Chapitre 1

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Moi c'est Mint, Mint LITER.
Je suis une personne assez populaire dans mon école.
Et dans cette école, les furries sont maltraitées, je trouve plutôt normales.

Ce sont d' horribles personnes.
Cherchant le tout pour le tout pour avoir des rapports.
Ils sont bizarres, en bref je l'ai déteste.

Je respecte plus les putes qu'eux.
Ce soir, j'attends avec impatience quelle loi sera présenté contre les furries.

Pendant les prochaines heures mint, attendus devant la télé.
-Ils prennent du temps à présenté la loi, je vais regarder ça demain.

-C'est en marchant vers sont qu'il senti quelque chose en haut de ses fesses comme si un os poussait.

La fatigue me fais peut-être perdre la tête pensa le jeune homme.

Le réveille sonne comme chaque matin.
Mais quelque chose est différent, très différent.

Tient je sens comme si j'avais du velours sur moi.
C'est en ouvrant les yeux avec effroi que notre pauvre héro découvrir la supercherie.

-C'est une blague ?!
Qu'est-ce qu'il aurait aimé que ce soit une blague.
Malheureusement ça ne l'ai pas.

-j-jeuh Je suis un putain de furrie !
C'est le karma qui a tourné...

La roue tourne, elle tourne et c'est tomber sur toi.

J'ai beau me retirer les poils me tondre ou essayer de couper ma queue, ces parties du corps était fonctionnel et me faisait bien mal, mon instinc de contre ma douleur à agit.
J'avais compris que je pouvais échapper à mon triste sort.
Je choppe des gants, un masque et je fila à l'école avec de l'argent.

En montant de le bus je sens, un certain soupçon de certains.
-Mint ? Pourquoi t'es aussi couvert ce n'est pas dans tes habitudes.
-Je me suis dit qu'il allait faire assez froid donc je suis sortie couvert.
-Ton tons de voix à changer, elle est plus douce et aiguë.
-Je suis entouré.
-Ce n'est pas la voix d'une personne enrouée.
-T'es qui au juste.
-Minter Liter, ton poster depuis la primaire.
-T'es bizarre aujourd'hui, je peux te parler après les cours.
-Oui...

Un souffle aiguë sortie du bus, on était à l'école.
Le lycée ne fait pas de cadeau, et je peux vous assurer que ma lumière éclaire bien ma l'antenne quand il s'agit de parler de furrie.

Les furries sont systématiquement harcelé et si  ils sont reconnus par la société,sont automatiquement réduit à l'esclavage par la société.

Et bien tout en pensant je me dirige vers mon premier cours.

-Monsieur Liter ?
-Présent...
-Vous avez changé de voix entre temps monsieur.
-Non, du moins je suis tombé malade.
-Bien commençons le cour.
Qu'est que le-

Le cours passat très vite, trop vite.

La pause midi sonna.
Mon cœur bat la chamade, tout le monde pouvait voir mon changement au moindre faux  pas.

-Hé, Mint ! Je veux finalement te parler maintenant.
-D'accord...

On se plaça tranquillement sur un banc loin du monde.

-Tu sais,je voulais te parler, on a l'impression que t'as changé physiquement et tu n'as pas la même odeur... Mais pourtant je sais que c'est toi, t'es qui au juste.

-J'ai eu une transformation physique hier d'un coup sans raison et ce n'est pas beau à voir.

-Ah bon... Ben montre.
-Je ne suis pas sûre que tu vas aimer.
-Non aller, je vais te manger.

Il enleva la capuche que je portais, et poussa un cri avant de l'étouffer avec sa main.

Des personnes sont venues avant de réaliser qu'il y avait un furrie dans leurs lycées.
1 en plus ?!
Pas mal, ont pourraient se faire de l'argent facile.

-Non, ne vous inquiétez pas,ce n'est pas ce que vous pensez.
-Mec, pourquoi t'as crié, je vais me faire défoncé, enculée !
-Pas mal la rime.
-Ce n'est pas moment !
-Je sais mais hé hé, ne vous inquiétez pas, il c'est Mint.
-Mint est un humain pas l'un de c'est truc.
-Je suis Mint , je peux le prouver.
-Regardez, le pendentif de ma mère.
-Tu peux le voler
-Et quand Maxence c'est fait niquer par jean et qu'il avait ma-

-Heureusement que je t'ai cette main sur la bouche.
-Hmm!Mais-
-Ok c'est bien lui,comment il s'est transformé en furrie ?
-Je ne sais pas comment j'ai fait mais me voilà en furries.
-C'est sûre que ton comportement va changer.
-Non, mais attendez je pense pas que je vais changer.
-Mouais pas si sûr, désolée mec on va te traiter comme telle.
-Mais pourquoi, j'étais bien un humain.
-Plus maintenant

-C'est injuste tu peux pas me faire ça tout d'un coup !
-Et pourquoi pas, tu peux plus te défendre.
-Oh que si car en plus de la force j'ai des griffes.
-Je ne suis pas si sûr que tu as toujours de la force.
-Je vais le déma-
-Mint on y va, c'est pas la peine de se battre.
-Mais t'as vu comment il me parle !
-Mint c'est pas grave ça pouvait être pire.
-Oui c'est vrai.

-En tout cas on va manger.
-Oui...

En rentrant dans la cantine, j'ai vu beaucoup de personnes me regardées.
J'avais mal, mais bon, je devais les comprendre.
-Mint, je sent que tu es mal à l'aise. Tu veux en parler ?
-Comment tu peux savoir ça ?! Oh... Mes phéromones...
Non j'ai pas trop envie.

-Pas besoin, j'ai compris.
-De quoi ?
-J'ai compris que tu aimes pas l'ambiance de la salle, ils te regardent tous et ça te fait peur.
-Mmh... J'aime pas comment ils m'observent... Tous affamés, j'ai peur, très peur, moi qui suis totalement confiant, je ne le suis plus.

-Oui, je comprends.
-Comment je suis censé faire mes parents sont plus là pour couvrir mes arrières et ... Je sais pas, je préfère pas en parler de peur que sa soit 
-Utiliser désolée, c'est déjà fait.
-Quoi, je suis en live, dommage que tes parents sont allés chez du lait, tu aurais chez du lait mais un autre lait pour facile à ce procurer, grosse pute.
-Quoi !?
-Quoi t'as pas compris, tu veux du lait fraîchement sorti pour toi.

-Dégage ! Qu'est-ce que tu fais !? Non !
-Vas y, tu auras du bon lait.
-Vas te faire foutre,et lâche moi !
-Non, je suis pas un furrie.

Il prit ma main et essaya de le déposer sur son entre jambe, je lui griffa l'entre jambe, je sortie en trombe pour me réfugié quelque part .
-Putain, j'étais autant connards avec eux !?
Les furries sont beaucoup souffert en m'approchant, je suis désolée...

Ma foi je dois changer de lycée sans un rond ça sera compliqué mais bon, c'est le karma.

En traçant mon chemin pour rentrer.
J'entendis un enfant crié.
Avant de voir une personne l'attrapé pour l'entraîner dans un vanne.

Ni une ni deux, je cours vers la personne attrapa son pull et l'envoie au sol.
-Mais t'es malade, fait toi soigné gros porc.
-Dit celui qui est un furrie.
Je regarda l'enfant horrifié par ce qui arrive, avant même que je puisse lui parler, je me fit plaquer .
-Ben alors le furrie on fait quoi maintenant.
-Monsieur poilu !
-Drôle de non mais merci petit enfant.
Le temps que regarde mon ennemi je me prit un coup dur la temple.

-Police ! Mains sur la tête !
___
Chapitre terminé
(1194 mots)

Transformation soudaineOù les histoires vivent. Découvrez maintenant