(Gaïa) « eau de Cologne.. »

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Je m'appelle Gaïa qui signifie « terre » en latin. J'avoue que c'est très sophistiqué mais j'aime mon prénom.
Je suis élève à la fac de Manhattan et je vie de ma passion pour l'histoire et l'art. Malheureusement ma vie est plus compliquée qu'elle en a l'air... je suis fille de mafieu. Le gang en question ce nomme les Red Bickers.
Pour revenir à mon histoire, c'était un soir d'été, une semaine avant la rentrée. J'étais en soirée avec mon amie Éléa. Elle et moi avions une sortie sur le thème de bal masqué, j'étais habillé d'une longue robe près du corps verte foncée, qui faisait ressortir mon roux à la perfection. Quand à Éléa elle était habillée d'une belle robe bleu, proche du buste et qui s'évasais au niveau des hanches. On était à l'entrée, et s'apprêtait à rentrer (j'ai a précisé que c'était tout à fait légale notre visite dans cette soirée) quand d'un coup un homme nous arreta.
??: « beautés que faites vous dans un endroit si subtile ? » nous dîmes d'un aire charmeur.
Il était vêtus d'un costards bleu marine, son apparence me disait vaguement quelque choses. Mais qui je sais pas. Je regarde ma meilleure amie et la tire pour la prévenir que la présence de cet homme me mettait vaguement mal alaise et familière.
??: « bah dis Gaïa tu ne veux pas apprendre à me connaître ?? Ton cher parrain... »
Mes yeux devinrent rond de surprise et avant même que je me décide à ouvrir ma bouche pour sortir un mot, je fus interpellée par Éléa qui me disait d'y aller parce qu'on devait rentrer.
Je fis un signe de la main pour lui dire vite au revoir mais le vis plus... Je pensais juste qu'il voulait pas plus bavarder que ça.
Je n'ai jamais connu mon parrain, ou peux être que quand j'étais petite. Je me décide enfin à rentrer dans cette boîte de nuit où toute les personnes présentes étaient habillées de vêtements chique et raffiné et avec sur leur visage, un masque qui cache très bien le visage au point qu'on ne puisse pas savoir leur identité.
Avec Éléa on se posa au niveau d'un carré, pas V.I.P, malheureusement... mais on a pas l'argent pour pouvoir ce payer par nos propres moyens un carré qui coûte un smic. Moi je pourrais, mais demander à mon père serais chose incapable à réaliser. Il aime trop son argent pour le partager. Enfin c'est l'image que j'ai de lui en tout cas.
Je regarde Éléa qui était déjà accroché à un homme au regard d'acier. La tête d'un chasseur de fille. Je cherche pas plus et me sert un verre. D'un coup je sentis une pression s'installer sur mes épaules. On m'observait, et pas très discrètement... À peine la tête tournée je vis un homme brun, mâchoire tracer, yeux que je percevais de loin comme bleu-gris. Son regard intense que je sentis s'alourdir quand il s'approcha de plus en plus. Je dévisageais son corps d'apollon recouvert d'un ensemble 3 pièces tailler je pense sur-mesure.
En plaçant mes doigts sur mes yeux, je me met en tête que ce n'était qu'un rêve et que je me rendrais compte qu'il serait partie. Malheureusement quand j'ouvris les yeux il était là, en face de moi. Son masque en forme de faucon, et ses yeux perçant qui étaient bels et biens bleu argenté. Sans dire un mot je me lève et tente de le regarder mais son regard trop pesant était collé à mes yeux marrons. Je manque de louper un souffle quand je le vis prendre ma main et l'approcher à sa bouche. Son souffle qui tape contre le dos de ma main.
??: « m'accordez-vous une danse ? »
Gaïa: « je ne peux refuser bel apollon.. »
On se dirige vers la piste de danse et débutions une danse. Une danse qui fut ensorcelé, il me fît tourner et tourner et encore, jusqu'à en perde la tête. Quand nos corps se rapprochaient des frissons me traversait le corp. On enchaînait des geste intense de cette danse enflammée, sous pression, avec une atmosphère qui nous disait « soyez collés, soyez en rythme. »
??: « quand je te dis d'y aller tu pars, je te suivrai darling ».
Sans même m'y attendre il me lança de partir, et je fis ce qu'il dit. Je pris une ruelle de la salle de danse.
Cette ruelle était vide jusqu'au moment où seule sa présence comblait la pièce. Une apesanteur plus que plombante et son eau de Cologne qui titillait mes narines a en vouloir l'avoir que pour moi, ma tête dans le creux de son coup. Quand il s'avança il regarda avant tout mes formes posées sur le mur du couloir. Ce couloir qui était éclairé que par un lustre et des néons. Nos corps se rapprochant, je décide de couper cette tension et lui demande:
Gaïa: « qu'elle est ton nom bel apollon? »
??: « déjà le tien. » me répondait-il , comme s'il voulait cacher son identité jusqu'à la fin de la soirée.
« Gaïa » dis-je d'un ton calme.
??: « Gaïa... j'aime. Mais je préfère t'appeler darling. »
Mon coeur manque un battement quand il prononce ce surnom qui en ferait dégoûtée plus d'une... mais pas moi. Soigneusement je pose mon index sur son torse musclé.
Gaïa: « et toi? »
??: « je préfère rien dire reviens un autre jour darling... » et il me tourna le dos pour partir, moi et mon index seul en l'air. Bon, pas tres sympa, mais cet accent mon dieu.. je le veux.
La soirée ce finissait en toute solitude, cet homme m'avait rendu folle.

Mafia's student Où les histoires vivent. Découvrez maintenant