24 | 𝖠𝗏𝖾𝗇𝗂𝖽𝖺 𝖱𝗈𝗆𝖺

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𝖬𝗈𝗈𝖽 𝖻𝗈𝖺𝗋𝖽 𝖽𝖾 𝖴𝗋𝗌𝗎𝗅𝖺. 𝖤𝗅𝗅𝖾 𝖿𝖾𝗋𝖺 𝗊𝗎𝖾𝗅𝗊𝗎𝖾𝗌 𝗉𝖾𝗍𝗂𝗍𝖾𝗌 𝖺𝗉𝗉𝖺𝗋𝗂𝗍𝗂𝗈𝗇𝗌 𝖺𝗅𝗈𝗋𝗌 𝗃'𝖺𝗂 𝗃𝗎𝗀𝖾́ 𝖻𝗈𝗇 𝖽'𝖾𝗇 𝖿𝖺𝗂𝗋𝖾 𝗎𝗇 𝗉𝗈𝗎𝗋 𝖾𝗅𝗅𝖾 𝖺𝗎𝗌𝗌𝗂 :)

 𝖤𝗅𝗅𝖾 𝖿𝖾𝗋𝖺 𝗊𝗎𝖾𝗅𝗊𝗎𝖾𝗌 𝗉𝖾𝗍𝗂𝗍𝖾𝗌 𝖺𝗉𝗉𝖺𝗋𝗂𝗍𝗂𝗈𝗇𝗌 𝖺𝗅𝗈𝗋𝗌 𝗃'𝖺𝗂 𝗃𝗎𝗀𝖾́ 𝖻𝗈𝗇 𝖽'𝖾𝗇 𝖿𝖺𝗂𝗋𝖾 𝗎𝗇 𝗉𝗈𝗎𝗋 𝖾𝗅𝗅𝖾 𝖺𝗎𝗌𝗌𝗂 :)

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« Des principes immuables, même devant l'amour, telle une boussole qui ne perd jamais le nord ».














Le lendemain matin, je me réveillai avec une douloureuse crampe au mollet droit. Mes yeux balayèrent la décoration épurée de ma chambre, j'enfouis ma main dans mes cheveux en arborant une légère grimace de souffrance. J'avais rêvé qu'un homme sans tête me poursuivait, heureusement que ce n'était qu'un cauchemar.

Je ne m'étais pas remise du message d'hier. Je ne savais pas qui s'amusait à m'envoyer ce message, mais c'était effrayant. J'avais passé la nuit à cogiter là dessus mais personne ne m'était venue en tête.

Les brettelles de ma robe glissa délicatement le long de mon corps, caressant chaque parcelle avant de s'éterniser sur la moquette. Je m'avançai avec lassitude dans la salle de bain, l'eau froide ruisselle sur mon corps je fermai instinctivement les yeux à ce contact apaisant. Les mousses s'éparpillèrent sur le mur en marbre noir quand j'eus à me frotter avec l'éponge.

Comme il faisait particulièrement chaud aujourd'hui. J'avais opté pour un short en jean, ça me rappelait ma mère. C'était sa marque de fabrique, c'est l'été en Italie et tout le monde se baladait presque nudiste.

Je descendis les marches en consultant mon téléphone encore. J'avouai que je m'inquiétai pour le message d'hier mais, je pensais que cela a une signification inutile.

Pas si inutile.

Je descendis, ils étaient tous assît dans le salon comme hier. J'avais l'impression que Paco habitait ici, je laissai entendre un bonjour collectif puis après je m'introduisis dans la cuisine. Je n'avais pas faim alors je bus un grand verre d'eau.

Je me surprenais à ne pas manger alors que je me plaignais de mon corps. Je sortis au salon et la seule place disponible était près de Paco.

Ma passion préférée, c'était d'observer les pieds. Je savais que dit comme ça, c'était étrange. Mais j'aimais bien regarder la forme de pied des gens et je me bloquai en regardant ceux de Amal.

Moi: Amal ?

Quant à lui, il regardait mes jambes, plutôt il me regarda parce que j'avais porté un short.

Moi: Dis moi, tu chausses du combien ?

Un sourire plissa ses yeux, il souleva l'une de ses jambes en rigolant. J'entendis le rire démesuré de Paco et les autres, il gigota de partout quand il rigolait. Il finit par me taper brutalement au dos au point de m'arracher un cri.

Le marchand de sable Où les histoires vivent. Découvrez maintenant