3- La tempête après le calme.

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🎵"I DON'T WANNA SAY GOODBYE CAUSE THIS ONE MEANS FOREVER"🎵

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🎵"I DON'T WANNA SAY GOODBYE CAUSE THIS ONE MEANS FOREVER"🎵






Attention à tous les Otakus !
Ce chapitre contient des
spoils sur l'animé Demon slayer.








Londres, Angleterre





Eva, 22 ans .



Je n'arrivais pas à croire que ça faisait maintenant 12 bonnes années depuis que j'étais ici. C'était fou comme le temps filait à une vitesse lumière.

Dans chaque recoin de Londres, résonnaient des souvenirs de mon passé lointain en Californie.

Cette ville avait su devenir mon nouveau chez-moi, avec ses contrastes saisissants et sa magie intemporelle, elle avait vu mon histoire se tisser à la sienne. Londres, faisait maintenant partie de moi.

Debout sur la terrasse de ma maison qui m'offrait une vue splendide sur la rue, je tenais un verre de vin délicieux entre mes mains.

Eh oui, la petite Eva a bien grandi.

Je fermai doucement mes yeux afin de profiter du chant des oiseaux qui raisonnait comme une berceuse dans mes oreilles.

Alors que j'étais immergée dans ce concert que m'offraient ces animaux volants, un bruit se fit entendre à côté de moi. Lorsque j'ouvris les yeux, c'était une petite hirondelle toute mignonne qui s'était simplement installée sur les bords de la terrasse.

— Salut, ma chérie. Est-ce que tu es venu me dire bonjour?,murmurai-je avec un sourire éclatant sur les lèvres.

L'animal continuait d'émettre des sons, alors j'avançai d'un pas. Bizarrement, il ne bougea point d'un poil.

Quelques secondes après, l'oiseau prit son envol et vint se poser sur mon épaule.C'était tellement magique. Quelque chose de tel ne m'était jamais arrivé.

Ah, vous êtes là, mademoiselle Solntseva, fit une voix. L'oiseau prit peur et s'envola vers un horizon inconnu.

Oui, Mike, je suis là.

Merci d'avoir fait fuir mon oiseau, Mike.

Au début, je n'aimais pas l'idée de vivre avec Mike, mais ces douze années passées avec lui ici m'ont permis d'apprendre à le connaître.

Malgré sa froideur, c'était une personne très sympathique qui avait vraiment su prendre soin de l'enfant que j'étais. Et si on pouvait le dire, en quelque sorte, Mike, était comme un père pour moi, bien que le mien était irremplaçable.

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