Everlasting Flower

Chapitre 14

H - Bienvenue en Turquie küçük kalbini.

Je me tourne vers lui, il a les mains dans les poches et toujours ce sourire machiavélique collé au lèvre, je dois l'avouer, il dégage une présence et un charisme féroce, de la puissance émane de lui ce qui me fait aussi peur que ça me fascine.

Je suis arracher de mes pensées quand une voiture noir se gare à côté de nous.

Hassan l'aperçoit, se rapproche de moi, m'attrappe la main et m'entraîne dans la voiture.

H - Joue le jeu, dit-il en chuchotant avant de fermer la portière.

Il ne va quand-même pas me laisser toute seule avec ces gens ? Je lâche un soupir de soulagement quand je le vois contourner la voiture et rentrer par la portière d'à côté.

Le chauffeur a démarre la voiture puis appuie sur un bouton qui fait apparaître une barrière insonorisé

H - J'ai vue ton visage, tu avais l'air effrayé, comme si je t'avais jeté dans la gueule du loup mais tu est déjà à côté de lui en ce moment même.

- J'avais remarqué, marmonnais-je.

H - Ne t'inquiète pas, je ne vais pas te laisser toute seule dans un pays dont tu ne connais rien, je serai un merveilleux guide.

Je lève les yeux au ciel, je pense que ce voyage ne sera pas de tout repos. Je pose ma tête sur la vitre, je regarde le paysage défilé, c'est magnifique, j'aperçois la mer ( média ), elle est d'un bleu hypnotisant, je m'imagine entrain de nager dans cette mer sans me soucié de rien.

Je ne m'en rends pas compte mais je m'endors.

***

Je sent que quelqu'un me tapote l'épaule, j'ouvre doucement les yeux, je remarque que la voiture est arrêté.

H - On est arrivé.

Il ouvre la portière de la voiture, je m'apprêtais à ouvrir la portière quand j'aperçois par la vitre un homme qui ressemble comme deux gouttes d'eau à Hassan sauf qu'il a les cheveux mi long.

Il tient un bébé dans ses bras et une femme se tient à côté de lui, elle est magnifique, elle à un teint bronzé, une taille de manquin et deux natte collé.

Je continuais à les observer quand Hassan m'ouvre la portière et me tend sa main, je l'attrape puis je sors de la voiture.

H - Moi qui pensait que tu ne voulais pas rester dans cette voiture.

Je lève les yeux ciel, il ne cessera jamais d'être d'une arrogance. Il m'entraîne vers eux, et me présente.

H - Samira je te présente Zyad, mon grand frère, Leïna sa femme et Azra, leur enfant. Zyad, je te présente Samira, ma...

Z - Femme.

H - Laisse moi deviner, c'est maman qui te la dit ?

Z - Tu penses qu'elle va garder pour elle que son fils cadet s'est marié sans le dire à tout la famille ?

H - Ça ne m'étonne pas de maman.

L - Tu continueras la discussion avec ton frère à l'intérieur chéri, on vas pas les laisser dehors alors que ce sont nos invités.

Z - Je suis vraiment maladroit excusez moi. Suivez nous, dit-il en se retournant.

Ils se mettent à marcher vers l'immense porte en bois où sont poster des hommes baraqués et armés de la tête aux pieds.