut peut-être être ami comme au bon vieux temps ? Dit-il en partant à petits pas.

— Oui, bien-sûr, comme au bon vieux temps...

— Super à plus alors.

(FAKE) LOVE Où les histoires vivent. Découvrez maintenant