PROLOGUE

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Je m'éteins. Jours a près jours, mon cœur s'affaiblit. Dans cette cage qu'est ma vie, je cherche désespérément à me libérer,mais j'ai étais façonner, destiner à la gloire. Je n'ai pas décidé de mon avenir. Ma mère la fait. Je serais pianiste et pas n'importe laquelle ; la meilleure, et rien d'autre, l'échec ne m'était pas permis. Elle était mon maître et moi sont élève qu'elle s'évertuer à rendre parfaites. Mon corps n'est pas a moi, mais a elle, elle le contrôle telle un marionnettiste avec sont pantin, elle tire les ficelles en coulisse depuis mon plus jeune âge et je suis soumise à ses volonté.

Imaginer a quelle point c'est dur, de savoir que votre ma mère vous a mis au monde dans le seul butte de réaliser le rêve qu'elle même n'as jamais put atteindre. À ses yeux, je ne suis pas une personne, mais ça créations, sont objet qu'elle utiliser si besoin et le reste du temps, on remet sont jouer dans ça boite.

Il y a des jours où je rêve de détacher ses fils invisibles. De me sentir libre, que cette froideur qui coule dans mes veines se réchauffe. Je veux la chaleur, la liberté, mais ma mère a cette capacité à contrôler mes pensers, a affecté mes émotions d'un simple regard. Alors j'essaye de continuer à respirer, juste des petite inspiration. À mettre un pied devant le l'autre, a continuer à êtres cet êtres sans sentiment. Silencieuse mais parfaite aux yeux de tout le monde.

Allongé au sol, je sais que j'ai perdu la bataille, je ne serais jamais parfaite. La perfection n'existe pas. Le corps parcouru de tremblement, je suis recouverte de sang incapable de bouger, la main crispée sur le bout de verre profondément ancré dans mes entrailles, j'abandonne la lutte. Je sais que je vais mourir. Aujourd'hui, je vais mourir et je suis la personne la plus heureuse. Très peu de gents peuvent avoir cette chance de partir en paix et pourtant, c'est mon cas. Je suis en paix. C'est trois dernières moi, j'ai ressenti plus de choses que dans mon existence. Grâce a « lui » il m'a appris à êtres libre, a aimer et êtres aimer en retour, a sourire, a tous simplement croquer la vie à pleine dent, a la bouffée toute crue pour ne rien laisser au monde. Et j'ai adoré. Et si je dois mourir pour ça alors je suis heureuse. Ce sont, c'est dernier penser qui me vienne quand mon corps se relâche,le sang dans ma bouche m'étouffe, sont beau visage m'accompagne, ses yeux noirs, sont sourire me réchauffe et je m'envole en laissant échapper comme seul son,
un soupir ...

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⏰ Dernière mise à jour : Jul 20, 2015 ⏰

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