Teacher's Pet

Le faux pas

Comme à son habitude, Livia arriva en avance à son cour de mathématique en compagnie de son amie Laura. Si elles arrivaient plus tôt, c'était entre autre afin de zieuter le professeur. Livia avec plus d'envie que sa compagne. 

Les deux jeunes filles s'assoyaient et parlaient de leur cour antérieur, français, en se plaignant de la difficulter des règles de grammaires. Cependant, la jeune fille n'avait des yeux que pour son cher enseignant. Elle ne comprenait pas ce qui la prenait. Il n'avait rien d'intérressant, trouvait-elle. Jules, tel était son nom, s'habillait avec des t-shirt de mauvais goût, puis portait des souliers qui laissaient à désirer. Son corp n'avait rien d'extraordinaire, son visage en l'occurence vallait le coup d'être admirer. Avec sa machoir bien dessinée, ses yeux marron et sa fine barbe du matin qu'elle aurait voulu sentir se frotter à ses cuisses. Mais, le plus énervant pour elle était le fait qu'elle détestait se professeur et sa façon d'enseigner. Chaque fois qu'il ouvrait sa belle bouche, elle avait envi de lui en donner une. Livia le trouvait arrogant et trop fière pour la personne qu'il était. De plus, il semblait toujours insatisfait. C'était à croire que sa vie amoureuse était aussi morte que Loki dans MARVEL. Alors, elle tentait de reprendre ses esprits en pensant à son lunch et la bonne pizza qui l'attendait dans son sac. 

Enfin, la cloche rettentie et les autres élèves commencaient à arriver. La classe se remplie, mais elle remarqua les regards insistants qu'il lui lançait. Juste croiser ses yeux pendant une seule secondes et elle en perdait la tête. La jeune fille essayait d'envoyer valser les pensées qui jaillissait dans lesquelles il l'embrassait ou bien la prenait de tout sa force sur son bureau. Toutefois, Jules n'arrêtait pas de la regarder. Il commença son cours en l'observant toujours avec plus d'insistance. Au point, qu'elle avait de la difficulter à se consentrer et même à respirer.

Lorsqu'il demanda à la classe de répondre à une question tout le monde se taisaient. Ce silence était si malaisant que Livia décida de lever sa main. Lorsqu'il la pointa avec son menton elle cruet s'évanouir, mais elle se ressaisi et répondit correctement. 

- Bonne réponse Livia, enfin une bonne élève , disait-il en lui souriant. 

Elle lui sourit en retour, elle se sentait fière.

Le cours touchait à sa fin et les regards plus long. Ces amies et elle parlaient de leur crushs respectifs et lorsqu'elle avoua n'en avoir aucun, elle crut apercevoir Jules sourire. Mais, se convainquit qu'il s'agissait de son imagination un peu trop débordante à son goût. 

La cloche de fin retentie, Livia s'empressa de ranger ses livres afin de quitter l'atmosphère étrange et oppressante qu'il y avait dans cette classe. Elle était sur le point de quitter celle-ci lorsqu'elle entendit une voix exquise prononcer son nom. 

-Pourriez-vous rester quelques minutes, j'ai à vous parler. Dit son professeur. 

-Aucun problème, dit-elle la voix tremblante de stresse. Elle détestait être réprimander, elle pleurait tout le temps. 

-Fermez la porte quand ils seront partis, je vous pris. 

Elle prit bien soin de la fermer tranquillement en réfléchissant aux moyens de s'échapper. Néanmoins, il était trop tard. Jules avait déjà positionner une chaise aux côtés de son bureau où il attendait patiemment sa venue. Elle s'assit et le regarda dans les yeux, elle refusait de se laisser intimider. Alors, il commença:

- Livia, je crois que toi et moi devons absolument parler. 

Il la regardait avec des gros yeux. Elle se sentie tout de suite toute petite et réprima des larmes. 

- Parler de quoi M. Chabotte, mes notes n'ont pas baisser et je fais tous les devoirs que vous nous donnez?

- Je ne parle pas de ce genres d'ennuis ma chère Livia, je pense plutôt à ceux qui m'empêchent de me concentrer lorsque vous êtes dans mon cours. 

- De quoi... voulez-vous...vous... parler? Balbutina Livia sous le choc. 

Dans sa tête, tout se mélangeaient. Une part d'elle voulait s'enfuir et crier, mais l'autre, la plus forte et la plus bruyante, voulait rester et savoir ou cela allait la mener. De plus, Jules la regarda calmement de haut en bas, comme s'il la savourait d'un coup d'oeil et cela fit rougir de plus belle Livia. Leurs respirations étaient plus lentes et silencieuses. Il se passa la main dans les cheveux en quête de contrôle. "Elle était si belle", se disait-il. Elle paraissait si innocente en surface, mais il avait envi de savoir la partie d'elle-même qu'elle ne montrait pas. Il voulait être le seul à la voir. 

- Ce que je veux dire part là... C'est que je ne sais pas encore combien de temps je vais pouvoir me retenir de...

À ce moment là, il posa ses mains tendrement sur ces joues rouge d'embarras et déposa ses lèvres sur celle de son élève. Elle fut si surprise, non par le baiser, mais par sa propre réaction. Alors, que les lèvres de son professeur n'étaient poser que depuis une milli seconde, ses bras se refermèrent sur sa nuque. Elle ouvrit sa bouche et se colla à lui. Il fut pris au dépourvu pensant qu'elle allait le repouser, mais sa jeune élève le voulait tout autant que lui la désirait. Jules ouvrit à son tour les lèvres et entreprit de goûtter Livia du bout de la langue. Leurs dents s'entrechoquaient, leurs mains se faisaient de plus en plus ferme, elle autour de son cou et lui dans ces cheveux. Jules grogna lorsqu'elle lui mordit la lèvre inférieur, il descendit alors dans son cou afin de la mordre en retour. Ce fut à elle de gémir quand ces dents furent remplacer par sa langue qui se baladait sur sa gorge afin de connaitre tout ces recoins. Son corp en réclamait toujours plus. Elle déplaça ses mains jusqu'à son torse. Elle le sentait en dessous de sa légère chemise. Les preuves qu'il s'entrainait. Livia aurait voulu passer sa langue sur chaque creux de sont torse. Elle gémissait de plus belle sous la bouche de son professeur. Lui, ne s'en pouvait plus il la voulait. Elle désira relever son vêtement pour véritablement le toucher. Cependant, il la stopa. Jules prit doucement ces poignets et les posa sur les cuisses qu'il rêvait de voir autour de sa tête. 

-Livia... Tu devrais vraiment partir, dit-il le visage piteux. 

-Daccord...

Elle s'exsécuta et sorti. Coller au mur du corridor elle s'affaissa. Qu'est-ce qu'elle venait de vivre?