Chronique De Nawa

chapitre 1

En guise d'ouverture de ce récit je tient à souligner son caractère invraisemblable, j'aimerais très sincèrement pouvoir pénétré dans tout les moindre détail ,en n'ométtant  aucun élément aussi insignifiant qu'ils puissent parfois l'être ,mais je suis comme beaucoup d'être vous , cerné et emprisonné par une vie faite d'obligation et de contraintes.donc voilà mon histoire

Dans cette pièce fermé de partout , l'atmosphère glauque et peu accueillant,l'agent de police me questionne sur mes crimes

Nawa:bon allez ,un bon coup de continunm espace temps ,une aspiration dans un vortex en passant par l'explosion d'un trou noir et nous voilà aux abords des Années 1990. Ah la belle époque !  Où j'étais encore à l'université de zeykro ,calme ,timide , réservé et surtout très ambitieuse

Monsieur l'agent : bref , commencez!!

" Retour au passé"

Il était 18 heure 36 minute quand je me battait pour obtenir un de ses fichu bus de zeykro ,la vie d'étudiante quel supplice ! ,Mais quand on ne naît pas avec une cuillère en or dans la bouche vaut mieux se taire et accepté tout les péripéties de la vie . Moi nawa Kane ,fille de Yaya Kane et barakissa Coulibaly en n'as vue de toute les couleurs
{Des vertes et des pas mûres}

J'avais vendu de l'eau au passant , travailler dans une mine en temps que manawa ce qui signifie pousseuse de brouette ,vendu des galettes au coin de la rue tout Ceci  pour financer mes études et aussi aider mon père pour l'achat des médicaments de ma pauvre mère atteinte d'insuffisance rénale .

J'arrivais à la maison après 20minute de route ,qui était dans un état pitoyable ,la ville de zeykro ressemblait plus a un village qu'à autre chose ,les arbres de cacaoyer et d'anacarde ce draissait fièrement sur chaque côté de ce bitume en Pau ais état , les plantations de café et de cacaoyer était ce qui fessait notre fierté dans cette ville .
En entrant dans cette maison sans peinture qui se trouvais être la nôtre,j'appercu la moto du vieux Brama ,un vieux qui par apparence tournait entre 60 et 70 ans ,ce vieillard n'avais Rien de sain ,il avait trois femme malgré sa bosse dans le dos ,sa cane en main ,sa barbe et ses cheveux blanchit par les années .
Le vieux Brama était l'homme le plus riche de zeykro grâce à ses nombreux hectares de café cacao ,il avait plusieurs terre a son nom mais restait humble ,il était accessoirement le meilleur ami de mon père .
Une fois la porte en bois traverser je me retrouvais dans le salon fessant face à ma mère ,mon père et le vieux Brama . chez nous la tradition était de se mettre en genoux pour salué les aînés choses que je dit une fois prêt d'eux
Moi: bonsoir tout le monde

Il le répondit calmement mais ce vieillard me regardait avec les gros yeux comme si j'étais du gibier

{Éloignons nous, ce vieux me donne la chair de poule}
Je compatisais en ce moment avec ma conscience
J'étais prête à disposer quand j'entendis mon prénom
Vieux Brama : nawa

Je fis volte face à ce ancêtre

Vieux Brama : quel âge as-tu ?
Cette question que voulait telle dire ?

Moi : 22ans , pourquoi ?

Vieux Brama : parceque tu es une femme a marié

En cet instant mon cœur ratta un battement ,ce vestige venait soit de me complimenté soit de signer mon arrêt de mort
{ Répondre juste par un merci et disposons}
J'obéis aussitôt a ma conscience et me dirigeais vers ma chambre si je peux le dire ainsi car je vivais en collocation avec ma sœur cadette kadi ,une vraie furie ,elle est préparé pour la plus part du temps,comme le canard boiteux de la famille après tout ,tout le monde pense marché droit dans le pays des boiteux .
Je me posais sur le lit ,déballait mon sac pour retirer mes cahiers ,ce jour là j'avais eu un cour de sociologie à l'Université , j'étais en troisième année en cycle ingénieur,je vous réussir pour moi  ,mes parents et c'est tout .
À 22ans le rêve était des filles étaient de trouver un mari ,je n'aurai jamais penser à me livré à un homme sachant qu'il pourrait me détruire a chaque instant mais en espérant qu'il ne le fasse pas juste parceque je ne détenait pas le pouvoir absolu
{Argent}
Ma conscience se rapprochait plus d'une amie qu'autre chose

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Le lendemain je me réveilla à quatre heures du matin c'est-à-dire au première Aurore où le coq  n'avais pas encore exécuter son rituel qui était de chanter pour réveiller la ville . j'étais très matinal donc je sortais du lit , accomplissait les tâches ménagères, cuisinait le petit déjeuner qui n'était briende plus que du riz dans de la sauce aubergine . On n'était pauvre et la maladie de ma mère nous avait enfoncer dans les fins fonds de la misère .Mon planteur de père avait suffisamment d'argent pour nourrir une bouche mais on n'était au nombre de quatre ,c'est ce que j'avais eu pour habitude d'appeler les épines du destin . Enfin bref tout le monde était sur pied , avait pris leur bain et était assis sur la natte pour le petit déjeuner ,je servais tout le monde dans un énorme récipient parceque dans ma famille ont mangeait tous ensemble mon père disais que sa consolidait les liens familiaux.je me dirigeais vers le salon avec le plat en mains quand aperçu ce vestige je manquais de tomber a même le sol ,que venait t'il foudre dans les parages?
{De jours comme de nuit il était ideux}
Je déteste ce vieux car il épousait les jeunes filles qu'il déscolarisait par la suite pour qu'elle fasse ses quatre volonté .
Tout le monde me fixait comme s'il avait quelque chose à me dire ,ce genre de regard qui est annonceur d'une nouvelle choquante le genre qui errise les poils et donne des frissons le long de l'échine
Vieux Brama : oh ma douce toujours aussi belle et succulente

Son manque de tacte me donnait une nausée non dissimulé,je préfèrerais m'abstenir de répondre
{Il n'est vallait pas la peine}
Je posais le plat et me retournais,la voix stridente de ce vieux me fis faire volte face,mon
Regard décrivait le dégoût
Nawa: oui

Vieux Brama : t'es courbes me font perdre les moyens

C'était pervers , très pervers,je disposait les laissant
Une fois dans ma chambre ,je commençait à faire des recherches sur mon cellulaire qui était à des années lumières de ceux de mes congenaires .
Après quelques minutes j'entendis tapée a la misérable porte en bois qui était entre la vie et la mort .
Nawa: oui entrez!!!