Chapitre 91 :

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Je me réveille. La tête de Rafaël est sur mon ventre. Ses bras enroulée autour de mon ventre me font fondre, sa tête apaisée.

Allongée sur le ventre, sa tête sur mon ventre, le visage apaisée, la bouche entre ouverte.

Rafaël m'avait fait sienne. Je suis sa fiancée et il est mon fiancé !

Nous sommes encore nus, étant épuisés, on c'est directement endormis. Sur la banquette arrière.

Ma main passa dans ses cheveux noir ondulés. Cette homme est magnifique.

Sa respiration régulière me fait sourire, j'observe tout ses tatouages.

Puis ses yeux s'ouvre, se levant vers moi. Silencieusement, il remonte à moi, déposant ses lèvres sur les miennes.

-Bien dormis ? Demande-t-il.

-Parfaitement et toi ?

-Pareille, avec toi et nos enfants. Tu veut déjeuner ?

-Tu parle de toi le déjeuner ou d'un vrai déjeuner ? Rigolais-je.

-Les deux, mi amor, sourit-il.

-Partante !

❃𓆉❃

Après avoir pris nos 2 déjeuner, il se garer devant l'immeuble. Il est 11 heure. Le repas est dans 1 heures.

J'avais retirer mon pull puisque il fait très chaud à cette saison. Dans le rétroviseur, j'aperçois le suçons qu'il a fait, mais pas grave, il en a aussi.

-Tu sait qu'on a le même tatouage ? Dit-il.

-Ah bon ? Lequel ?

-« 195 ». Quand j'ai su que c'était ton numéro préféré, je l'ai fait tatouer sur moi. Et faisant l'amour, j'ai vu tes nouveaux tatouages, qui sont très beaux au passage.

-Oh merci ! Ça me touche que tu est mis mon numéro préféré sur toi..

Il tourne son regard de la route pour le tourner vers moi en souriant. Sa main se déposa sur ma cuisse.

-Tu n'a pas eu mal par rapport au blessure ? J'espère que je n'ai pas toucher.

-Non, ne t'en fait pas. Tu n'a pas toucher les blessures, je te l'aurais dit, souriais-je.

Il hoche la tête, content de ne pas l'avoir blesser. Puisque nous sommes sur le parking de l'immeuble, il sort de la voiture pour m'ouvrir la portière.

Il le flatte beaucoup trop.

Je sors de la voiture grâce à sa main tendue vers moi.

-Dit à mon père qu'il prépare 25 assiette, sans dire pourquoi. Juste parce que je te l'ai dit.

-Alors, moi. Ton fiancé. Puis-je savoir cette raison ?

-Surprise, dis-je en haussant les épaules.

Il rigole voyant ma réponse. Puis déposa ses lèvres sur les miennes en disant :

The FearsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant