𝓒𝓱𝓪𝓹𝓲𝓽𝓻𝓮 2 : 𝓯𝓸𝓻𝓬é

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" 𝑆'𝑎𝑖𝑚𝑒𝑟 𝑠𝑜𝑖𝑒-𝑚𝑒̂𝑚𝑒 𝑒𝑠𝑡 𝑙𝑒 𝑑𝑒́𝑏𝑢𝑡 𝑑'𝑢𝑛𝑒 ℎ𝑖𝑠𝑡𝑜𝑖𝑟𝑒 𝑑'𝑎𝑚𝑜𝑢𝑟 𝑞𝑢𝑖 𝑑𝑢𝑟𝑒𝑟𝑎 𝑡𝑜𝑢𝑡𝑒 𝑢𝑛𝑒 𝑣𝑖𝑒 "

𝑂𝑠𝑐𝑎𝑟 𝑊𝑖𝑙𝑑𝑒












Le seul bruit, qui fait résonner la pièce est mon ventre qui crie famine, encore une fois et je ne pense pas manger maintenant, alors mon estomac attendra.

C'est la seule chose que je puisse faire, attendre, quoi ? La liberté, elle semble si loin maintenant..

Le bruit de la serrure qui s'ouvre me fait sortir de mes pensées, sans me rendre compte, que je me suis mise à strésser, un mauvais pressentiment.

Deux choix , mon ventre va crier victoire ou alors je me mets en mode robot et je me déconnecte de la réalité pour éviter de sentir leur main sur mon pauvre corps tout fin

- Bouge ton cul, tu sors.

Et bien j'ai ma réponse.

Je me lève sans me faire prier, que j'y aille de mon plein gré ou de force, j'irais de toute manière, et je marche, des pas lents et faible au vu de l'état de mon corps, très peu nourri, je marche vers l'enfer

Ces marches , froides, qui sont blanche, je les connais que trop bien, sous les regards de tous ces hommes, vêtus de noir, et tous armés jusqu'aux dents.
Qui fait tâche face à la seule couleur de cette maison.

J'arrive devant cette porte, l'homme qui m'a gentiment accompagné, frappe à cette porte , un homme, cet homme nous ouvre et m'attrapa brutalement le bras, un hoquet de surprise sort de ma bouche due à la violence à laquelle il m'a attrapé pour me faire m'asseoir sur ce canapé trop luxueux pour mes vêtements.

La pièce ou je me trouve est son bureau, les murs aussi blanc que tout le reste de la maison.

Il me fixe, pourquoi il me fixe celui-là, une chose ce trame et je n'aime vraiment pas ça.

L'envie de faire pareil que lui, le fixer, mais m'abstenir est mieux, aucune envie qu'il s'énerve sur moi

Il se racla la gorge avant de m'annoncer sa connerie

- Tu vas te marier, me dis t'il avec un sourire qui est faux

Me quoi ? me marier ? Moi ? Mariage, De quelle mariage ?

Il blague, avec qui ? Quand ? Comment ? Et mon accord dans tout ça, bon ça .. Il me l'on jamais demandé mais,

Me marier avec un inconnu, hors de question

- Non, murmure ai-je, sans me rendre compte que j'ai parlé à voix haute ... Quelle conne

- tu penses vraiment avoir le choix peu être.
Je ne l'ai jamais eu de toute façon.

- Avec qui ? Et quand ? Pourquoi ?

- oh ta gueule, tu poses trop de questions, tout ce que tu as à savoir, c'est avec moi, et dans 4 jours

Quoi ? avec lui, dans 4 jours, il a pété un câble

- Cache ta joie, ris t'il avec son sourire, ou il manque la moitié de ses dents, même elles ont préféré le fuir.

- Hors de question, m'énerve ai-je, il n'en est pas question , je ne ve..

Un bruit résonne dans la pièce due à la puissance de la gifle qu'il vient de me mettre.

Ma joue chauffa, et devient rouge , par réflexe ma main se pose sur ma joue fraîchement frappée.

Je me mise à l'assassiné du regard, un regard noir et froid

Ce qui ne lui a fait ni chaud, ni froid et je m'en contre balance.

Il prend une cigarette, qui était posée sur son bureau en face du canapé, toute la fumer noir se dirige vers moi, j'ai horreur de ça.

Après dix minutes à fumer ça foutue cigarette, qu'il continue ça le feras crever plus vite.

Il fait signe à un de ses gars, je suppose pour venir me remettre en cage
Je me lève pour suivre cet homme, mais nous ne descendons pas, nous montons encore des marches toujours aussi blanche et froide sous mes pieds nus , se qui me provoque des frissons tout le long de mon dos, il ouvra une porte, derrière cette porte, il y a une chambre, avec un vrai lit. Je ne sais pas ce qu'on fait là, mais je pense bientôt le savoir.

Je rentre dans cette grande chambre, les rayons du soleil me font fermer les yeux, une grande vitre en face du mur ou se trouve la porte, éclair cette grande chambre.

L'homme ferme la porte en me laissant seule dans cette pièce, pourquoi ? Je ne sais pas mais
Je ne me pose pas de questions, et je cours vers le lit qui est me semble moelleux.

Et oui il l'est

Le sommeil me vient alors je ferme les yeux, et tombe dans les bras de Morphée.

...

Il fait nuit dehors, la lune éclaire la pièce où je me trouve,

La sensation d'avoir dormi dans un vrai lit m'a beaucoup manquer, mon dos ne me fais pas mal ce qui me fais bizarre,
Je vis une porte en face du lit ou je suis allongé,

Sans tarder je fonce vers cette porte , une salle de bain, avec une baignoire, un grand lavabo et un immense miroir qui longe tout le mur

J'approche vers ce miroir, je ne me suis plus vu depuis l'âge de mes 16 ans, j'avance, et l'horreur se fait dans mes yeux..
Je ne me reconnais plus, je ne suis plus cette fillette de 16 ans, mes cheveux on beaucoup pousser et m'arrive presque aux hanches, mon corps est aussi fin qu'une feuille, mon visage est fortement creuser.

Je recule de peur au vu de mon reflet que je viens de voir , et les larmes me montent, je ne veux pas ressembler à ça, ce n'est pas moi...

...

Prendre une douche, et de laver, c'est cheveux tout sale
L'eau était noire, mais la sensation de propre sur mon corps me fait beaucoup de bien, je sécha mon corps avec la serviette qui était posé sur le lavabo

Et je revis mes boucles, la vraie couleur de mes cheveux revis enfin le jour, mes boucles noires revis aussi, même si elles ne sont plus aussi belles que la dernière fois.












Hello 💋 , j'espère que vous allez bien ?

J'aimerais des conseils, et savoir ce que vous pensez de cette histoire pour le moment ? Cela m'aiderait beaucoup !! Merciii

J'adore écrire cette histoire, et j'espère que vous aimerez la lire 🤫

baci 💋💗


LysiaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant