Chapitre 8: punitions

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- Suis moi. Normalement tu devais dormir à ta place mais tu es puni donc tu viens là, annonça la blonde un sourire satisfait aux lèvres.

Elle se dirigea vers la pièce où se trouvait la cage.

- Au milieu de la pièce, pas bougé.

Elle alla prendre un fouet en cuir sur la table.

- Sais-tu pourquoi tu es puni? demanda-t-elle en appuyant le bas de son bassin contre la table.

- J'ai désobéi.

Un coup de fouet s'abattit sur la longueur du dos de l'esclave.

- Mais encore ? Ce n'est pas tout, lança la femme en se mettant à tourner autour de sa victime, tel un loup. Ce n'est pas si compliqué.

- J'ai désobéi, répéta l'homme qui ne comprenait pas.

- Raté. Tu viens de gagner une nouvelle punition. Ah il faut toujours que les Humains ne se souviennent jamais de leur tort, soupira-t-elle en déposant un objet sur la cage. Mais pour une fois, je ne m'en plaindrais pas. Tu es puni pour t'être levé et ne pas m'avoir remercier. N'oublie pas de compter, à chaque faute je serais malheureusement obliger de recommencer, ajouta Perséphone ironiquement.

Elle abattit de nouveau le fouet.

- Un.

Elle s'approcha et donna un coup de pied dans le ventre de l'homme le faisant se tordre de douleur en basculant sur le coté.

-N'oublie jamais qui je suis le chien. On recommence

La blonde recommença après l'avoir fait se remettre à quatre pattes.

- Un ... maitresse.

- Bon chien.

Les coups s'enchainèrent et la peau de l'esclave virait coquelicot. on pouvait voir des hématomes en floraison sur ses fesse et son dos.

- Vingt-quatre Maitresse, haleta l'homme fatigué.

Elle en asséna un dernier.

- Vingt-cinq Maitresse.

Un autre sourire commençait à fleurir sur ses lèvres, annonçant une potentielle nouvelle punition dont elle serait ravie.

- Merci Maitresse de m'avoir corrigé, marmonna l'esclave.

- Pourquoi t'ai-je puni ? demanda à nouveau Perséphone.

- Je vous ai désobéi tout à l'heure deux fois.

- C'est un bon début, continue.

- Je me suis levé et ai oublié de vous remercier, dit il peu sur de lui.

- Enfin, tout ce temps pour si peu de choses. Maintenant remercie moi correctement. Met y les formes ou je serai tenté de te trouver une autre punition, suggéra la blonde la vois suave et les yeux perçants.

Il avala lentement sa salive. La fatigue engourdissait son esprit mais son corps lui rappelai le sérieux de la Feriove en face de lui.

- Je vous pris de bien vouloir pardonner mes désobéissances et je vous remercie de m'avoir corrigé. 

Elle se remit à tourner autour de lui, faisant claquer se talons contre le sol.

- Cela passera pour cette fois. Ouvre la bouche.

L'humain soupira de soulagement et s'exécuta. Elle attrapa ce qu'elle avait posé sur la cage, vint devant lui et lui mit le bâillon qu'il portait lors du transport. Un frisson remonta le long de sa colonne vertébrale mais il ne dit rien.

- Entre dans la cage, ordonna la général après avoir ouvert la porte.

Une fois dans la cage, elle referma la porte, passa une barre  sous la gorge de l'homme et la remonta, le forçant à lever le cou et à ne se reposer que sur ses genoux. Puis, elle passa une corde autour de la jambe droite, la pliant de force et l'accrocha en l'air contre la paroi. L'esclave dut se rattraper avec le bout de ses doigts de mains avant de se rééquilibre. Enfin, la femme encorda l'autre cheville et la tira tout au fond de la cage, manquant de faire s'étouffer l'homme à cause de la barre sous sa gorge. Il devait, pour pouvoir respirer, s'appuyer sur ses doigts. Ses jambes ne le soutenaient pas dans cette position. Un filet de bave s'écoulait déjà de sa bouche maintenue ouverte. A l'extérieur, la femme esquissait un léger sourire, fière de son œuvre.

- Bonne nuit, lui souhaita elle ironiquement en quittant la pièce.

Elle retourna dans le salon, vérifia qu'elle n'avait pas oublier de ranger son ordinateur, son agenda ou ses dossiers. Elle éteignit toutes les lumière, prit son portable et alla dans sa chambre. Elle se déshabilla et alla se doucher. Puis, elle brossa ses cheveux et y appliqua un soin. Elle nettoya et hydrata son visage avant d'enfiler sa tenue de nuit et de se coucher.

Le destin de perdantsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant