Le soleil se lève sur la forêt de pins ;
Des particules volent dans les rayons d'or ;
Des oiseaux chantent dans les cimes des sapins ;
Et moi, paisible, heureux, j'offre au soleil mon corps.
J'entends le bruissement lointain d'un doux cours d'eau.
Le vent souffle sur les branches des épineux.
Une mésange bleue s'approche à petits sauts.
J'aperçois, loin là-bas, un cerf majestueux.
Un claquement de doigt, et je ne suis plus là.
Je suis loin, dans une cité trop animée.
Plus d'oiseaux, plus de cerf, que des gens et des rats.
Loin des si jolis bois, de la forêt paisible,
Je me sens à l'étroit, enfermé, oppressé.
Je regrette déjà ce petit coin tranquille.
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Chants et poèmes d'Aelynn le barde
PoetryQuand Aelynn le barde s'ennuie, il faut bien qu'il fasse quelque chose... alors il écrit. Et il compose.
