Ceci est une nouvelle fantastique comme indiqué. J'ai dû en écrire une à cause où grâce à mes cours de français. ( oui oui on a travaillé sur les nouvelle fantastique 😑. ) c'est un premier jet donc si elle est pas folle c'est normal. Bon, du coup je vous laisse la lire. ^°^
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Cella faisait environ deux heures que je courais à en perdre haleine à travers une épaisse forêt de chêne et de saule. Je regarde en arrière et vit mes poursuivants qui s'étaient rapprochés.
- Arrête toi !
Crier l'un.
- Rendons-nous l'œil de dieux !
Aboya de seconde.
-Même pas en Rêve !
M'écriais je en leur tirant la langue et je continue ma course de plus belle.Je mis ma main dans l'une de mes poches et attrapa le caillou que j'avais volé. Je le regarde attentivement. Il était de la même couleur que la neige avec, une sorte de cercle qui semblait doré. Un petit point noir se trouve au centre du cercle colorant.
" Je comprends pourquoi il l'appelle l'œil de Dieu "
Pensais je en le rangeant.Plus je m'enfonçais dans la forêt,
moins les feuilles étaient vertes
moins il ya d'arbres
moins le chant des oiseaux résonneJe me retourne à de nouveau et me rend compte que mes poursuivants n'étaient plus là qu'ils avaient dû abandonner la course.
Je suis demi-tour et, après quelques minutes, j'ai trouvé une maison bâtie comme un manoir.La lune est apparue derrière la maison pour lui donner un côté plus effrayant que la normale. Les arbres étaient morts, le sol présentait au visage d'une vieille personne chagriner de la vie, des ronces et du lierre mort recouvrait la maison comme si il voulait la cacher. Un seul bruit raisonné : le chant à glacer le sang des corbeaux qui se trouvent à proximité.
Grâce à je ne sais quel courage, je décide d'entrer dans cet étrange bâtiment. En ouvrant la porte, j'aperçus des murs délabrés, un plancher un piteux état qui, sous quelques centimètres de poussière semblait être fait d'un bois sombre. Je me dirige vers une des pièces qui semblaient être un salon. Je fit le tour jusqu'à trouver un cadavre de rat qui semblait être bien avancé dans la décomposition.
Je détourne le regard pour ne pas vomir mes tripes. Je monte à l'étage pour me changer les idées et entrer dans une chambre qui semblait appartenir à un couple. Un étrange brouillard blanc régné dans la pièce. Je m'avance ça et...
- C'est quoi ça ?!
Je me dirige vers la fenêtre ou, où je vois passer une silhouette humanoïde à toute vitesse. Quand soudain je m'écroula au sol. J'essaie de me relever en vain. Toutes mes forces m'avaient quitté. J'attrape pas le rebord d'une commode qui se trouve à proximité et utilise le peu de force et d'énergie qu'il me restait pour me siffler et remonter. Quand je finis Paris arrivée, je vis mes jambes trembler comme des feuilles mortes sous le vent d'automne.
Une fois les tremblements diminués je lâche à la commode et regardés autour de moi, le brouillard c'était intensifié. À présent on pouvait plus voir le bout de la pièce.Mes yeux qui s'alourdissaient de plus en plus du, je pense, à la fatigue finir par se fermer totalement mon corps qui lui aussi me paraissait lourd fini par s'écrouler. Je me retrouve à genoux sans arriver à bouger. Je cru sentir une présence qui me frôle à l'épaule gauche ce qui me force à réouvrir les yeux pour voir si l'esprit me joue un tour. J'en trouve un œil et cru apercevoir une silhouette masculine devant moi mais je dû refermer mon œil car il était trop difficile de le garder ouvert. Je sens de nouveau une main se poser sur mon menton et le levier doucement, je ne peux pas résister. Toutes les forces de mon corps semblaient avoir disparu mes mains, mes bras, mes jambes, toutes les parties de mon corps trembler. Une larme se mit à couler sur ma joue dans un silence de mort. Le pouce de la main qui me tenait le menton et celui-là l'alarme et une voix rock et poignante qui cachait une pointe d'inquiétude dit :
- Pourquoi pleure tu mon enfant ?
Terroriser par la situation je ne mets rien à répondre. Ma comme voix ma force semblait avoir disparu.
Je le envoyé se poser devant moi à ma hauteur sans rien dire. Après plusieurs minutes qui me semblaient être une éternité, je finis par arriver à ouvrir les yeux. C'est là que je le vis.
Un homme qui semblait parfait. Il avait les cheveux noirs,
noir comme la nuit,
noir comme le plumage d'un corbeau,
noir comme une âme qui erre dans la nuit.
Ses yeux étaient dorés comme l'or. Il était habillé comme au temps des roi et reine:Je leva mon regard sur le sien et me rendit compte qu'il me regardait avec un mélange de joie, comme celle que l'on peut ressentir quand on retrouve un être cher que l'on avait perdu depuis des siècles. On peut aussi distinguer une touche de peur et, de domination celle qu'à un prédateur qui vient de capturer sa proie et qui n'attend plus que de la dévorer.
Mon regard semblait absorbé par le sien. Je ne pouvais me détacher de ses yeux semblables à des pierres précieuses. Soudain, il se releva et sa silhouette qui, jusqu'à présent me paraissait parfaitement nette, se mit à se flouter sous mes yeux. Il me semble qu'il me tendit sa main pour m'aider à me relever mais je n'en était pas sûr. Je voulais quand même y croire et essayer d'attraper cette main qu'il me tendait mais à mon grand malheur je ne pue que passer à travers.
Il semble tout aussi surpris que moi et me regarde avec un sourire mélancolique. Je devais me relever sans son aide et je me place à face à lui. Il me dépassait d'au moins une tête. Il se rapprochait de moi, par réflexe je voulais me reculer, mais, il avait placé se main autour de ma taille pour empêcher de m'éloigner de lui.
Je relève à la tête et je vis qu'avec son autre main il me tendait une rose d'un rouge carmin magnifique. Mes yeux étaient rivés sur la fleur qui , semblaient brillants grâce au rayon de la lune qui passait à travers la fenêtre abîmé .
Quand soudain je sens mes muscles me lâcher de nouveau et un peu mon souffle faisait laborieux , et , je finis par m'écrouler sans que cet hommes mystérieux ne puisse rien faire pour moi pour mon empêcher je le fixa pour essayer de comprendre son expression mais il paraîçait flou . Et peu à peu son visage devenait incompréhensible, c'est les vêtements qui disparaissaient avec le reste de son corps. Plus le temps passe et est plus il semblait ça va pouvoir comme un nuage.
Meyzieu comment faire à se fermer du monde de sommeil que je n'avais pas remarqué jusqu'à présent. Je fini porno voir plus que du noir et uniquement du noir.
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Jeux senti un courant d'air frais passer le lendemain Jean remonter à mes bras pour arriver sur mon visage . Ouvrez lentement les yeux pour m'habituer à la lumière qui était entrée dans la pièce. Je me mets en tailleur sur le sol froid pour penser à ce qui s'était passé.
Un rêve ? Peut-être. Non, sûrement ! Comment cela aurait-il pu ce produire.
Mais mon regard se tourne avec une tache rouge qui se rétrécit à l'œil dans cette pièce ou les tons étaient froids est sombre. Je me mets à quatre pattes et me dirige vers la chose carmain.
Une... une rose ?!
La même que celle de... de mon rêve ? Maïs ? Commentaire ?- chercher dans la maison !
Cette voix ! Les hommes qui me suivaient sont de retour. Je regarde par la fenêtre. Personne. C'est ma chance, je profita que personne ne se trouve là pour sauter et atterrir sur le sol qui était recouvert d'herbes vertes. Je me mit à courir pour rejoindre la forêt qui était fournie d'arbres feuillus de tous les côtés. Je garde bien serrer dans ma main la rose rouge. Dans l'autre main se trouvait l'œil de dieux.
Rêver ? Réalité ?
Je ne sais pas mais si je parle de cette aventure à qui que se soit on me prendrait pour une folle
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Recueil De Nouvelles
Short StoryPetites nouvelles courtes J'en posterais une de temps en temps si vous avez des idées faites moi en part.