The Dangereous Start

Chapitre 2 - Nouveauté

Léandro

Je suis en pleine réunion quotidienne avec les membres de ma famille ainsi que les membres de la mafia. Nous sommes la mafia Espagnole. Je n'ai pas réellement l'habitude de faire les réunions ce sont les membres qui représente chaques groutpe dans le Cartel qui doivent y venir pour dire si il y a des soucis avec des trafic , recherches ou encore de fric. Mon père est parti 3mois en Italie chez nos alliés géré des affaires la bas donc je me retrouve ici assis autour d'une table avec des énergumènes assoiffés de pouvoir , d'argent voir même pour certains de sang. Il n'y a aucune femme présente ici. Nous tenons cette tradition depuis des années : aucunes femmes ne peut participer à des réunions peut importe qui elle est. C'est cliché. Parfois je me demande si on ne serait pas au 13e siècle ? J'observe les personnes qui sont représentants à ma gauche il y a oncle Julio et à ma droit oncle Sergio. A côté de Julio se trouve un vieil ami à mon père , Léonard. Le reste des personnes présentes je ne les vu qu'en vif. Et franchement j'en ai rien à foutre de qui ils sont qu'on soit clair.

- Il nous manquait 100€ à notre paie ! Lance un homme dont je ne connais pas l'identité.

100€ ? Oulala maman je suis pauvre !

Assoiffés de fric va.

- Ok et ? Je parle avec nonchalance.

- Je les veux !

- Et moi je veux te foutre une balle pour avoir raillé à cause d'une si petite somme manquante.

J'entends quelques gloussements moqueur venant de mes oncles. Ils connaissent mon caractère c'est à dire : menfoutisme. L'homme me regarde avec une rage dans les yeux qui m'est totalement destinée , j'ai envie de le faire chié.

- Tu veux un mouchoir ? Je dis d'un tont moqueur.

Il ne répond rien et se tut en grommelant dans ses dents.

La réunion se continue sans que ce spécimen ne bronche une seule fois.

Je sors enfin de cette salle où l'air devenait étouffante. Sérieux qu'est ce que j'en ai à foutre la de leur paie , trafic ?

De plus on est dans la même mafia c'est juste qu'on habite dans les différentes régions de l'Espagne. D'où le fait d'avoir "divisé" notre mafia en plusieurs groupes en héritant 1 représentant pour chaques groupes. Je trouve ça un peu débile. Mais j'admets que c'est intelligent et pratique.

Je monte sur ma moto et fonce chez moi en passant à un petit magasin acheter du Rhum. Je suis à court de Rhum. J'ai besoin de me vider l'esprit.

Je regarde la bouteille d'alcool à moitié vide affalé dans mon divan. Une chance que je tiens merveilleusement bien à l'alcool sinon je risquerais très fortement d'être ivre mort. Je dois gérer la mafia et ça me pomble l'esprit entre les blems de fric , les surveillance sur la mafia Colombienne. Bizarrement depuis 1mois ils ne font plus rien , peut être qu'ils ont compris qu'ils étaient impuissant fasse à nous. J'ai hâte que mon père rentre et s'occupe de la mafia , bien que j'en fasse parti je n'aurai jamais eu l'idée que c'était aussi compliqué à gérer. De plus un de nos con se trouve à la police. La police m'a appelé pour me prévenir qu'ils en avaient chopper un. Je ne sais pas le quel mais je dois aller le chercher. Les flics sont assez gentils avec nous car ils savent qu'on nettoie ceux qui leurs plombe leur job. Seulement si on se fait cramé en train de le faire ils nous prennent quand même avec eux dans leur sympathique petite cellule histoire de leur dire coucou. C'est assez drôle en y pensant. Je suis le seul à n'y être encore jamais passer. Ça ne m'étonne guère , je suis le plus futé et discret. Comparé à ces autres bouffons.

Quelle ne fut pas ma surprise en arrivant au poste de police découvrant Neros assis sur le banc dans la cellule. C'est un de nos nouveaux.

Erreur du débutant.

- Tiens qui voilà ! Lance Émeric .

Je regarde le policier et lui serre la main quand il me tend la sienne pour le saluer.

La recrue n'ose pas me regarder honteux.

Tu peux l'être.

Je lance un billet de 500 au flic.

Il ouvre la cellule et Neros sort les mains dans les poches.

- C'est pas juste à deux secondes près on me choppais pas..

- Léandro n'a jamais été pris en flagrant nettoyage lui.

Je mime un sourire en coin ressentant de la fierté avec un air narquois.

Nous saluons le policier et sortons du comico puis gagnons ma voiture.

Durant le trajet Neros n'a pas l'air d'avoir envie de parler trop honteux.

Tant mieux.

- Tu peux me donner des conseils ?

J'ai parlé trop vite.

- Discrétion , Agilité.

Je parle d'un tont las. Je n'ai aucune envie de parler. Ce n'est pas mon genre. Parler.

- C'est ce que j'ai fais...

T'es nul c'est tout. Moi je suis incroyable.

Le silence fut ma réponse. Pour éviter de le faire chuiner.

Je le ramène au QG et en profite pour venir vérifier si tout s'y passe bien.

Je demande au bras droit de mon père si il y a quelque chose de nouveau. Il m'informe que non simplement que j'ai des nouveaux papiers à signer. Encore.

Je sort du bureau deux heures plus tard.

Mon père m'a appelé pour savoir si tout allait bien , enfin pour les affaires .Pour ma part il ne me demande rien. Tout ce qui compte pour lui c'est son Cartel.

Pas étonnant. Pour lui ça a toujours été affaires. Jamais amour , enfant. Je me demande comment maman peut toujours sortir avec lui. Sûrement car l'amour est plus fort.

Je pars à ma boîte , il n'y a pas la nouvelle. Il y a juste Carla et les autres filles.

Ma meilleure amie vient me voir.

- Salut Lélé !!

Je soupire en entendant le surnom.

- Salut.

Elle me sert du rhum mélanger avec du whiskey. C'est un très bon mélange que j'adore.

- Alors quoi de nouveau ?

- La routine.

Elle hoche la tête.

- La nouvelle c'est bien débrouillé à la barre hier !

- Ok.

Elle glousse sachant que je n'aime pas la discussion. Se doutant sûrement aussi que je m'en contre fou de si la nouvelle à fait si ou ça. Le temps qu'elle ne merde pas comme l'ancienne qui était la avant elle. Elle a fauté une fois. Je lui ai tiré une balle entre les deux yeux. Ici c'est ça. Tu faute. Une balle.

Carla repart à son job.

Je scrute les clients. Il y a de tout types. Des pères. Des grand père. Des jeunes adultes. Même de ceux en couple. J'imagine la réaction de leurs femmes si un jour elles apprennent qu'ils viennent tous dans ma boîte voir des filles qui danse à des barres peu vêtues. Ils finiraient tous célibataire. Sauf ceux avec des femmes dont l'amour les aveugles.

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Hola ! Un court chapitre donnant le point de vu de Léandro donnant notamment un avant goût sur son caractère.
J'espère que jusqu'ici l'histoire vous plaît ! Du moins le commencement.

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