Le couloir était vide, nous étions seuls. malgré celle-là, on percevait le pesant brouhaha. J'ai vu plusieurs professeurs qui sont sortis de leur classe pour voir ce qui se passer, mais le fait que ce soit notre dernière heure de cours et donc également la leur les ont dissuader de nous punir.
Cela faisait longtemps que nous attendions quand un homme sorti de la salle. Trapu, il faisait une tête de moins que nous. En remettant son chapeau, nous lançant un regard suspicieux, comme si on avait pu écouter à la porte, et j'ai eu l'impression qu'il s'attardé sur moi en particulier.
Après de longues secondes de confrontation visuelle, il tourne les talons et parti dignement, la tête haute. Soudain, il s'arrêta et tourner la tête d'une dernière fois dans notre direction. Il m'a quelques paroles inintelligible est reparti.
Ce fut à ce moment-là que Monsieur BARNABI, la porte et nous fait rentrer sans cesse de s'excuser du retard. Personnellement, je trouve dommage que cette entrevue ne dure éternellement, car moi et les maths... Mais j'ai comme l'impression que c'était tout sauf amical. Donc, je passe pour cette fois.
Les salles de maths ont toutes cette odeur qui montrent que certains travaillent et d'autres noms. Cette salle, est annonciateur de mauvaises nouvelles, Donc je l'aime encore moins. Mila, ce n'était pas l'odeur du stress, ça empester la peur ! Je ne sais pas ce qu'il va nous annoncer, mais je ne le sens pas du tout les profs. Quand ils ont quelque chose d'important à dire, ils ont leur tique. Là, c'était de la torture pour ses pauvres mains. Je le sens pas du tout.
Du tout,
Du tout...
« -alors qu'avez-vous à rapporter de ce premier trimestre ? Demande à Monsieur BARNABI avec courage.
Il y a un gros blanc, entre ceux qui dormaient et ceux qui ne parlaient pas. Mais finalement, une fille Alice je crois, lève la main :
-Oui ?
-Rien! Répondit Alice.
-Rien? Répéta, monsieur BARNABI.
-Bah rien, vous êtes sourd ? ! Et on répète pas ce que disent les gens, votre mère ne vous l'a pas appris ? Lui asséna, Alice, agacée.
Le professeur était tellement stressé qu'il ne releva pas l'insolence de sa réponse.
Bizarre.
Vraiment bizarre.
-mais... Enfin..., Certains cours ne vous sont pas paru étranges ? Repris Monsieur BARNABI avec plus d'assurance bon, très bien. Alors, j'ai une question, prenez une feuille est noté : « que faut-il faire, selon vous pour survivre, sur une île déserte ? »
Là, on le regardait tous avec des yeux ébahis. Enfin, j'écrivis tout de même.
-on a qu'à faire des groupes, car vous ne semblez pas très inspirés! S'exclama M.BARNABI, tiens, toi, là, et toi, en orange, oui, toi : tu es le seul en orange, non ? Ne regarde pas derrière et lève-toi. Et l'autre à côté de toi là, mais non pas lui l'autre. Bon, débrouillez-vous pour les faire ces groupes finit-t-il en s'énervant. Il alla s'asseoir derrière son bureau et se pencha sur des papiers. Ils fronçent les sourcils de temps en temps, et il nous intimidés comme toujours. On finit le travail en avance. Quand la cloche sonna, nous partions chacun de notre côté. Il ne faut pas montrer ses amis. C'est la première étape pour survivre dans la société du plus fort. De toute manière, je n'en ai pas d'amis...—————————————————————————————————————————————————————
Cette histoire est écrite par une amie qui m'a demandé de la poster elle s'appelle M._m_gx . Elle m'a demandée de le poster sur mon compte car elle ne pouvait pas en créer. Donc je ne change rien (sauf quelques fois la ponctuation). J'espère que l'histoire vous plait! Bien évidemment je vais continuer mon histoire, et j'en ai encore plein d'autres en tête 😉! Salut 👋 !
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The survivors of the island
RandomDes collégiens, un gouvernement et une île. Dans ce livre des collégiens naïfs ont été déportés sur une île déserte afin de noter leur capacité dans la société. Des parents inquiets et des enfants perdus doivent se plier aux nouvelles règles du gouv...