De retour à ce fameux crépuscule d'été, dans un dernier sanglot, du haut de sa fenêtre.
Retraçant son parcours dans le silence de la nuit, sous la tranquillité des étoiles.
L'horloge tourne malgré elle.
Tous ses amis condamnés à l'oubli.
Le monde change, et il ne compte pas s'arrêter...
Et il ne lui restait plus que le souvenir de ses paroles, éternellement gravé dans sa mémoire.
La pluie tombait délicatement sur le goudron dans une mélodie nostalgique.
Le futur est tout tracé et l'instant d'après il disparaît.
De retour à ce fameux coucher de soleil,
Dans ses années de jeunesse, des rêves pleins la tête.
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Là où les coquelicots fleurissent
PoesíaUn recueil de simples textes ou poésies pour quelques minutes d'ennui...