Chapitre 4: transport et arrivée dans la maison

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Point de vue omniscient.

Une autre femme vint chercher la cage et la déplaça jusque dans le parking. Elle la chargea dans le coffre de la voiture, déposa le bon signé, referma la coffre et partit sans plus d'égard pour l'homme maintenu à l'intérieur.

Un peu avant onze heures, le femme en bordeaux repassa devant la boutique et y entra.

- Mademoiselle Perséphone, votre achat a été préparé et mit dans votre voiture, voilà le reste des papiers, dit la directrice.

- Bien merci. Avec quoi le nourrissiez vous? demanda-t-elle en rangeant ses papiers dans son sac à main.

-Une bouillie de déchet de viande de poisson et de vieux légumes et fruits. C'est assez nutritif pour qu'ils n'ayent pas de graves carences. Le votre pèse actuellement 58 kg pour 1mètre 91. Il a aussi du être nourrit à l'entonnoir et avec une perfusion car il refusait de s'alimenter alors son estomac doit être un peu fragile. Evitez les aliments transformés ou pouvant être difficiles à digérer dans les premiers temps, informa la directrice. Malgré les conditions de vie il a gardé une musculature non négligeable, surtout lorsqu'il se débat. Avez-vous d'autres questions? demanda la directrice.

- Non je vous remercie, au revoir.

Camille-Apolline SPHT Perséphone quitta le centre commerciale et se rendit à sa voiture. Elle ouvrit le coffre et regarda la cage. Elle glissa sa main dans une des interstices et colla un patch sur le torse de l'homme. Celui-ci se débattit à son contact et arracha un sourire à sa propriétaire qui referma le coffre.  Elle alla s'asseoir et démarra le véhicule deux longues heures de routes les attendaient avant d'arriver à la maison.  Finalement, ils arrivèrent à quatorze heure à la maison. La femme sortit de la voiture, prit son sac à main et ses achats et rentra. Après avoir tout rangé et préparé, elle sortit la cage du coffre et l'emmena dans une pièce de la maison,  peu meublée si ce n'est une table et un fauteuil. La baie vitrée illuminait la pièce. Elle alla fermer la porte à clé et  enleva les barres en métal et les cordes de la cage puis alla s'asseoir dans le fauteuil pour regarder les constantes de son nouvel achat. Après dix minutes, elle ouvrit la porte de la cage et retourna s'asseoir, donnant la liberté à l'homme d'en sortir, sans pouvoir voir, entendre ou parler. Il en sortit, commença à se lever mais se prit un coup de cravache sur le bras de la part de la femme. Il resta figé et attendit. La femme se releva, cravache en main, la passa sur le corps nu se délectant des moindres frissons ou changements de souffles. Elle retira les bouchons d'oreilles et attacha une chaine relié à un mur au collier de l'homme. Enfin la femme enleva le bandeau et le bâillon, lui permettant d'enfin arrêter de baver. Il scruta tout autour de lui pour finalement se concentre sur la femme dans le fauteuil. Il ouvrit la bouche mais fut coupé.

-  Tu es désormais ma propriété, je t'ai acheté ce matin. Tu n'as aucune valeur au yeux de la société, tu es inutile et j'ai le droit de vie et de mort sur toi, ne l'oublie jamais. Tu vivras ici et vivra comme le déchet que tu es. Tu as l'interdiction de te lever sauf pour certaines taches, de parler sans autorisation.  Tu me vouvoieras et poncturas toutes tes phrases d'un maitresse. Tous pas de travers sera sévèrement sanctionné. Aucun son de ta part ne saura toléré de ta part si ce n'est des gémissements et aboiements. Tu es un chien, juste bon pour servir sa maitresse et lui servir de tapis. Ton corps et ton esprit sont ma propriété. Tu dois m'obéir au doigt et à l'œil. Tu n'as plus aucun droit. Ne tente même pas de te rebeller ou de t'enfuir. Je fais ce que je veux de toi, tu mangeras ce que je décide que tu mange tu porteras ce que je décide. Je te suis supérieur. Est-ce clair, termina-t-elle ne le regardant hautainement.

Point de vue de Maximilien Leopold  

Elle est complétement folle, que je reste à quatre pattes et que je lui obéisse et puis quoi encore! Un chien en plus! Je suis un Humain moi! Mais si je me rebellais maintenant, cela réduirait mes chances de pouvoir résister et partir.

- Oui, c'est clair lui répondis je en la regardant dans les yeux.

Elle se leva et me frappa cinq fois à l'aide de sa cravache.

- Recommence correctement sinon je double le nombre de coup, me menaça la femme.

- Oui, c'est clair Maitresse recommençais je en la regardant dans les yeux.

Dix coups de cravaches s'abattirent sur mes fesses.

- On ne regarde jamais un maitre ou une maitresse dans les yeux, recommence.

Mes fesses me brulaient en plus de la douleur diffuse dans mon corps.

 - Oui c'est clair Maitresse.

- Ce n'était pas si compliqué finalement, maintenant présente toi, m'ordonna-t-elle en se rapprochant de moi.

- Je suis Max...

Je m'effondrais au sol à cause du coup dans les cotes qu'elle venait de m'asséner. Je me remis immédiatement à quatre pattes à contre cœur pour éviter une autre réprimande.

- Puisque tu ne sembles même pas connaitre ton identité je vais te la rappeler,  tu es " le numéro 981 123 321, la propriété de Maitresse Perséphone" répète!

- Je suis le numéro 981 123 321, la propriété de Maitresse Perséphone, marmonnais je pour la satisfaire.

- Qu'est-ce que tu es?

- Je suis un Humain, répondis je immédiatement.

- Non, lâcha t elle avant de m'infliger dix autres coups de cravache. Tu es" un chien, un sale chien à dresser, un déchet, un esclave, un bon toutou qui doit satisfaire ses maitres". Répète !

- Je suis un chien, un déchet, un esclave, un bon toutou qui doit satisfaire ses maitres, répétais je en serrant les dents.

- Répète correctement! m'ordonna la femme après un autre coup dans les côtes.

- Je un chien, un sale chien à dresser, un déchet, un esclave, un bon toutou qui doit satisfaire ses maitres.

- Bien, tu me répéteras ces deux phrases tous les matins après m'avoir salué comme il se doit. 

Cette exercice répétitif servait à m'en convaincre. Elle était complètement timbré.


Le destin de perdantsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant