Chapitre 11

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NORY

On continue de suivre Grover et je lui dis.

Moi : Grover.

Aucune réponse de sa part.

Moi : Grover, on a vous là ?

Grover : quelqu'un cuisine des hamburgers. Au beau milieu de nulle part. Sur un sentier de satyre. Qui que ce soit...il vient de notre monde.

On continue de suivre Grover et on arrive devant un panneau avec marquer ''vente de statues de tatie Em''. On continue d'avancer et ce jardin et remplie de statues totalement effrayant.

Moi : non, mais j'hallucine.

Percy : quoi ?

Moi : Tatie Em, à un jardin rempli de créature pétrifier. Aucun doute elle vient bien de chez nous.

Annabeth : à votre avis tatie Em, c'est le diminutif de quoi ?

Moi : c'est une bonne question.

On continue d'avancer, mais Grover s'arrête alors on fait de même.

Grover : oh...

Je continue de regarder ces statues mais je sens quelque chose qui cloche.

Moi : venez, on y va. Il faut qu'on s'en aille.

On se retourne tous les quatre pour partir, mais la furie qui nous suit arrive devant nous. Percy donne la boîte à chaussure à Grover avant de sortir son épée.

Madame Dodds : tu aurais dû accepter mon marcher quand tu en avais l'occasion. Dit-elle en me regardant.

Percy : un marché ? Mais de qu'elle marché elle parle ? Me demande-t-il.

Je ne dis rien et on entend une voix féminine.

? : pas aujourd'hui, les amis.

Madame Dodds, ce cache grâce à ces ails.

? : pas devant mes fenêtres.

On se retourne pour voir qui vient de parler, et on reconnait Méduse.

Moi : oh c'est pas vrai.

Je ferme directement les yeux en détournant la tête, comme Grover et Annabeth. Je regarde Percy qui ne fait rien.

Moi : Percy, cache tes yeux.

Il le fait tous de suite et Méduse continue de nous dire.

Méduse : si vous avez un désaccord, pourquoi ne pas venir en parler à tatie Em. Alecto, tu te joins à nous ? Non, c'est bien ce que je pensais. Elle nous vous embêtera pas tant que vous êtes avec moi. Mais ce n'est pas comme si, vous étiez tiré d'affaire, si elle s'en va elle va devoir avouer à son maître, qu'elle à échouer à récupérer le fils de Poséidon.

Percy : comment vous savez...

Méduse : un enfant défendu à était appeler. Tu pensais que ça allait rester un secret ? C'est un plaisir de te rencontrer, fils de Poséidon. Je m'appelle Méduse.

Je vois Percy qui commence à se redresser et je l'arrête.

Moi : Percy arrête. Ne bouge pas. C'est un monstre.

Méduse : chacun à sa propre définition du mot monstre. Mais en l'occurrence, c'est elle qui veut vous réduire en bouillit...Alors que moi, je vous offre le gite et le couvert. A vous de voir.

On l'entend partir alors, on se redresse tous avant de se regarder.

Percy : je crois qu'on peut lui faire confiance.

Moi : t'es fou !

Annabeth : quoi ?

Grover : t'es sérieux ?

Percy : je sais que ça paraît dingue, c'est juste que...Ma mère m'a déjà raconté son histoire. Et elle ma dit qu'il fallait ce méfier des apparence. Je veux suivre les conseilles de ma mère. Moi je la suis. Vous trois, faites ce que vous voulez.

Il s'en va et avec Grover et Annabeth on se regarde et Grover commence à le suivre.

Annabeth : tu fais quoi...

Annabeth me regarde et je lui fais un signe de la tête, elle soupire avant qu'on ne rejoignent les garçons.

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