Juliette et les cascades

Chapitre 2

Le bruit semblait venir de derrière ce buisson. Juliette ecarta les branches pour se frailler un chemin parmis le feuillage. Elle leva la tête et devant elle, se trouvais la première cascade. C'était là seul cascade répertorier sur la carte que disposais Juliette. Elle se plaça devant et chercha ou pouvait bien se trouvais la pierre qui devait la guider. Elle ferma les yeux et réfléchi. Elle eu tt d'un coup une intuition. Elle ouvrit les yeux et se dirigea sur le côté de la cascade. Elle posa ses mains sur la falaise qui était recouverte de lierre elle regarda a travers.Un petit joyaux vert brillait. Intrigué, Juliette ecarta le feuillage, il y avait la une pierre bien incrusté dans la roche ou le joyaux était . Sur cette pierre était écrit un nouveau poème. Il était un peu comme effacer, trop clair et pas assez lisible pour que Juliette en tire quelqur chose. Elle décida de quand même d'essayer, lorsque sa peau effleura la pierre, il y eu un déclic et elle sorti légèrement de la falaise ou elle etait bien imprégner. Juliette l'a pris et la regarda un peu mieux. Le poème qui semblait illisible l'était maintenant parfaitement.
" C'est étonnant ..." Pensa t-elle
Elle lu alors le poème a voix haute :
"La lueur d'un souvenir te guideras alors
En direction de l'endroit où tu trouveras
Ce qu'il te manque pour finalement découvrir
L'endroit cacher "
Elle devait suivre une lueur ?!?! Juliette ne comprenait pas bien ce que ça signifait alors elle leva la tête a la recherche d'une réponse et ce fut le cas; sur certain arbres, devant elle, se trouvais un joyaux qui brillait a la lumière du soleil identiques a celui incrusté dans la pierre que Juliette avait dans sa main.
" La lueur d'un souvenir te guideras..."
C'est évident, il faut suivre les joyaux !!
Mais, ou allait elle l'emmener ?
Elle décida de ne pas trop réfléchir car le temps tournais et il fallait impérativement trouver ce mystérieux endroit pour sauver son père. Elle suivit le joyaux comme le poème lui avait indiqué de le faire et marcha pendant plusieurs heures. Le soleil allait pas tarder à se coucher lorsque quelle entendit des personnes discuter tout près d'elle.
« La lune va être belle ce soir.
- Oui, j'ai reçu l'information, de plus, nous sommes au refuge de la lune et le ciel est dégagé, on ne risque pas de la louper. échangèrent les deux personnes.
«Le refuge de la lune ? », pensa Juliette. Elle écarta les deux buissons et découvrit un magnifique relais accueillant. Elle examina l'endroit et détermina que c'est ici qu'elle allait dormir. Elle s'approcha du comptoir et la personne qui siégeait lui dit joyeusement :
"Bonjour ma p'tite, qu'est ce tu fais dans I'coin ?
- Je suis à la recherche de cascades, mais je suis ici pour dormir, pas pour papoter.
- Bien m'dame, ça fera 20 écus pour un lit normal,50 pour un lit moelleux. Ques't'en dit ?
- Un lit normal s'il vous plait.
- Bien, ça f'ras 20 écus comme je t'ai dit.
- Tenez, dit Juliette en tendant la somme demandée.
- Au faites, bien qu'tu veuille pas faire la causette, je crois avoir quelque chose qui
pourrais t'aider. Rejoins moi à l'intérieur.
- D'accord Juliette entra dans le batiments en pierre qui semblait peu résistant mais très
chaleureux.
Une fois à rentrés, la personne l'interpella;
« t'appelle comment au faite ?demanda-t-elle en farfouillant dans une bibliothèque
miteuse.
- Euh...Jul..euh non, Aurore...et vous ?
-Argus ma p'tite, dit l'homme, tiens voici l'ouvrage qui pourrait peut être t'aider. Il contient des poèmes ou des légendes, jm'en souviens plus vraiment, et une carte du coin. Mais bien que tu sois gentille, j'peux pas t'le donner gratis, ça fera 300 écu.
- Je vous en donne 100, répondit Juliette
- 200 non négociable, dit-il
- 50 sinon je ne le prend pas, renchérit-elle.
- 100 plus un service, proposa Argus.
- 75 plus un service.
- Adjugé, t'es dur en affaires dit moi, répondit I'homme d'un air amusé.
- Que voulez vous que je vous fasse en service?
- Mon fils Léon a quinze ans d'main, aide moi à lui trouver un présent digne de ses
envies. Pour ça, tu dois apprendre à le connaître et passer du temps avec lui. Seulement après, je te donnerais I'bouquin. Ah et aussi, si au passage tu peux réussir à lui redonner le sourire, ça ne serait pas de refus. Il voit très peu de monde de son age et depuis quelque temps j'ai comme l'impression qu'il a besoin de faire ce qu'il lui plait, d'avoir sa liberté et non de faire ce que je lui demande. Expliqua t-il.
- Oui je connais assez bien cette sensation... Enfin bref pour le cadeau je vais y arriver,
pour le sourire on verra.》
Argus lui donna les clés de sa chambre et Juliette parti imédiatement se coucher dans son lit qui s'avera être très confortable. Lorsqu'elle se leva le lendemain, elle alla prendre son petit déjeuner. Ceci fait, elle le dégusta et chercha Léon du regard pour démarrer sa mission quand tout a coup, quelqu'un lui tapa l'épaule.
« Salut tu viens passer un séjour ici ? Enchanté moi c'est Léon.
- Oui exactement, moi c'est euh...Aurore. Répondit Juliette.
- tu compte rester combien de temps ? Demanda Léon.
- Je ne sais pas encore, peut être 5 jours... Repondit la jeune fille, je n'est rien a faire, je
peux t'aider a quelques choses ?
- Je ne veux pas déranger mais c'est vrai que ta compagnie et ton aide ne serais pas de
refus. Dit-il embarrassé.
-je te le propose, c'est donc que ça ne me dérange pas, dit moi ce que je doit faire.
Bon très bien, j'ai une maman chèvre qui a accouché ce matin et son petit est très faible,
il faut le surveiller en permanence. Tu te sens de le faire ? Ça ne dureras que quelques
heures ne t'inquiètes pas, expliqua Léon.
- Parfait ,ça me va." Répondit Juliette.
Et ils partirent tout les deux en direction de la chèvrerie qui se trouvait à quelques mètres seulement de l'auberge. L'intérieur du bâtiment etait très sombre et en comportait qu'une seul fenêtre. La maman était coucher sur la paille a côté de son petit qui était
effectivement assez faible. Juliette regarda un peu mieux Léon. C'était un jeune garçon de
son âge avec des cheveux brun bouclé. Il avait de magnifiques yeux vert tel des
émeraudes et lorsqu'il souriait, deux magnifiques fossette de dessinait sur ses joues
maculé de tâche de rousseur. Il était tout simplement magnifique.
<< J'ai quelques choses sur le visage ? Demanda t-il en sortant soudainement Juliette de
ses pensées.
- Quoi ? Euh... Non, non... Répondit-elle embarrassé de l'avoir fixé de cette manière.
- J'ai encore deux trois trucs à faire ici, on pourra discuter pour apprendre à se connaître,
dit Léon en attrapant une fourche posé sur le mur en pierre
-Avec plaisir. Répondit Juliette en essayant d'être le plus naturel possible.
- Comment ça se fait que tu sois toute seul ici ? Demanda le garçon.
- Oh, c'est une longue histoire un peu complexe... Tout ce que je peux te dire c'est que je
suis a la recherche de cascade. Expliqua la jeune fille.
- Tu recherche des cascades ? Alors ça c'est étonnant ! Répondit-il, amusé.
- Oui c'est vrai que dit comme ça c'est assez bizarre mais comme je te l'est dit c'est compliqué, dit Juliette.
- Pas de problème, je comprends", dit le jeune homme en lui adressant un sourire valant des millions qui fit rougir la jeune fille jusqu'au oreille. Elle fut d'ailleurs très contente a ce moment là que le bâtiment sois très peu éclairé.
"C'est très beau ce que tu as autour du cou dit moi, ca doit valoir des milliers, non ? Dit
Léon en regardant le pendentif que portait Juliette autour du cou. Il s'agissait d'un aigle en or incrusté de diamant de toute les couleurs que le Roi lui avait offert à ses 5 ans. Depuis ce jour, elle ne l'a jamais quitté.
- Ça... C'est un bijou de famille... Ça ne vaut pas grand chose crois moi... Menta t-elle.
- Ga me dit vaguement quelque chose, comme une impression de déjà vue... Mais je dois
me tromper ! Dit-il
- Oui effectivement tu dois te tromper... Sinon toi, tu as un rêve ? Demanda Juliette pour
changer de sujet, de peur quil fasse le lien du collier avec le blason du Roi.
-Moi ? Tu vas sûrement trouver ça bête mais, je rêve de pouvoir partir quelques heures,de rencontrer des personnes, de voir ailleurs que l'intérieur de cette chèvrerie miteuse,juste être libre. Tu vois ce que je veux dire ?
- Oui... Je comprends totalement ce que tu veux dire...dit- elle.
Bon je dois y aller, une paysanne ne devrait pas tarder a arriver pour déposer ses
chèvre. Je reviens dans une heure ou deux, ça m'as fait vraiment plaisir d'avoir pue
discuter avec toi !" Dit Léon avant de sortir de la chèvrerie, laissant Juliette seul avec la
maman et son petit.
Le chevreau essayait en vain de se lever sur ses pattes faibrile. Juliette se dirigea en sa
direction et essaya avec ses mains de lui donner un coup de main.
" Il ne faut pas l'aider, Il ne faut pas l'aider, répéta la personne
-Mais...
-Il me semble que j'en sais plus que toi à ce sujet princesse!
Ce mot fit comme un coup de choc. Elle repensa à son père, qui devait vivre dans de terribles
conditions de vie. Une larme coula sur son visage insipide.
a Je ne voulais pas te faire de mal... Je suis désolée, vient, on va marcher.
-Comment as-tu su?
-Ton collier, unique collier de la fille du roi Geoffray de Babonsac
-Ahh..》Elles partirent faire le tour du champ.
a Tu t'appelle comment ?, demanda Juliette
-Annika et toi ?
-Ju...
-Oui, Juliette je sais !
-Comment est ta famille ?
-Eu... Oh regarde, un papillon, mince, tu l'as loupé... Au faite, il y a deux gardes qui te cherchent
aux alentours. Fais attention !
-Ah mince.. oui je ferais attention. Promet moi de ne rien dire s'il te plaît.
-Je te le jure, conclut Annika avec un petit sourire aux lèvres
- Merci... dit Juliette en adressant un faible sourire à Annika.
- Bon ce n'est pas tout mais je dois y aller, très heureuse d'avoir fait ta connaissance.» et elle la quitta sans dire un mot.
Juliette retourna à la chevrerie, le chevreau était encore là et semblait avoir pris des forces. Elle
s'assit a ses côtés et le regarda essayé de se lever sur ses quatre minuscules pattes.
Ah, Aurore ! Tu as dû croiser Annika je viens de la voir partir... Tu viens manger, le repas est prêt.
- Oui, on a discuté. Mais le petit ? On le laisse ici ? Demanda la jeune fille.
- Il a suffisamment pris de force pour rester sans surveillance, ne t'inquiète pas pour ça, dit Léon
-D'accord. »
IIs allèrent alors tous les deux dans la salle a manger de l'auberge et s'installèrent à table. Une fois tout le monde rassasié et les assiettes débarrassées, Juliette alla voir Argus a l'écart pour lui dire qu'elle avait trouvé le cadeau idéal à offrir à son fils.
a J'ai trouvé ce qui ferait plaisir a Léon pour son anniversaire, dit-elle.
- C'est formidable ma p'tite ! Dit moi tout, s'exclama t-il
-Un cheval. Il lui faut un cheval.
- Aurore, ce n'est pas raisonnable. Je n'ai pas les moyens de lui offrir un tel présent... Expliqua Argus.
- Ne vous inquiétez pas pour ça, je trouverais de quoi le rendre heureux à un prix très raisonnable. Je suis très persuasive quand je le veux. Je pars cette après-midi et lorsque je reviens, ce sera avec le cheval, dit Juliette, sur d'elle.
-D'accord, je te fais confiance... Tient, dit-il en tendant un pochon rempli d'écu qui tintait joyeusement a l'intérieur, tu payera avec ça.
-Non, gardez-y. Vous me rembourserez plus tard, dit Juliette en repoussant l'argent d'un geste de la main.
-Sûr?
-Oui ne vous inquiétez pas.»
Puis la jeune fille monta a l'étage cherché ses affaires et sortis de l'auberge.
Elle prit un petit sentier au milieu des champs et marcha durant de longues heures. La fatigue l'affaiblissait et elle estima préférable de poser son duvet au sol et de dormir quelque temps pour
reprendre des forces. Elle se coucha et ferma les yeux, lorsqu'elle les rouvrit, le soleil était tout juste en train de se lever. Juliette rangea ses affaires, alla se rafraîchir le visage dans une rivière a
côté et repartit.
Elle s'engagea dans une forêt très dense, humide et il faisait très frais a l'intérieur ce qui provoqua un frisson dans tout son corps. Tout autour d'elle était sombre et seul le bruit de ses pas et des
animaux alentour l'accompagnaient. La jeune fille prit une pomme qui se trouvait dans la sacoche qu'elle avait autour du coup et commença a la manger quand tout a coup, un hennissement retentit au loin.