Chapitre 49 :

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Sa main ne s'est pas retirer de ma cuisse, même après une vingtaine de minutes. On vient d'arriver sur la piste d'atterrissage, on est en retard mais c'est pas notre faute !

Nous sortons de nos voitures, puis directement nous entrons dans le jet privé, qui nous attendez patiemment.

Lorsque tous le monde est à l'intérieur, le jet comme le décollage. On s'assoit sur les canapés.

Et quand on voient leurs regards sur nous. On c'est que le moment où on va devoir répondre à leurs questions..

-Donc.. vous avez baisés ensembles si on comprends bien ? Dit mon frère.

Des commères. C'est ça qu'ils sont, en vrai.

Je tourne la tête vers lui. Et il fait de même. Un regard complice.

-Rectification. On a pas baisé ensembles. On a fait mieux que ça, répond Rafaël.

-Comme quoi ? Dit Maël.

Ses garçons, sont vraiment trop des commères.

-On a fait l'amour, dit-il avec un sourire de fierté.

Mon copain ce prend un coussin dans la tête de la part de mon grand frère. Déclenchant le rire de tous le monde.

-C'est la même chose ! Vous avez couchés ensembles, dit mon frère.

-Ne me dites pas que c'était sur ce putain de canapé ?! Dit Maël.

-Absolument pas, dis-je.

-Dans la chambre d'hôtel ? Dit Noah.

-Encore moins. C'était dans la voiture à 22 heures passés pour les intéressés, ajoute Rafaël.

-C'est bon ? Maintenant c'est clos ? Demandais-je.

-À mes yeux. Ma mère et Alisson sont toujours vierges.. murmure Sergio.

-Du devra accepter la vérité, parce que aucune de nous 2 ne sommes vierges. Même si je ne connais pas ta mère, dis-je.

-Je préfère pas imaginer la réaction de papa. Déjà qu'il n'était pas au courant sur le fait que vous étiez ensembles. Alors que maintenant vous couchez ensembles ! Dit mon frère.

-Il n'a pas trop son mot à dire. Aucun de nous ne regrette, c'est pas à lui de décider, c'est à nous. Et c'est sûrement pas la dernière fois que ça va se produire, annonçais-je.

Une chance que tout les garçons autour de cette table sont comme les frères, à part Lorenzo qui est vraiment mon frère, et Rafaël qui est mon copain. Donc il n'y a pas autant de gêne que ça. Au contraire. C'est ouvert d'esprit.

-Je ne préfère même pas ima-, commence Sergio.

-N'imagine rien, ça sera mieux pour nous et pour toi, le coupais-je.

-Ouais, parce quand on-, commence Rafaël.

-Rafaël ! L'interpelais-je.

Il met sa tête sur le coter en soufflant avec un soupire, ne me dites pas que-

-T'es sérieux ?! T'es entrain de nous ima-

-Bon après, c'était mémorable. Encore heureux que les images tournent dans la tête, dit-il fièrement.

Je lui met une légère tape sur la nuque, en comprenant qu'il s'imaginait la scène de nous d'hier dans cette voiture.

Un nouveau coussin vole, de Sergio à Rafaël. On éclates tous d'un rire franc. Et maintenant, une bataille de coussins commence.

❃𓆉❃

Nous venons d'atterrir, après plusieurs heures de vol. Mon père nous attends sûrement, et il ne fait pas que sois soyons repérer, même si c'est mal partis.

Après un accord, les garçons vont essayer de nous faire passer sans nous faire cramer. Et si on vient à nous faire cramer, ils diront que j'avais froid.

La porte s'ouvre, les garçons descendent en premier, nous tentons de nous cacher.

-Si vous voulez mon avis, aucun de vous 2 n'est discrets, dit mon père.

Bordel..

-De quoi esque tu parles ? Dit Rafaël en sortant de sa cachette.

-Papa, j'ai super froid. On se revois plus tard ! Criais-je.

Je pars en courant avant que mon père ne remarque que mon partenaire à marquer mon corps de suçons.

Mon copain et moi nous allons installons rapidement dans la voiture, et sans attendre il démarre à toutes vitesse.

On éclates de rires, même si après ça, nous allons nous faire allumer d'être partis à toutes vitesse.

Après quelques minutes de routes, nous arrivons à destination. C'est vraiment pas la même température ! Il fait vachement froid à New York en novembre.

On sort rapidement de la voiture pour entrer dans la maison. Parce qu'il fait vraiment très froid !

Une fois entrés, nous dévalons les escaliers en rigolant comme des enfants.

Je me fait attraper par ses grand bras musclés en nous faisant entrer dans sa chambre, la quel il ferme à clé, puis nous arrivons dans la salle de bain en un rien de temps.

Alors que les jambes étaient enrouler autour de sa taille. Je dépose mes lèvres sur les siennes. Puis sa langue fini par danser avec la mienne.

J'ai tellement envie de lui, maintenant. J'ai l'impression que je pourrais faire l'amour avec tous le temps. C'est addictif, avec lui.

Alors qu'il me dépose sur le lavabo, ses mains passent sous mon t-shirt pour attraper mes hanches. Moi je lui retire directement son t-shirt.

Il est tellement.. beau, magnifique.

Ses lèvres effleures la peau sensible de mon cou. Il connaît mon point sensible et il en jouera, le cou est aussi son point sensible.

Tous s'enflamme rapidement, on finit nus dans la douche. Alors que l'eau chaude coule sur nos corps brûlants. Une chance que aucuns des garçons ne soient dans la maison.

La buée dans la douche s'accumulent, nos respirations sont rapides. Avant de commencer quoi que ce soit, nous décidons de nous laver.

Alors que ses caresses parcourent tous mon corps, le savon se fait retirer par l'eau qui nous tombe dessus.

J'en profite pour attaquer sont point sensible, la peau de son cou. Nos respirations ce fait bien plus fortes et profonde.

Alors que nos langues et nos lèvres ce retrouvent. Il agrippe les cuisses pour m'inciter à les enrouler autour de sa taille.

Il nous fait sortir de la douche en coupant l'eau. Tout en nous embrassant. Il nous sèche rapidement, pour éviter de mettre de l'eau de partout.

Une fois que nous sommes secs avec nos cheveux humides. Il embrasse ma mâchoire en nous déplaçant dans sa chambre, ou plutôt dans son lit.

The FearsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant