Chapitre 1

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Aelys

Le brouhaha des étudiants me faisait mal à la tête alors qu'il n'était que neuf heures, tandis que je déambulait dans les couloirs à la recherche de la salle F206, j'entendais les autres criaient leur retrouvailles d'après l'été.
Celle-ci d'après les plans affichaient au murs ce trouvait au deuxième étage au bout du couloir. J'espérais ne pas être en retard à cause des embouteillages dans ces maudits couloirs trop étroits pour une dizaines de milliers étudiants. Bref après plusieurs « excuser-moi » ou « merci » j'étais enfin dans l'amphithéâtre face a des centaines de personnes inconnues pour moi, la plus part avais l'air de se connaître certains étaient en groupe ou d'autre plus solitaire avec un livre ou sur leurs portables à attendre que le cour commence.
Je mis fin a ma léthargie lorsqu'on me bouscula l'épaule,
-Pardon excuse-moi, ça va, je ne t'ai pas fait mal ? Dit une fille de mon âge assez énergique de ce que je vois, après toute ses questions je me repris en main et lui répondit d'une voix timide :
-non ne t'inquiète pas c'est pas grave,

Elle me jaugea du regard pour être sur que ça allait, elle m'avait l'air assez gentille avec son sourire qui invitais à la bonne humeur, elle est assez grande je dirais un mètre soixante-dix, ses cheveux sont d'un blond très clair elle ressemblait a un rayon de soleil littéralement. Vétue d'une robe bleu claire manche longue et d'une pair de botte blanche, elle et moi ne jouons clairement pas dans la même cour, moi avec mon jean large,mon haut manche courte noir recouvert de ma veste en cuir marron et de mes converses elles aussi marron je ressemblais plus à la nuit qu'au soleil.

-.... Tu m'entend il faut aller s'assoir le prof va bientôt arriver et je peux te garantir que s'il te trouve là il n'hésitera pas à te coller, m'apprend t'elle mais juste avant de me tourner le dos pour rejoindre sa place elle se tourna dans ma direction et me dit :
au fait je m'appelle Mélie finit-elle par dire avant de s'assoir avec son sourire rayonnant.

Je fis ce quelle me dit et me dirigea là où il y a de la place c'est à dire à côté d'un étudiant vers le troisième rang, il m'avait l'air plutôt timide et réservé avec ses lunnettes qui lui tombe sur le nez, je n'y fis pas plus que ça attention et sortit mes affaires en attendant que le professeur assez sévère arrive selon les dires de Mélie

Je me demande si les cours seront  difficile, ennuyeux comme le lycée ou passionnant comme dans les livres que je lis, vous savez ceux où vous êtes plongée dedans et sans vous rendre compte que l'heure passe et que minuit sonne alors il faut dormir parce que le lendemain matin retours à la réalité et ....

Mes pensées furent interrompu par l'entré du professeur en classe, il avait l'air d'avoir la cinquantaine et avait un visage qui n'invitais pas à aller lui parler de la pluie et du beau temps, il était vétue d'un ensemble blazer marron assez ancien avec des chaussures bien ciré qu'elle m'éblouissait presque.
Il sortit ses affaires et commença :

- Bonjour à tous et à toutes j'espère que vous êtes motivés et prêt à travailler pour cette nouvelle rentrée des classes, pour ceux qui ne me connaisse pas je suis monsieur Ducand votre professeur de littérature pour cette année, sachez que je n'accepte pas les retards et ni les bavardages me-suis je bien fait comprendre.
Dit-il avec autorité qu'il a du acquérir au cour de ses années d'enseignant

L'ensemble des étudiants répondirent d'une même voie un « oui » fort, cela satisfait le professeur pour qu'il continue ses explications, et il continua pendant le reste de son heure de cours c'est-à-dire deux heures. Il fut coupé par la sonnerie qui annonçait l'heure du déjeuner et surtout la fin de son cour, pour résumer il fallait mettre la main à la pâte pour réussir son année, bref je sens que les livres et moi allons faire une pause pendant quelques temps.

Je range mes affaires qui ne m'ont pas servis aujourd'hui et descendis les marches de l'amphithéâtre afin de sortir de la salle, mon prochain cours était de quatorze heures jusqu'à seize heures avec cette fois-ci la littérature générale et comparée et il se déroulait dans la salle voisine à celle de monsieur Ducand donc pas de problème pour me repérer. J'avais donc trois heures de pause déjeuner ce qui était plutôt cool j'ai le temps de rentrer à mon appartement pour manger un bout et lire un peu, même si j'ai mon livre avec moi dans mon sac bandoulière j'aimais être dans mon chez moi. A peine ai-je eu le temps de faire trois pas qu'une main m'attrapa le bras pour m'arrêter dans ma lancée.

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