Chapitre 63 :

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Nous nous levons de la chaise. On ce dit bonjour, comme à chaque fois.

Il nous fait entrez dans son bureau, j'avoue que je stresse beaucoup des résultats. Mais je sais déjà qu'ils seront encore plus que négatif.

-Tu as petite mine, ma grande.

-Elle n'a dormi que quelques heure, répond Rafaël.

-Une raison en particulier ? Demande mon médecin à mon copain.

-Une nuit mouvementée, répond-t-il.

-Plus précisément ? Dit le médecin.

-Des nombreuses crise d'angoisse, 11 crise de péricardites aiguë, répond mon copain.

Mon médecin fait les gros yeux sous l'entente du nombre. Moi aussi, le nombre me fait quelque chose au fond.

-11 ?!

-11, confirme-t-il.

Très rapidement, il me dit de m'installer sur le lit d'examen. Rafaël est à coter de nous.

Mon médecin fait tout les examens habituels pour le bilan.

-Ça fait mal ? Me demande Rafaël qui est assis sur le lit d'examen avec moi.

-Non, je suis habituer à cette examen maintenant.

-Tu veut essayer de faire l'examen ? Dit mon docteur en rigolant.

Il hausse les épaules, mais mon médecin a déjà al réponse au fond.

-Alors met toi en place, dit-il en rigolant.

Il termine mes examens pour le faire à mon copain.

-Je ne t'ai jamais vu pleurer, annonçais-je à Rafaël.

Il me regarde, avant de prononcer doucement :

-Je sais. Je t'avais déjà dit que je n'ai plus jamais pleurer après ce qui c'est passer à mes 10 ans.

Mon médecin n'a sûrement pas entendu. Mais j'ai mal pour mon copain.

-Quel a était la cause de tes crises Alisson ?

-Avoir recroiser mon ex.

Mon médecin grimace a l'entente de ma réponse, il connaît mon passer. Sauf le viol de mon beau-père.

Il n'a pas chercher à aller plus loin, tant mieux. Nous nous asseyons sur les chaises de son bureau. Il tape les résultats sur son ordinateur.

-Tu ne t'attends pas à mieux, je pense ? Dit le médecin.

Je secoue la tête négativement.

-Ta « maladie » continue à évoluer. Parce que comme je te l'ai dis, tu la prend pour ennemis. Prend la pour une alliés. Et tout doucement, tout reviendra dans l'ordre.

-Ça va bientôt faire 1 ans que je l'ai.

-Oui, mais tu l'aura à vie. Et si tu apprend à vivre avec, tout ce passera mieux.

-Tu réussira, dit mon copain.

Mais j'aimerais un jour que cette « maladie » s'arrête. Je veux une vie normal.

Mais ça n'arrivera jamais.

❃𓆉❃

Les résultats chez le médecin était mauvais, mais ça n'a pas gâcher ma journée. On vient à peine de rentrer à la maison.

Les garçons sont tous en réunion dans le salon. À la quel je ne suis pas concernée, pour une raison que je en sais pas mais ça ne me dérange pas.

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