Chapitre 1

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15 Janvier 1785

J'arrive devant la porte de chambre du roi Arthus 3ème, cet homme infâme dont je doit m'occuper a longueur de journée, est un homme sans scrupule qui enferme ses femmes, même celles les plus fidèle dans une cave lugubre et qui prend un malin plaisir a les torturés sans raison apparentes. Pour être 100 % honnête, un nombre incalculable de fois j'ai penser a les libérer, ou bien abréger leurs souffrances, mais les conséquences seraient beaucoup trop importante pour tout ceux vivant dans le château ou même en dehors, et je n'en serai jamais capable, ôter une vie innocente est et sera toujours au dessus de mes forces.

Comme tout les jours depuis maintenant 27 ans, le roi Arthus 3ème était encore endormi paisiblement dans son lit, même après que midi ai sonner ses 12 coups, dormir aussi paisiblement alors que des femmes souffre dans son château par sa faute, j'ouvre doucement les rideaux pour laisser au roi Arthus 3ème le temps de sortir de son sommeil et je viens l'aider a ce redresser, ce tas de graisse n'est pas capable de se lever seul a force de passer ses journées a rester assis à ne rien faire.

« - Votre Majesté, comment était votre nuit ? Nous sommes le 15 Janvier, le temps est clément et votre festin vous attend dans la grande salle.

- Merci Julien, récupère mes souliers et met les moi. Une fois le soleil couché tu auras quartiers libre, j'ai une réunion avec les dirigeants des pays voisins, je ne veux pas d'un petit merdeux dans ton genre dans mes pattes.

- Bien votre Majesté, je vous en remercie. Voici vos souliers. »

Ses horribles pieds, je les voyais chaque matin depuis 27 ans, chaque matin et chaque soir la même odeur venait ce coller a mon visage me rappelant encore une fois que cet homme n'avait rien de bon en lui ou bien sur lui, son sourire narquois me donnait la nausée, il savait ce qui ce passait dans ma tête. J'enfonçais alors son pied dans son soulier.

« - Julien, une dernière chose.

- Oui mon Roi ?

- Je souhaiterai que tu ailles en ville me chercher une femme, la plus belle que tu puisses trouver et ramène la moi le plus tôt possible, avant que la réunion ne commence.

- Bien mon Roi, mais n'était-ce pas le rôle de Jean-Louis de vous trouvez une promise ?

- C'était. »

je hoche la tête et aidant le Roi a ce lever. Je cogitais en me rendant compte petit a petit de tout ce que cela impliquait, j'allais trouver une femme, l'obliger a la faire venir au palais pour que le roi se mari avec elle ou bien couche avec elle et qu'ensuite il l'enferme avec toute les autres femmes, j'allais envoyer une vie innocente a la souffrance et a la mort. J'essayais de faire bonne figure devant l'horrible roi en l'accompagnant manger son repas dans la grande salle, j'étais debout, prés de lui a l'observer manger comme un porc ce repas qui pourrai nourrir des dizaines de paysans dans le besoin. Je ne devais pas penser a ça quand le roi était prés de moi, si je veux garder mon poste et vivre convenablement, je dois faire bonne figure et ne pas laisser mes émotions prendre le dessus sur le reste. Mon statut est en jeu au moindre faux pas.

Le roi venait de finir, me laissant donc prendre quartiers pour allez au village avec un mot signer de sa main approuvant le fait qu'il cherchait une femme, j'hésitais a y allez mais je n'avais pas le choix je devais y allez coûte que coûte, j'avais beau détester ce roi immonde, je ne voulais pas finir comme ces femmes enfermer, je ne voulais pas mourir. Encore moins par les mains de ce porc de roi.

Je me mis en route pour rejoindre le village a cheval en profitant de la vue qui s'offrait a moi, peu importe ce qu'on pouvait dire sur ce royaume, la beauté des paysage et l'architecture étaient les seules raisons du succès du pays dans les royaumes autour. J'arrivais au village, un brouhaha assez élever se faisait entendre malgré la musique que quelque artistes de rue faisaient accompagner de danseuse, un seau cabosser était mit en avant pour récupérer quelque pièce de huit pour subvenir a leurs besoins. Un peu de charité ne fera du mal a personne après tout ; je me rapproche en poussant deux-trois personne, m'excusant en même temps et je me met devant le seau abîmer par le temps et je sors quelque pièce en observant les danseuses et les musiciens qui ne m'avaient toujours pas remarquer, je lâche les pièces de huit dans le seau, faisant un bruit d'enfer qui avaient fait tourner tout les regards vers moi, c'était comme si le temps c'était arrêter.

Le Complot Des SeptsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant