Je viens d'arriver dans la salle où la soirée se passe, il y a plein de monde. Maman va me présenter d'une minute à une autre.
On m'a expliqué que les femmes de ma famille sont assez spéciale d'où, nous sommes très convoité. Selon Marie , je peux avoir tout ce que je veux seulement si je donne mon nom de famille mais ça, je m'en fou.
Ma mère et mon père montent sur l'estrade.
- bonsoir et bienvenue à tout dit mon père en regardant tout le monde. Tous ici connais la raison de cette soirée et pour ne plus vous faire attendre, j'aimerais vous présenter Matilde MacLaine ma Benjamine. Approche ma chérie que tout le monde te vois.
Je rejoins mes parents et regarde tout le monde dans les yeux sans baisser la tête, j'entends des murmures du genre.
" waouh, vous avez vu ses yeux ?" " elle est tellement belle" " je l'a veut dans ma meute".
Mais mes yeux s'arrête sur un seul visage, c'est un homme de vingt deux ans je crois, aux cheveux aussi noir qu'une nuit sans lune ni étoiles, aux yeux argenté et des iris noirs, aux corps parfait avec des muscles en plus et un très joli costume qui le met très en valeur.Je détourne mon regard pour des et mes sœurs me présentent à d'autres personnes.
Je les trouve assez bizarre, elles sont trop superficielle à mon goût, je souffle et sort prendre un peu d'air .
Je vois Monsieur djef Daniels aboyé sur quelqu'un et décide de m'approcher. Une fois sur place, je remarque que c'est le même garçon aux yeux noirs et aux yeux argenté.
- salut, j'espère qu'il en vous dérange pas.
Il me regarde et me fait un nom de la tête.
- Monsieur djef Daniels viens, on rentre, tu as été très méchant, je dois te punir.
Je vais lui donner un bain , il sent la vanille et je hais cette odeur. Je monte dans la voiture et demande au chauffeur de me ramener à la maison. Sauf que deux hommes montent et un des deux met un tissu avec une odeur devant mon nez, je sens mon corps m'abandonner avant de tomber dans les paumes.
***
Je ressens une forte douleur au niveau de la tête, j'ouvre légèrement les yeux et remarque que je suis dans une grande chambre qui n'est pas la mienne, j'essaie de me rappeler des évènements qui se sont produits , et tout me reviens. La mort de mon père, le fait qu'il n'est même pas de ma famille, ma mère , mon père biologique, mes frères et sœurs, la soirée et mes kidnappeurs. Merde , je me suis faite kidnapper, c'est donc ça la vie des riches ? Ma petite maison me manque.
Une boule de poils vient me lécher les jambes.
- Monsieur djef Daniels, il faut qu'on trouve un moyen de quitter cet endroit.
Je serre mon chien fort contre moi , et me lève, j'essaie d'ouvrir la porte mais , ce dernier est bien fermer.
Je sors sur le balcon et me rend compte que si je saute, je risque de me casser quelques choses.
Je prend plusieurs draps et fais un noeud puis le balance par la fenêtre je m'accroche et descend doucement jusqu'en bas.
- aller Monsieur djef Daniels saute, je vais te rattraper.
Je lève les mains et mon chien saute. Nous commençons à chercher une sortie , c'est très grand, trop grand même.
Je remarque des enfants qui jouent, j'espère qu'ils n'ont pas été kidnappé , je me rapproche et salut une petite fille qui me regarde.
- hey , ça va ?
- oui madame.
Elle me sourit, et son sourire est très joli.
- je m'appelle Bianca et toi ?
- Julie, je suis Julie une très jolie louveteau. Comment il s'appelle ?
Demande t'elle en pointant du doigt mon chien.- c'est monsieur djef Daniels.
- il est très joli.
Je lui sourit et me relève pour chercher un moyen de quitter cet endroit.
- tu sais quel chemin prendre pour sortir d'ici ?
- nous ne pouvons pas sortir, l'Alpha l'interdit.
Je me demande qui est cet Alpha. Je lui sourit encore puis continue de marcher. J'aperçois une forêt au loin et décide d'y entrer.
Les arbres sont énormes et tout se ressemble, je continue de marcher jusqu'à ne plus sentir mes jambes et fini par tomber dans l'inconscience.
Je viens d'ouvrir les yeux et constate que je suis de retour dans la même chambre, la porte est fermée et je ne peux plus aller sur le balcon, Monsieur djef Daniels n'est plus là, je suis foutu.
Un bruit de serrure me fait tourner la tête vers la porte et je voix mon kidnappeur devant moi.