LE SANG DU SERPENT

Chapitre 7

T : Vite, bouge toi ! Elles vont nous rattraper ! Dit il en courant.

~ Oui bah j'aimerai bien, mais j'ai pas de cardio !

T : Putain, tu me casse les couilles bouffonne !

~ Oui bah c'est pas moi qui ai dit que ça allais être safe !

T : Oh c'est bon, je savais pas qu'elles allaient être là !

~ Putain mais t'es con, elles habitent ici enfoiré ! C'est logique qu'elles soient là !

T : Oh c'est bon, fait pas ta rabas-joie ! C'est juste des araignées. Et puis c'etais cool !

~ Mais t'es con ! Je suis arachnophobe debile !

- Quelques heures plus tôt -

On avance dans un manifique coin illuminer par le soleil.

T : Y'a un coin la haut il est trop bien. Mattheo il ramène toujours ses meufs là bas.

Je ris, c'est vrai que c'est bien le genre de Mattheo de faire ça.

~ Tu fait ça aussi j'imagine ?

Il rit legerment géné.

T : Non, enfaite t'es la première fille que j'emmène ici.

~ C'est comme ça que tu leurs dit, très convainquant.

Il rit, avant de replacer une mèche de ses cheveux en place.

T : Ça marche normalement. A croire que t'es pas comme les autres.

On rit avant de s'assoir près d'une petite colline. Theodore siffla "Infanto Florapicnicus" avant qu'une grande nappe n'apparaissent, avec une magnifique panier en osier remplis de bon petit plats qui sentais tous aussi bon les uns que les autres. De grand vase avec des roses blanche sublime étais disposer en face du panier, avec des petites bougie disposer par si par là. Une petite musique enchanté se joua dans nos oreilles qui rendis l'atmosphère plus agréable. Des papillons se faisait ressentir dans mon ventre mais je n'y fit pas attention. Mon sourire arriva jusqu'a mes oreilles.

T : Un petit sort pratique. Sourit-il.

Son sourire éclatant me frappe comme un rayon de soleil dans l'obscurité, illuminant chaque coin sombre de mon esprit. Je lutte pour contenir l'ouragan d'émotions qui menace de submerger mon cœur. Theodore est juste mon ami, c'est ce que je me répète sans cesse. Pourtant, chaque fois que nos regards se croisent, une étincelle de quelque chose de plus intense, quelque chose que je refuse encore d'admettre, danse entre nous.

Je contemple la scène devant moi, un pique-nique parfaitement orchestré comme tout droit sorti de mes romans préférés. Les roses blanches, les bougies vacillantes, la musique enchanteresse - tout semble jouer en harmonie pour créer une atmosphère de romance irrésistible. Mais alors que je m'imprègne de cette magie, une pensée s'insinue dans mon esprit : et si cette romance devenait réelle ?

Mon cœur bat la chamade à cette idée, et je me surprends à envisager l'impossible. Mais je me rattrape rapidement, repoussant ces pensées vers les profondeurs de mon esprit. Nous sommes juste des amis, je me répète, comme un mantra destiné à apaiser les tourbillons de confusion qui menacent de m'engloutir.

Pourtant, au fond de moi, je sens la vérité s'insinuer, comme une graine poussant dans un sol fertile. Et si, malgré toutes mes tentatives pour le nier, je commençais à tomber amoureuse de Theodore ? C'est une idée terrifiante, mais elle refuse de me quitter, me poussant à affronter des vérités que je ne suis pas prête à admettre.

Je suis perdue dans mes pensées lorsque Theodore se tourne vers moi, son regard pétillant d'une joie contagieuse. Je force un sourire, priant pour que mes propres sentiments restent dissimulés derrière le masque que j'ai si soigneusement façonné. Car admettre que je pourrais être en train de tomber amoureuse de mon meilleur ami signifierait abandonner le contrôle que j'ai si désespérément tenté de maintenir sur mes émotions.