Mes Trois Voisins Coquins - Tome 1 / Bientôt Réécrit

33 - Il suffit de demander..🔞

Matteo

Léa est tellement rouge qu'elle ressemble à une tomate, et je ne sais pas si je dois rire ou pleurer, elle réussit à être belle de toutes les façons possibles.

Quand elle est triste, stressée, gênée ou timide, elle est parfaite à mes yeux.

— Ne sois pas timide Léa
Léa : Qui a dit que j'étais timide ?

– Je suppose que tu l'es, puisque tu rougis.

Léa roule des yeux et j'en profite pour lui donner un petit baiser sur le front.

— Dis-moi ce qu'Emmanuela a dit d'autre ?
Léa : Il faut qu'on parle, toi, Dylan et moi.

— Parler de quoi ?
Léa : Tu le sauras le moment venu.

Je l'ai regardée fixement et je n'ai rien dit de plus. Léa a souri faiblement et m'a tourné le dos.

[Jeudi]

Léa

Nous nous sommes beaucoup amusés ces derniers jours au camp. Nous Prof a dit que comme c'était la dernière semaine de camp, nous allions en profiter au maximum.

Ces derniers jours, nous avons fait des choses incroyables ici au camp, comme nager dans les rivières, escalader une montagne pas très loin d'ici, et même être traqués par un ourson.

Bref, c'est la meilleure semaine depuis notre arrivée !

Aujourd'hui, nous sommes jeudi et Emmanuela a réussi à me convaincre de faire les « adieux » avec les garçons.

Ce sera une expérience très différente et, à mon avis, assez embarrassante.

[...]

Nous sommes tous autour du feu de camp, y compris le professeur.

Professeur : demain, c'est votre dernier jour au camp, j'espère que vous vous êtes bien amusés.

Anthony : trop
— Je suis d'accord avec Anthony, - on a dit Emmanuela et moi.

Professeur : alors que la fête commence

Exactement ce que vous avez lu, comme aujourd'hui est notre avant-dernier jour au camp, le professeur nous a donné l'autorisation d'organiser une "fête".

Et ça vaut pour demain.

Je suis du côté de Dylan et Matteo.

Et ces derniers jours, ils ne se sont pas disputés.

Dylan : Léa, sache que je t'aime quoi qu'il arrive, promets-moi que même si nous rompons, nous resterons proches, ou du moins nous serons amis.

Dylan, Anthony et Matteo agissent bizarrement ces derniers temps.

J'ai remarqué que ces derniers jours, ils étaient plus affectueux envers moi.

Hier, j'ai vu Anthony se disputer avec Matteo et Dylan, et quand ils ont remarqué ma présence, ils étaient silencieux et effrayés.

Pour une raison quelconque, cela m'a laissé décongestionna au point de penser qu'ils me cachent quelque chose de grave et qui m'implique.

— Je vais faire pipi, dis-je quelques secondes avant de me lever.

Anthony

– Je sais que vous l'aimez, mais elle doit connaître la vérité.

Matteo : ne fait pas chier, on a dit qu'on allait tout raconter dès que le putain de camp sera fini.

— Je sais, mais je sais aussi que vous vous inquiétez de ce qui va se passer quand elle saura pour le pari que vous avez fait.

Dylan : J'espère qu'elle pourra nous pardonner.
Matteo : Je l'espère bien.

J'ai soupiré avant d'ouvrir mes bras et donner un câlin à chacun d'entre eux.

Aussi idiots qu'ils soient, je les aime de tout mon cœur et je ferais tout pour les voir heureux.

Léa

Matteo :  réveille toi, Princesse.

J'entends la voix de Matteo m'appeler, mais j'ai préférée ignorer et continuer à dormir.

Mais j'ai eu peur quand il a commencé à remuer mon corps.

— ça y est , Je me suis déjà réveillée. — Je me gratte l'œil et je remarque son regard étrange – quoi ? Tu vas continuer à me regarder ou je peux retourner dormir ?

Matteo :  tes gémissements sont encore frais dans mon esprit.
— Pardon ?

Matteo rit et passa sa main dans ses cheveux.

Matteo : Tu gémissais pendant que tu dormais, j'imagine que tu as rêvé de moi, je me suis trompé ?

— C'est un autre de tes mensonges à la Con, n'est-ce pas ? — Je demande à voix basse. — Je ne le ferais jamais.

Matteo : "oh. .Matteo... ne t'arrête pas."

J'ai levé les yeux au ciel après avoir entendu cette ridicule imitation des gémissements que j'ai pu dire dans mon sommeil.

J'ai senti la chaleur brûler mon visage et j'ai regardé vers le bas, essayant de cacher ma timidité et ma honte.

J'ai entendu le rire de Matteo et je me suis couvert avec le drap. Je suis entré sous les couvertures et j'ai continué à entendre son rire.

— Arrête ça, Matteo.

Quelques secondes plus tard, sa main toucha ma cuisse et lentement, elle s'éleva lentement.

– Matteo... — Je l'appelle, mais au lieu d'écouter sa réponse, j'ai senti sa main toucher un de mes seins.

La couverture a été tirée, laissant mon visage visible.

Matteo, qu'est-ce qu'il y a ?
— Je viens de me réveiller. S'il te plaît 

Je suis sérieuse, mais il a serré mon sein.

Matteo : Je viens de me réveiller aussi, et c'est pourquoi je te veux.

Matteo ne m'a pas donné le temps de protester, car il a approché son visage du mien et m'a embrassé.

Lentement, ce baiser s'est réchauffé et avec cela, sa main est descendue vers le bas et est très proche de ma culotte.

Matteo : Si tu me le demandes, je te promets de te donner le meilleur orgasme matinal de ta vie.

Je l'entends murmurer dans mon oreille et automatiquement, ma peau a frissonné.

J'ai fermé les yeux et laissé mon corps mou. Matteo est descendu plus bas  sa main et cela a fait qu'un gémissement involontaire sorte de ma bouche.

Matteo : Il suffit de demander, princesse...

Je déteste quand il fait ces choses, il sait bien ce que je veux, et au lieu de me donner ce que je veux , il préfère me voir supplier.

- je veux.. 

Matteo : Tu veux quoi ? Je n'ai pas pu t'entendre, Princesse.

J'entends sa provocation et je suis maudit d'aimer tant qu'il touche mon corps.

– Je veux que tu me touches. – Mes mots sont sortis comme des gémissements d'une fille effrayée.

 — Comment? -demanda Matteo

Je me suis mordu les lèvres dès que ses doigts ont déplacé ma culotte.

— C'est bien pour toi, Princesse?  — Dit-il en introduisant deux de ses doigts à la fois.

J'ouvre mes lèvres tandis que mon regard est sur son regard bleu.

Matteo me regarda avec luxure, tandis que ses doigts s'enfonçaient de plus en plus profondément.

— Hé vous! Qu'est-ce que vous faites là ? — La voix de quelqu'un d'autre ou de l'école a dehors et automatiquement, Matteo et moi arrêtons ce que nous faisons.