Un virus, tombé de nul part, TOUT le Japon est tombé dans le chaos et une apocalypse de et zombie et tente de survivre. La confiance des autres se fait rare, tout le monde tente de survivre, de là à tué les autres présentant une morsure ou des effet...
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Dans les rues vides de Tokyo, armé de mon KILO 14, regardant si il n'y avait pas un magasin ou une supérette en vue pour voler et faire la réserve de mon garde-manger. Cela fait maintenant 3 mois, à vivre dans ce chaos, sans ma famille et toute seule. Je n'ai jamais vue un survivant en vue, j'ai toujours vue des zombies rôdeurs, des Zombies générique mais rien d'autres.
Sur moi, je porte un jean noir avec des protèges genoux, des blazer Nike blanche, un débardeur blanc avec ma veste autour de la taille grise. J'avais notamment les cheveux attaché en queue de cheval avec ma frange rideau sur mon front et les côtés de mes yeux, portant aussi un sac à dos gris qui me sert à rangé mes munitions et la nourriture que je chasse ou vole. Depuis l'apocalypse, la végétation est devenu dévastatrice, commençant à grimper par tout, sur les murs, les immeubles de la ville....c'était horrible. La vision du ciel jaunâtres était polluant mais on s'y fait petit à petit et à force d'être dehors. Il fait très chaud la journée et très froid le soir et la nuit, je me suis construise une sorte de petite cabane dans la grande forêt, loin à l'époque, qui à était envahir la ville. C'est vide, pas même un zombie...je trouve sa pour le moment étrange.
Puis, soudain, j'ai vue une supérette, super ! elle est pleine de provision en plus ! super !! J'ai souris à ce moment là. J'ai couru jusqu'à la supérette et j'ai commencé à fouiller dedans pour d'abords voir si il n'y avait aucun Zombie, la voie est libre. Je souris de soulagement et je commence à prendre le nécessaire : boites de conserve, bouteille d'eau, chips...pour le plaisir sa, mais le reste est indispensable. En appréciant mon moment toute seule et de victoire, j'ai entendu comme des sortes de craquements, des pas lent...je me suis mise en garde et je me baisse, me cachant dans les rayons et j'essaye de voir qu'est-ce que c'était. J'ai entendu des craquements encore et encore, j'entendais que sa se rapprocher. Je me suis alors déplacé doucement entre les rayons pour mieux me cacher e jusqu'à ce que je sois au rayons frais. je m'assois au sol, chargent mon arme et je regarde dans les reflets de la glace du rayons frais.
C'est un Zombie générique, une femme. Ses habits déchirés, sa peau dégoûtante, marron et aussi remplis de morsure avec sa mâchoire tombant. elle faisait peur, je me cache encore et j'attends juste qu'elle arrive. Ma respiration rapide, mon souffle légèrement rapide mais mon coeur remplis de stresse et de nervosité, comme d'habitude. Puis, quand la femme fait tomber une boite de conserve, je l'entend. alors, je me penche légèrement sur le côté et je la vois qui est enfoncé, bloqué devant le rayon des conserves. Je me mets à plein ventre et je vise la tête, attendant le bon moment pour lui tirer dessus. J'ai attendu, essayant de me détendre car je tremblais ! Cette sensation, est juste horrible ! Puis, j'ai visé et tiré dans la tête. elle est touché et s'écroule au sol, se vidant de son sang...noir...dégoûtant !
Quand je rentre dans mon mini chez moi, en hauteur, j'ai marché dans les feuilles fanés de l'été...il faisait moins chaud, le ciel était toujours aussi jaunâtre. Ce ciel...qui avant était bleue clair, avec des nuages n'est plus qu'un gros nuage jaunâtre de pollution et de virus de Zombie. Cette vision et ce monde me semble tout vide, tout affreux...tout de désespoir. En rentrant dans ma mini cabane, il y à des escaliers en bois que j'ai fais. Je monte, et j'arrive d'abords sur une sorte de petite terrasse, où je me mets pour regarder le ciel, voir si je reverrais les étoiles un soir. à l'intérieur c'est petit, il y à un hamac, une couverture et un oreiller que j'ai volé ainsi qu'un mini gaz avec une casserole volé aussi. j'ai mon petit chez moi, vraiment petit. puis un toit assez bien, on ne sent pas les gouttes de pluie vue que j'ai réussi à prendre une bâche noir pour la recouvrir de branche et de feuillage vert qui maintenant deviennent jaunâtres aussi. C'est peut être triste, injuste mais c'est la vie de maintenant.
