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PDV Soren
Vendredi.
Ce soir je vais dormir chez Khalis, ses parents m'adore je n'ais jamais trop compris pourquoi, je ne suis pas le genre de gamin que les parents aiment ils me trouvent trop discret, faible le teint trop livide ils me prennent pour un misanthrope.
Sa mère me prend dans ses bras et me fait la bise, c'est une petite femme avec la peau hâlé comme son fils, des cheveux noirs charbonneux.
Sa mère - Comment vas- tu mon grand !?
Je reste un temps au salon pour parler avec sa mère.
Quelques minutes plus tard Khalis me tire par le bras pour monter dans sa chambre qui se trouve au deuxième étage, sa famille est assez aisée son père travaille dans l'immobilier et sa mère architecte.
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                                      19h
Moi -  Attends Attends Khalis ? C'est une blague ? Tu passes ton vendredi soir avec une autre que moi ? Tu veux plus qu'on soit amis c'est ça ? Si c'est ça tu peu~
Khalis - Eh ! Arrête ! C'est bon là, je vais juste passer une soirée avec elle où est le mal ?
Moi - On a passé tous nos vendredis soir ensemble tu m'entends TOUS on en à loupés aucuns et là voilà cette espèce de blonde qui débarque, et tu me laisses tomber ?
Khalis - Ok nan je crois que ta pas très bien compris.
Moi - Oh que si j'ai compris.
Je fais de grands pas pour quitter la pièce au plus vite. Khalis me considère vraiment comme son meilleur ami ou alors je suis qu'un simple bouche trou ?
Depuis que cette Nala est arrivée rien n'est plus comme avant, Khalis et moi ne passons presque plus de temps ensemble. Je me remémore tout ce qu'il sait passé avant que cette maudite rentrée nous sépare il y a 1 mois, Khalis et moi à la cantine entrain de parler de nos passions communes, lui et moi entrain de chercher ce qu'on allait faire le vendredi suivant... Aujourd'hui à ma place se trouve une blonde, mince, grands yeux verts... Tout pour faire tomber un garçon amoureux d'elle. Mais pas moi, non moi je ne suis pas comme Khalis à sortir avec une fille juste sous prétexte qu'elle est jolie.
Je m'assois sur le toboggan sur lequel nous jouions petit. Les bras croisés sur mes jambes la tête enfouit dans mes bras, des larmes coulent et ma poitrine me fait atrocement mal, je ne comprends pas pourquoi.
Je ne suis pas rentré chez Khalis, mon premier vendredi soir seul...
Je ferais sûrement mieux de me calmer car leur histoire ne durera pas longtemps.

Love in the banana milk Où les histoires vivent. Découvrez maintenant