Chapitre 8

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TW: Certaine scène à caractère violente ou sexuelle pourrait heurter votre sensibilité. Bonne lecture <3

Je recevais au moins six messages par minutes de mes parents, inquiets. Je ne me préoccupée pas de mon téléphone mais plutôt des cigarettes que j'enchaînais en dansant sur toute les musiques qui passaient. Rachel n'étais plus avec moi mais dans une autre pièce où elle était entrain de pécho la reine de la soirée, donc j'étais entourée de personnes qui m'était inconnus, des cigarettes d'une main et mon verre de Wisky de l'autre

Je retombais dans la drogue, et c'était une mauvaise chose. J'avais arrêtée et j'en étais fière mais cette soirée à causée ma perte et je venais seulement d'en prendre conscience, faut croire que j'adore prendre conscience des choses une fois que c'est trop tard

Mes yeux étaient rouge et mon euphorie grandissait de plus en plus, mais je sentais que mon corps ne tiendra pas toute la soirée et c'est bien pour ça qu'un garçon qui semblait être en première viens m'arrêter dans mon élan. Je comptais aller retrouver Rachel pour lui demander de sortir avec moi mais ce garçon m'interpelle

«-On ma demandé de t'informer que Rachel t'attends en haut» m'informa donc le jeune garçon

J'acquiese et titube jusqu'en haut. Le garçon me suit toujours mais je pense surtout qu'il sait à quelle point je ne marche pas correctement, que je suis sous l'effet de l'alcool ET la drogue

«-C'est cette chambre»

Je l'ouvre alors en pouffant de rire et je crie le nom de ma meilleure amie pour l'engueuler

«-Rachel ! Je te cherchais... Viens on sort comme tu disais,tu pouvais pas aller me chercher avant !»

Mais soudain je me fais pousser part terre violemment sous mon crie de surprise

«-Oh tu veux quoi ?!

-Ton corps. Écarte les jambes je me répéterais pas»

J'avais pas très bien comprit ce qu'il voulait, du moins jusqu'à ce qu'il ferme la porte à clé et qu'il commence a se déshabiller

Je me lève en roulant des yeux et ouvre la fenêtre pour sauter, mais sa main s'enroule fermement autour  de mon bras. Nan mais il est sérieux

«-Et nan part contre tu me touches pas ! »
M'exclamais-je

Mais il en avait rien à foutre de ce que je disais, il préfère me porter jusqu'au lit pour m'y balancer. Il arrache presque mes vêtements et cette fois je panique. Je le supplie de me lâcher, que je suis pas bonne mais il rigole

«-Quand je te vois au lycée tu me fais bander, j'ai envie de toi~»

J'essaie de me défaire mais ses grands bras bloque maintenant mes poignets au dessus de ma tête. Mes yeux se ferme quand il me giflera. Ma joue me brule maintenant

«-Tiens toi bien salope»

Prête à lui donner un bon coup dans les couilles, il arrête ma jambe en prenant ma cuisse, l'embrassant sensuellement. Ça me dégoûte....

Je ne me retiens pas, je pleure en lui criant toute les insultes du monde pendant qu'il me pelote les seins avec une main libre

Je ne sens plus mon corps, je tremble comme une feuille morte et la drogue qui coule dans mes veines m'empêche de me débattre. Je sens mon crâne me faire atrocement mal et le coussins mouillé sur lequel ma tête se reposait est mal posé. J'ai envie de mourir, je veux me faire toute petite et je veux me réveiller de ce cauchemar...Que quelqu'un ouvre cette porte je vous en supplie.....

À force de crier j'en ai perdue la voix, et quand je le sens pousser en moi je me cambre en l'insultant. Mais sa voix m'ordonne  de ne plus bouger, ce qui me fera frissonner de tout mon corps, pleurant encore plus

Il me faisait mal, tout mon corps souffrait. Il était entrain de me voler ma première fois... il était entrain de cracher sur mon corps et il l'utilisait comme si j'étais un vulgaire jouet. Je veux partir...J'ai beau essayer de me débattre rien y fait. En quatre ans je n'avais pas eu aussi peur de toute ma vie, en quatre ans je n'avais jamais autant trembler...

Quand il aura juger que c'était bon, il se retire brusquement de moi, venant sur mon ventre. Ça me dégoûte vraiment, et le pire c'était que je ne pouvais rien faire

Il me sourit alors, satisfait, mais Rachel arrive à ouvrir la porte avec une bâte de baseball dans les mains. Oh putain...

Elle avait les yeux très noir, et ses traits étaient ferme. La blonde avait envie de tuer

«-Espèce d'enculer de tes morts !»

Elle criait de rage

«-D'où tu viole ma meilleure amie connard !

-C'est elle qui en a demandée, elle m'a provoquer !» se défend-t'il

Les draps deviendront rouge à cause de la déchirure vaginal. Super !

Déjà que j'étais nue, que j'avais du sperm qui me dégoûte sur le ventre,  fallait que je tâche les draps...

En réfléchissant à ça difficilement, je n'avais pas vue que Rachel avait opter pour être au dessus de l'homme et le tabasser avec sa bâte. Elle lui criait dessus à la mort divers paroles tranchantes pour lui faire payer ses actes

Honnêtement je n'osais pas bouger. J'étais paralysée part la douleur et la peur, je ne savais pas quoi faire à part m'insulter car après tout c'est ma faute... Ma robe était trop courte hein? Et j'aurais jamais du prendre de la drogue...Je suis conne... je mérite enfaite...

Ma meilleure amie vient essuyer frénétiquement mon ventre et me recouvrir d'un pled, m'aidant à me lever

«-Chuit désolée... j'étais entrain de pécho Arianna mais quand je t'ai entendue j'ai paniquée... j'ai essayer d'ouvrir la porte, tout en criant mais c'était fermer à clé... J'ai demander à Arianna si elle avait un trucs pour casser une porte ... On est aller dans son grenier et tout j'ai pas pus venir avant pardon...»

Elle me serre fort dans ses bras, prouvant qu'elle était désolée. Mais malheureusement je ne bouge pas, la serrant pas non plus dans les siens. J'étais trop occupée à me répéter les mêmes paroles. J'ai étais conne, c'est ma faute

Les autres étaient tous à l'étage avec le bordel entendue mais Arianna se charge de les foutres dehors. Je ne peux pas aller voir la police... J'étais droguer part moi même... J'avais bus... Ma robe était courte... C'est ma faute... Tout le monde le sait... C'est pour ça que personne ne parle....je suis conne...j'aurais jamais du venir... je le savais... tout le monde le sais... pardon..

Le seul bruit que j'entend c'est le corps inconscient de mon agresseur ce faire transporter dans la salle de bain que la noiraude aura fermer à clé

«-Dormez ici ce soir...»

Cette soirée étaient un fiasco... Moi qui voulait simplement prendre l'air... Mes parents sont morte d'inquiétude mais honnêtement je n'ai pas la force de leur répondre. Mais je ne dormirais pas de la nuit

Easy Girl (terminée)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant