Sous L'emprise de la Puberté

Chapitre 17: Une nuit cauchemardesque😭

🔗SOUS L'EMPRISE DE LA PUBERTÉ🔗

Il etais presque 20h , dans la maison, on étaient tous inquiets , j'avais tellement envie d'aller rejoindre ma mère à l'hôpital. On étaient tous réunis au salon en attendant les nouvelles de ma mère qui avait promis de nous appeler . Quelques temps après ma mère arriva. Bamou nieuwé, douguousi salon bi avec fureur, elle se dirigeait vers moi, ba diakarlo ak mane puis elle ma donnait une très violente gifle rk ma danou, je ne comprenais pas pourquoi elle était si violente avec moi, lane la dff  , tout le monde se demandaient : lou khéw, jusqu'à ce qu'elle :

👩‍🦰Ma mère:Yay imbécile, comment as tu osé faire ça à ton propre frère , légui dall Ablaye gua beugua déff goordjiguéne🤬

Tout le monde étaient sous le choc suite au révélation de ma mère mais moi j'étais encore plus surpris. Je n'arrivais pas à comprendre ce qu'elle disait, c'était comme si j'étais en plein cauchemar.Je suis resté immobile sous le sol  où j'étais tombé.

👨🏾‍🦳Grand père: ( à ma mère) wa mais Maï loy wakh ni😯

👩‍🦰Ma mère:(en me jetant l'une de ces chaussures en plain visage) ki domeram la rk🤬

👩🏽‍🦳Grande mère : ( en arrêtant ma mère,qui était sur le point de me jeter l'autre chaussure) Yaw arrête way!, daguay ray khalé bi yw 😯?

👩‍🦰Ma mère: ( presque en larme) Waw lolou la beug rk, yw souma khamone ni niguay méle  bagua dioudo lalay ray imbécile🥺.

👨🏾‍🦳Grand père : mais wakh niou lou khéw, on ne comprend rien si liguay wakh !

Ma mère expliqua tout ce que le docteur lui avait dit, j'ai été tellement surpris et me sentais très mal non seulement par ce qu'on avait violé mon frère mais aussi du fait que ma mère a crue que c'était moi le coupable. Ainsi tout le monde me regardaient comme si j'étais un monstre , ils m'ont rapidement jugé sans même ladjie ma nakh mako def ou pas. Avant même que may wakh pour me défendre mon grand père commencé ma me réprimandait . Kou néck di ma wakh lou bonne, je ne pouvais rien faire d'autre k pleurer, leurs paroles étaient comme des couteaux qui transpercer mon cœur. Insbobou beuggou mawone loudoul k niou ray ma béne yonne comme cà ma nopalou .
Aprés m'avoir traité de tout les noms , ma mére se met a me menancé:

👩‍🦰Ma mère:Yw police lalay yombou comme ça nieup nopalou, bis niki tay bayinala adouna ak alahira.

Bamou wakhé lolou rk ma gueuneu tite, il était or de question que je me las faire, yombou naniou ma internat sans mon consentement légui ils veulent m'emmener à la police pour un crime que
je n'avais pas commis. Fallait k ma guéne si problème bi à tout pris, puisque meunou ma wone défendre sama bopp. Insbobou la seule chose qui m'étais  venue à l'esprit était de fuir .

Au moment où ma mère et les autres sont finalement assis pour parler  tranquillement, je me suis levé brusquement du sol où j'étais coucher, rk daw guéneu sall bi  et me dirigea vert la sortie. Bama dawé basi porte principale bi , ma oubi ko et rk guéneu keur gui ak ay daw you métti . Mon grand père ordonna mes soeurs pour niou diapeu ma , mais baniou guéné c'était trop tard , féck na sorinaléne, elles n'ont rien vue , c'était comme si dama séyone . Niou weur ma si quartier bi ba soneu mais elles n'ont pas réussi à me trouver alors silagne délou waté si keur gui :

👩🏽‍🦳Grande mère :Ana Pathé ?

👩Awa: guissou niouko dé😣

👨🏾‍🦳Grand père:Comment ça, foumou déme ?

👩Fatou: Khamou niousi dara dé, weur nagne kogne bi yeup, guissou niou sakh kou ndouro ak môme.🤬

👨🏾‍🦳Grand père: Non , eska lathié guéne ko, Pathé nane laléne meuna reuthié ?😯