Lovers Death d'Ursine Vulpine en boucle pour ce chapitre.
Bonne lecture ^^
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Partie 1 /
« La vie oscille comme une pendule , de droite à gauche , de l'ennui à la souffrance. »~Schopenhauer
La souffrance est le fond de l'existence humaine.
La souffrance d'être provient du fait que l'humanité, cette machine à convoiter, est sempiternellement insatisfaite de ses satisfactions.
Ainsi, elle s'apparente au mal du néant , au vide que l'âme comble.
A la définition conjecturale qu'est l'ennui.
Qu'est-ce que c'est après tout ?
Est-ce un état , une sensation, un sentiment, le manque ?
Le manque de ce que nous n'avons pas ?
Le manque de ce que nous ne possédons plus ?
Ou bien..
Le manque de ce que nous aimions.
Le noir équivaut à la couleur la plus foncée , dû à l'absence ou à l'absorption totale des rayons lumineux, en opposition au blanc et aux autres couleurs.
Il est paradoxal de faire allusion à la perception de la couleur noire , puisqu'il s'agit d'une incapacité à percevoir.
« Occupe toi d'eux en mon absence.
- Oui monsieur. »
Depuis lors , nous demeurons dans le noir.
Notre instinct de survie nous pousse aisément à l'éviter car nous l'associons à l'inconnu.
Au mensonge.
A la cruauté.
A la dissimulation.
La jeunesse et l'impartialité selon Eva Heller.
Il incarne le mystère de l'âme , le désir de l'Homme , la mort de ma vie.
J'ai mal au cœur.
Une douleur à en vomir.
Tout n'est que tribulations et vanités.
La guérison du cœur d'une femme ulcérée n'est jamais si prompte que sa blessure.
Où suis-je ? Qui sont-ils ? Pourquoi moi ?
Pourquoi..nous.
Dans un repère discret , éclairé seulement par la lueur faible d'une ampoule vacillante, un homme fixa avec une froide détermination les captifs ligotés devant lui. Un silence oppressant planait dans la pièce , tandis que les emprisonnés, déboussolées et anxieux , attendaient des explications. L'un d'eux, osant briser le silence, demanda :
« Qu'attendez-vous de nous ? »
La tension dans la salle était palpable.
Le mafieux , sourire au coin , fixa nos individus avec un mépris évident et déclara :
« Vous êtes dans une position délicate, i miei amici. Imaginez-vous pris au piège dans un jeu où les enjeux sont bien plus élevés que ce vous aviez anticipé. »
Dans l'antre sombre du repaire , l'homme , au sourire malicieux aux lèvres , dévoila un dossier.
La couverture est une toile visuelle représentant la complexité d'une personne à travers des symboles abstraits. Une photo centrale est enveloppée d'ombre et de lumière , y amenant les dualités de l'existence. Le nom de l'individu est calligraphié symétriquement. Des éléments métaphoriques tels que des chemins sinueux ajoutent une dimension philosophique, questionnant une réflexion profonde.
Glauque.
Ce visage m'est familier.
Cole-
« Colenn , ou devrais-je dire , l'Arme silencieuse. Un nom qui résonne dans des cercles très puissants. Tant de contrats exécutés, tant de vies éteintes. Un type qui tue non par nécessité, mais par pure haine . » continua-t-il avec un mélange de crainte et fascination.
Il n'ôte pas seulement une vie..
Il la déchire avec une fureur qu'on ne voit pas tout les jours.
« Ne parle pas de mon frère comme ça ! » , cria Thalia.
A contre-courant , l'homme s'avança précipitamment et attrapa ses cheveux, les lui tirant d'une force bestiale et prononça :
« Les mafieux tissent leurs toiles insidieuses, guidés par une seule obsession, le pouvoir. Leurs alliances sont forgés non par loyauté, mais par intérêt personnel dans lequel les murmures des conspirations résonnent , auxquels les regards froids calculent les profits potentiels où les poignards d'argent sont prêts à se déployer à la moindre opportunité » , éjacula-t-il avec une vélocité déconcertante.
Je me trouve devant le mutisme béant de l'ineffable.
Mes mains tremblent.
Laora reste calme.
1..2..3
1..2..3
1..1..
« Je vais te dévoiler ce que tout le monde convoite ardemment. Nous allons vendre Colenn au service des Japonais , intrigués par ses compétences. Par conséquent, nous y voyons une opportunité de déstabiliser leur empire , une structure gigantesque de pouvoir et de contrôle que le Grand M se voit d'exploiter.
- Vous pensez sérieusement que Colenn accepterait de revivre cette vie ?
- Mais qui te dit que ce n'est pas déjà le cas ? » , cracha-t-il , plongeant son regard dans celui de Thalia.
Absence.
Quoi ?
Je me sens comme un enfant perdu dans un monde immense , cherchant désespérément le réconfort d'une main tendue.
Impuissante.
Revenant à la conversation, l'homme dit :
« Disons que nous avons le talent de persuader avec efficacité. » , redirigeant son regard dans le mien.
C'était quoi ça ?
« Mon frère est l'innocence piétinée , l'âme écorchée par les cruautés de ce monde impitoyable que vous perpétuez. Derrière ses yeux fatigués , derrière chaque cicatrice que vous lui infligez , se cache un être humain. Chaque nuit , je vois les cauchemars qui hantent son sommeil, les souvenirs douloureux de chaque acte de violence que vous lui aviez orchestré. Chaque souffle est un effort, une lutte contre les chaînes invisibles qui le retiennent.
Vous lui avez tout pris..mon pauvre frère..que t'ont-ils fait.. » , termina-t-elle avec difficulté.
Et alors que les larmes coulaient sur le long de ses joues , je pouvais sentir son cœur se briser en mille morceaux , emportant avec elle les espoirs déchirés d'un futur rayonnant.
La vie est une série de désillusions.
Ininterrompue de défis.
Dans l'obscurité étouffante de la nuit , se révélait des desseins machiavéliques ourdis dans l'ombre , comme si , la destinée elle-même s'adonnait à une cruelle partie d'échecs dont les pions étaient des vies et la victoire..
Un fragment éphémère de pouvoir.
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Entre Ombre et Lumière
Ficțiune generală« Je suis condamnée et piégée à sombrer dans ton âme meurtrie ! » Seul dans l'obscurité , il avait mal. Mentalement comme émotionnellement. Il était une ombre enchaînée à une déplorable vie , baignant dans le danger. Dans une vie remplie de chaos...
